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bonnes oeuvres pour un mort
t
4 août 2006 22:54
salam ouahlaiykoum,

Mon pere est mort y a pas longtemps et je voulais savoir si je pouvais réaliser des bonnes oeuvres pour son compte comme par exemple faire des dons, accomplir le pelerinage etc....

Si oui pouvez vous me donner la source de votre réponse pour eviter toutes innovations.

Je vous remercie
H
4 août 2006 23:53
Assalam'alaykoum,

Allahi rahmo o y wassa3 ali3 o jami3 el muslimine.

Je n'ai pu trouver que cela pour le moment, peut-être que ça t'aidera.

"La première chose à faire pour un mort, c'est d'acquitter ses dettes s'il en a. Le Prophète (saw) avait refusé sa prière pour un mort endetté avant qu'on eût réglé ses dettes et dit :"L'âme du Croyant est esclave de sa dette jusqu'à son règlement." hadith rapporté par Al Bokhari)."
Extrait du site [www.aceiweb.org]

Si je trouve autre chose, je t'en fais part incha'Allah.

Que Dieu t'accorde la patience pour supporter cette épreuve Incha'Allah
r
5 août 2006 00:19
"yan9ati3o 3amalo bani adam illa min talat"1/ 3ilmon yountafa3o bihi , 2/ sada9a jaria 3/waladon saleh yad3ou lah
après la mort seules trois actions restent:
1/ une science ou une connaissance dont les gens peuvent profiter = comme si il a appris des versets de coran à quelqu'un tant que cette personne lit ces versets et lui profite de ces hassanates même après sa mort
2/ un don qui dure = comme si il a cotisé dans la construction d'un e mosquée , une école coranique, un puits ou toute autre chose dont les gens peuvent profiter à long terme ou al wa9f= il a un bien loué et son loyer va aux pauvres
3/ un bon enfant qui prie pour lui=
WA LLAH ALAM
t
5 août 2006 12:25
Accomplir un acte cultuel pour un défunt ; lui en offrir la récompense...
salam aleykoum



Beaucoup de gens se posent la question de savoir ce qu'il peuvent faire pour un être proche qui vient de mourrir, voilà un article qui peut vous aider a répondre à cette question ... On a tous perdu un être cher et on aimerait agir en sa faveur ...



Bonne lecture n'hésitez pas à l'imprimer ...



Question :

Le verset du Coran qui dit : "N'a-t-il pas été informé de ce qu'il y a dans les feuillets de Moïse et de Abraham – celui qui a tenu sa promesse – qu'aucune âme ne portera le fardeau d'une autre, que l'homme n'aura que ce à quoi il se sera efforcé, et que son effort sera vu [le jour du jugement] puis qu'il en sera rétribué pleinement ?" (Coran 53/36-41) montre que l'homme n'obtiendra que les bonnes actions qu'il aura acquises et non celles d'autres personnes que lui. Pourquoi dit-on alors qu'on peut offrir à un frère défunt la récompense de certaines actions (comme la récitation du texte du Coran), ou même accomplir certaines autres (comme le pèlerinage) à la place d'un frère défunt ?


Réponse :

Déjà il faut dégager deux grandes catégories...

A) Il y a d'une part ce qui découle d'un "investissement" de la personne pendant qu'elle était en vie (mâ tassabbaba ilayh il-mayyitu fî hayâtih) :

Il s'agit de ce que l'homme défunt avait réalisé d'"investissement devant lui rapporter à long terme" (cf. Tafsîr Ibn Kathîr 4/227). Relève de ce cas de figure ce que le Prophète a décrit comme étant une "sadaqa jâriya" (Muslim 1631) : il s'agit d'une "aumône continue" réalisée par la personne de son vivant : par exemple un puits qu'elle a fait creuser charitablement et dont les humains ou les animaux profitent toujours après sa mort ; un dispensaire qu'elle a créé et auquel elle a donné un legs ; etc. Relève également de ce cas de figure ce que le Prophète a ainsi évoqué : "une connaissance dont (les gens) tirent profit" (Muslim 1631). Ici votre question ne se pose pas, car il est évident qu'il s'agit bien de ce que l'homme aujourd'hui défunt avait acquis durant son vivant, mais le rapport en est continu...


