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Septime a écrit:
C'est toujours un grand plaisir de te lire Ahwal. Tu as des analyses très pertinentes et tu es toujours mesurée (contrairement à moi lol).
Je voulais également montrer à ces nombreuses personnes qui se sentent offenser par les propos de Brigitte Bardot la réalité de notre soit disant communauté de victimes.
C'est tellement ignoble ! Je m'imaginais la souffrance de ces bêtes entassées dans cette cave... Mais quelle communauté détestable nous sommes devenus ... quelle communauté méprisable...
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Ahwal* a écrit:
Tu as raison d'être en colère, cet acte est inadmissible et immonde...
Au lieu de se contenter de sa retraite et vivre normalement, voilà ce que fait ce chibani, c'est encore pire j'ai envie de dire...
Tout ce qu'ils touchent se transforment en zbel... Brigitte Bardot ce n'est qu'anecdotique, parce qu'en realité, tout s'explique, mais au lieu de se remettre en question, on préfère pleurer.
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Septime a écrit:
C'est tout à fait ça !
Je n'arrive pas à comprendre cette majorité silencieuse de musulman qui troquent leur devoir d'agir, de condamner et de stopper contre une relative paix. Ils feignent ignorer ce qu'il se passe pour ne pas s'attirer des problèmes.
Quand j'ai parlé de cette affaire autour de moi, tous sans exceptions ont excusé le retraité : "oh le pauvre, il voulait certainement aidé". S'il avait été juif, on aurait inondé les reseaux sociaux de notre pseudo consternation à géométrie variable. Mais quand c'est l'un des notres, on fait l'autruche.
Je vais être dur, mais si tu as une once de gout pour la justice aujourd'hui tu ne peut être que l'ennemi des musulmans d'aujourd'hui.
Il suffit de se balader dans la rue. Dès que tu entends un grossierté, à 90% c'est le fait d'un "musulman". Dès que tu tombes sur une incivilité (viol du code de la route, rodéo urbain, bagarre, agression ...) c'est à 90% certain que c'est un musulman.
Comment aujourd'hui des musulmans peuvent encore oser se dire juste sans manquer de s'étouffer ?
On devrait avoir perdu le sommeil depuis des lustres. Mais non. On est toujours là, à inonder auchan pour profiter des réclames, à se remplir le ventre de victuailles et parfois, entre le fromage et le dessert, on jour les consternés parce que Bardot nous pointe du doigt.