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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Le problème avec cette pensée littéraliste c'est de rétrécir ce qui est large, c'est de voir les choses d'une vision étroite, sous le seul aspect de halâl-harâm, alors que pour une question, de nature contextuelle, telle celle de la musique, on ne trouve rien d'explicite, en ce sens, dans le Coran, ni même dans la Sunna. Si la musique avait ce statut d'interdiction absolue, de tahrîm, comme on pourrait l'avancer, et avec toute l'ampleur qu'elle peut prendre, comme on le voit aujourd'hui, où elle est devenue non seulement un simple moyen de divertissement, ce serait sûrement explicité clairement dans le Coran, ce qui montre le caractère relatif, non absolu, pour une telle question.
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fwine a écrit:Citation
AyseDeCharleroi a écrit:
Au jeux d'échec, il faut savoir sacrifier son fou pour préserver sa reine
Désolé, c'est haram ça.
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fwine a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Le problème avec cette pensée littéraliste c'est de rétrécir ce qui est large, c'est de voir les choses d'une vision étroite, sous le seul aspect de halâl-harâm, alors que pour une question, de nature contextuelle, telle celle de la musique, on ne trouve rien d'explicite, en ce sens, dans le Coran, ni même dans la Sunna. Si la musique avait ce statut d'interdiction absolue, de tahrîm, comme on pourrait l'avancer, et avec toute l'ampleur qu'elle peut prendre, comme on le voit aujourd'hui, où elle est devenue non seulement un simple moyen de divertissement, ce serait sûrement explicité clairement dans le Coran, ce qui montre le caractère relatif, non absolu, pour une telle question.
Si tu veux que tout le monde soit concerné et comprenne le débat, il faut niveler cette vision de l'Islam par le bas (quitte à le réduire à halal/haram) et ôter tout ce qui est difficile à comprendre ou sujet à interprétation comme par exemple le contexte ou la finalité de tel ou tel principe.
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On ne peut prendre l'islam, sous quelque prétexte, et le réduire, tel que l'on veut, à ce que l'on veut, l'islam c'est un tout, en lequel la loi ne se dissociant pas de la finalité, la norme ne se dissociant de la valeur, la pratique ne se dissociant du principe. a écrit:
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themine a écrit:Citation
fwine a écrit:Citation
AyseDeCharleroi a écrit:
Au jeux d'échec, il faut savoir sacrifier son fou pour préserver sa reine
Désolé, c'est haram ça.
Les échecs sont haram .???
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Valsion a écrit:
Salam,
Bien dans ce cas là et puisqu'il n y a pas de peine infligé "juridiquement" pour la désobéissance aux parents, par exemple on va pouvoir discuter des conditions dans lesquels il nous est permis de leur manquer de respect,c'est vrai quoi,après tout c'est un pêché moindre puisqu'il n y a à ce sujet pas de "peine juridique" prescrite ici bas...
Même si je vais dans ton sens en admettons que la musique est un petit pêché,sais-tu qu'un petit pêché peux en devenir un grand si on le répète?
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Alors... Je résume ce que tu as cité : les échecs sont interdits si jouer entrave la pratique de l'Islam.
Je résume ce que j'ai cité : les échecs sont interdits car ce jeu possède des conséquences fâcheuses, qu'il provoque haine et inimitié. Donc, d'un point de vue objectif, si je connais la deuxième prescription, je n'ai pas besoin de connaître la première, puisque la deuxième prescription est plus sélective que la première. a écrit:
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zecrade a écrit:
Si tu ne connais que la seconde citation (la tienne) tu ne peux pas savoir ma citation a savoir que les échecs ne sont pas interdits sauf s'ils constituent un manquement a la religion.
Un autre exemple pour que tu assimile bien le cour :
- parler possède des conséquences fâcheuses, qu'il provoque haine et inimitié.
- Il est autorisé de parler si la parole ne comporte aucun mot haineux ou fâcheux.
Si tu ignore la deuxieme régle tu ne parlera pas. C'est la même chose en ayant coupé une partie de ce que tu as posté tu ne donne pas tous les details.
Si tu prend d'un point de vue objectif comme tu as dit dans ce cas je ne vois pas pourquoi tu as dit que les échec sont interdit puisque en rajoutant la partie que tu as coupé il est claire que le sujet fait divérgence entre les écoles. Donc cas tu donne un avis subjectif. Décidement tu te contredis dans bien des postes.
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faqir a écrit:
Assala alaikoum
Quels textes coraniques interdisant explicitement - tel c'est le cas du vin, du porc, de l'adultère...- la musique, alors que dans la sunna, on sait qu'il y eu a recours à la musique, au moins pendant les occasions de fête. Comment on se permettrait une chose qui serait fortement interdite, que serait-ce aux occasions de fête, ou ailleurs.
Ce genre de questions, telle celle de la musique, sont de caractère relatif, non absolu, et si on parle d'interdiction, ou de permission, c'est par rapport à un contexte, à une situation, et non dans l'absolu. Et c'est dans ce cadre qu'il serait possible de saisir le sens d'interdiction et de permission dont il est objet dans les hadiths, dans une vision globale, non partielle, de la question.
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AyseDeCharleroi a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assala alaikoum
Quels textes coraniques interdisant explicitement - tel c'est le cas du vin, du porc, de l'adultère...- la musique, alors que dans la sunna, on sait qu'il y eu a recours à la musique, au moins pendant les occasions de fête. Comment on se permettrait une chose qui serait fortement interdite, que serait-ce aux occasions de fête, ou ailleurs.
Ce genre de questions, telle celle de la musique, sont de caractère relatif, non absolu, et si on parle d'interdiction, ou de permission, c'est par rapport à un contexte, à une situation, et non dans l'absolu. Et c'est dans ce cadre qu'il serait possible de saisir le sens d'interdiction et de permission dont il est objet dans les hadiths, dans une vision globale, non partielle, de la question.
Il faut relire un peu plus haut...C'est très clairement expliqué
Assalam alaikoum
De toute façon, cette discussion je l'ai suivie de son début, et pour les explications concernant un tel sujet, comme celui de la musique, susceptible de divergence, elles varient, entre celles qui lui attribuent un statut, notamment d'interdiction, absolu et définitif, alors qu'il serait possible d'en donner, vu qu'elle ne figure pas dans le Coran de manière explicite, et vu les différents hadiths, une autre explication, celle d'un caractère relatif, contextuel, non absolu.