Cool Et puis d'autre part il y a ce qui découle de l'action d'autres personnes que le défunt (mâ yaf'aluhu-l-ghayru lil-mayyit) :

A l'intérieur de cette seconde catégorie, plusieurs types existent :

B.a) Régler une dette du défunt ;

B.b) L'invocation adressée à Dieu en faveur du défunt (du'â' hayyin lil-mayyit) : par exemple Ahmad dit à Dieu : "O Dieu, accorde Ton pardon à mon défunt père, à Untel, à Untel" ;

B.c) L'offre, par le vivant, de la récompense d'un acte au défunt (hibat uth-thawâb) : par exemple Ahmad récite un passage du Coran puis dit à Dieu : "J'offre la récompense de cette récitation à mon défunt père" ;

B.d) L'action faite par le vivant en place du défunt (niyâba) : par exemple Ahmad accomplit la pèlerinage à la Mecque pour son défunt père qui, lui, n'avait pu l'effectuer parce que, bien que possédant les moyens financiers pour le voyage et le séjour dans les lieux saints ainsi que pour l'entretien de ceux dont il avait la responsabilité, il n'était pas suffisamment en bonne santé pour pouvoir accomplir le voyage et les rites du pèlerinage.

Quelques notes à propos de chacun de ces points :

Le point B.a est évident : une dette d'argent constitue un devoir lié au paiement d'une somme à un autre homme, et l'objectif de cet autre homme est d'être payé ; le fait que ce soit quelqu'un d'autre que le débiteur qui ait réglé la dette n'importe pas vraiment.
Ainsi, Qatâda se chargea d'acquitter en place d'un défunt la dette de deux pièces d'or que celui-ci avait à son passif, et le Prophète approuva cela (rapporté par Ahmad, authentifié par at-Turkî : Shar'h ul-'aqîda at-tahâwiyya, p. 668)

Le point B.b est également clair : il s'agit non d'une offre de récompense d'un acte à un défunt, mais d'un acte fait par la personne vivante elle-même : c'est elle qui invoque Dieu ; simplement elle demande à Dieu d'accorder Son pardon au défunt. Or on peut invoquer Dieu en faveur de ses proches décédés, des autres musulmans décédés, comme on peut L'invoquer à propos de n'importe quel humain. Le Prophète a dit : "Demandez pour votre frère le pardon, ainsi que la constance sur la foi" (Abû Dâoûd 3221). Il ne s'agit pas du don d'une récompense ni d'une action faite en place de quelqu'un d'autre, mais d'une demande adressée par un frère à Dieu pour qu'Il accorde à un autre frère telle faveur.

Par contre, pour ce qui est des cas B.c et B.d, la question se pose en effet : cela ne contredit-il pas le principe de la responsabilité individuelle enseignée par le Coran ?

En fait il faut savoir qu'il y a des textes qui évoquent clairement le cas B.c, c'est-à-dire l'offre de récompense :
- A propos de l'aumône : à un homme venu lui demander : "Ma mère est morte subitement, sans avoir fait de testament. Je pense que si elle avait parlé elle aurait fait l'aumône. Aura-t-elle une récompense si je fais l'aumône de sa part ?", le Prophète répondit : "Oui" (al-Bukhârî 1388, Muslim 1004). Un cas voisin s'est produit avec Sa'd ibn 'Ubâda (voir al-Bukhârî 2756, Abû Dâoûd 2882). Un homme vint voir le Prophète et lui dit : "Mon père est décédé en laissant des biens mais sans avoir fait de testament ; si je fais l'aumône de sa part, cela effacera-t-il ses péchés ? – Oui" (Muslim 1630).
- A propos du sacrifice rituel d'un animal lors de la fête d'Abraham : le Prophète offrit deux animaux et dédia la récompense de l'un d'eux à sa oumma : "O Dieu, celui-ci est pour toute ma oumma : ceux qui témoignent que Tu es unique et que j'ai transmis le message" (Ahmad, cité en note de bas de page sur Shar'h ul-'aqîda at-tahâwiyya, pp. 671-672).

D'autres textes évoquent le cas B.d, autrement dit la possibilité de faire un acte en place de quelqu'un d'autre :
- A propos du jeûne : "Celui qui meurt alors qu'il devait des jeûnes, que son parent jeûne pour lui" (al-Bukhârî 1952, Muslim 1147). "Ma mère est morte alors qu'elle avait fait le vœu (de jeûner et elle n'a pas pu honorer ce vœu). Jeûnerais-je à sa place ? – Si ta mère avait contracté une dette et que tu la réglais à sa place, cela l'acquitterait-elle de cette dette ? – Oui. – Eh bien jeûne à sa place" (Muslim 1148).
- A propos du pèlerinage : un homme vint voir le Prophète et lui dit : "Mon père est mort sans avoir accompli le pèlerinage. Ferais-je le pèlerinage de sa part ? – Si ton père avait contracté une dette, l'acquitterais-tu à sa place ? – Oui. – Eh bien la dette qu'on a vis-à-vis de Dieu mérite plus qu'on l'acquitte" (an-Nassâ'ï 2639).

Tous les sunnites ont, même à propos de ces deux cas B.c et B.d, gardé comme règle générale l'idée du verset coranique que vous avez cité, et ont considéré que les cas où il était possible d'offrir la récompense ou d'accomplir un acte en place de quelqu'un d'autre constituaient, par rapport à cette règle générale, des exceptions, car englobant de légères différences par rapport aux autres cas. Ils ont cependant divergé quant au détail de ces exceptions et de ces différences.

Déjà il faut dire que des savants ont relaté le consensus des savants à propos :
– du fait qu'un musulman ne peut pas accomplir la prière rituelle (salât) à la place d'un d'autre (Fat'h ul-bârî 4/90),
– et du fait qu'un fils peut offrir la récompense d'une aumône à son défunt parent (Ibn Kathîr a relaté le consensus à propos de l'offre de la récompense par un musulman, quel qu'il soit : Tafsîr Ibn Kathîr 4/227 ; cependant ash-Shawkânî a écrit que cette possibilité d'offrir la récompense de tout acte cultuel concerne le fils seulement : Nayl ul-awtâr 4/130 ; le consensus ne concerne donc que l'offre de récompense par le fils, puisque le cas du musulman en général fait l'objet d'une divergence).

Pour ce qui est des autres cas de figure, voici ci-après les positions de deux écoles :



Les savants shafi'ites ont émis les quelques points directeurs suivants…

– Le premier est que l'exception (par rapport à la règle générale de l'enregistrement à son actif de ses seules actions personnelles) doit rester confinée aux cas stipulés dans les textes, et ne peut donc pas être élargie à d'autres cas par analogie (Tafsîr Ibn Kathîr 4/227) ; c'est pourquoi ces savants shafi'ites disent qu'il est impossible à un musulman de demander à Dieu d'offrir à quelqu'un d'autre la récompense d'une récitation du Coran qu'il a faite, car l'offre de récompense de la récitation du Coran n'est pas mentionnée dans les textes des deux sources.

– Il semble, d'après mon humble compréhension, que chez les shafi'ites les deux notions B.c et B.d soient liées ensemble : l'acte dont il est possible d'offrir la récompense à une personne (B.c), il est aussi possible de l'accomplir en place de cette personne si elle venait à en être empêchée (décès, grave maladie) (B.d) ; de même, l'acte qu'il est possible d'accomplir à la place de quelqu'un (B.d), il est aussi possible d'en offrir la récompense à quelqu'un (B.c). Ainsi, s'il est possible d'offrir la récompense d'un jeûne à un défunt, il est aussi possible d'accomplir le jeûne que le proche parent défunt a manqué (ce faisant, les shafi'ites ont considéré le Hadîth dans sa littéralité) (il faut cependant noter qu'en fait deux avis coexistent au sein de l'école shafi'ite quant au fait de savoir s'il est possible d'accomplir en place de quelqu'un un jeûne obligatoire qu'il avait manqué : et l'avis retenu est le même que chez les hanafites : nul ne peut accomplir à la place de quelqu'un le jeûne obligatoire qu'il avait manqué, il faudra payer une compensation (fidya) de sa part : Al-Fiqh ul-islâmî wa adillatuh, p. 1737).

– Le troisième point est que lorsque le défunt laisse à son passif le non accomplissement d'actions de ce genre et qu'il laisse aussi un héritage constitué de biens matériels, les héritiers devront impérativement retirer les sommes d'argent nécessaires pour accomplir ce que leur parent aurait du faire, et ce même si ce parent n'a pas fait de testament en ce sens. Ainsi, si le défunt devait payer deux compensations (fidya) parce qu'il avait manqué des jeûnes obligatoires pour cause de grave maladie, ces compensations seront payées de son legs même s'il n'avait pas de son vivant demandé qu'on le fasse : le fait est qu'il s'agit d'une dette vis-à-vis de Dieu, et, similairement à la dette que le défunt laisse vis-à-vis d'êtres humains, ce montant doit être réglé à partir du legs même si le défunt n'avait laissé aucune directive allant dans ce sens (Al-Fiqh ul-islâmî wa adillatuh, p. 1737, Al-Hidâya, tome 1 p. 202, Al-Mawârîth, as-Sâbûnî, p. 35).



Les savants hanafites ont, eux, une position différente :

D'une part) Ils n'ont pas lié ensemble les points B.c et B.d :

– Le point B.c fait chez eux l'objet d'une plus grande latitude que chez les savants précédemment cités, puisque c'est à propos de tout acte facultatif qu'ils autorisent qu'on offre la récompense au défunt : pour eux l'analogie est donc possible à partir des cas mentionnés dans les textes quant à ce point B.c, et c'est bien pourquoi ils autorisent que l'on offre au défunt la récompense pour une récitation du Coran, bien que ce cas de figure ne soit pas mentionné dans les textes (Shar'h ul-'aqîda at-tahâwiyya, pp. 673-674) ;

– Par contre, à propos du point B.d (accomplir l'acte en place de quelqu'un d'autre), ils ont dégagé une règle générale à partir des cas stipulés dans les sources : il s'agit, selon eux, des actes cultuels qui ne se font pas uniquement par des gestes physiques ('ibâdât badaniyya) ; tout acte de culte qui est physique – comme la prière rituelle – ne peut donc pas être accompli en place de quelqu'un d'autre, fût-il défunt. Dès lors, ces savants de la tradition ahl ar-ra'y n'ont pas appréhendé de façon littérale le Hadîth "Celui qui meurt alors qu'il a manqué des jeûnes, que son parent jeûne pour lui" : primo at-Tahâwî dit que les deux Compagnons qui ont rapportés ces deux Hadîths ont émis la fatwa contrairement à ce que leur texte dit (cf. Al-Muwâfaqât 2/531 – la fatwa de Aïcha est visible dans Ahkâm ul-janâ'ïz, p. 215 ; quant à la fatwa de Ibn Abbâs, elle est visible dans Shar'h ul-'aqîda at-tahâwiyya, p. 665) ; or le fait que le Compagnon ayant rapporté un Hadîth donné ait donné une fatwa contraire à ce que la lettre de ce Hadîth dit constitue, dans l'école hanafite, la preuve que ce Hadîth a été ensuite abrogé ou bien est à prendre dans un sens figuré ; secundo les savants hanafites ont lu ces deux Hadîths à la lumière de la règle générale précédemment évoquée : ces deux textes sont donc selon eux à comprendre comme signifiant que le parent paiera la compensation (fidya) pour les jeûnes manqués par le défunt.
Ici une question se pose : conformément au Hadîth relaté plus haut, les savants hanafites autorisent eux aussi que l'on accomplisse le pèlerinage en place de celui qui ne peut pas le faire, et à fortiori du défunt ; pourtant le pèlerinage est un acte cultuel qui ne se fait pas principalement par une dépense d'argent mais par un déplacement physique ainsi que par un ensemble de gestes physiques ; or on vient de voir que les hanafites restreignent la possibilité d'accomplir un acte cultuel en place de quelqu'un au cas où cet acte se fait par une dépense d'argent et non par le corps. La réponse pourrait être la suivante (wallâhu a'lam) : effectivement, même si le pèlerinage se fait la plupart du temps par la dépense d'une certaine somme d'argent aussi, la dimension de l'"accomplissement par le corps" y domine largement celle de la "dépense d'argent" (ainsi que l'ont relevé certains savants hanafites : Shar'h ul-aqîda at-tahâwiyya, p. 672 ; voir aussi note n° 11 en bas de page de al-Hidâya 1/276) ; cependant, le pèlerinage renferme également un autre aspect, qui s'exprime par rapport à quelque chose d'extérieur à l'homme : il est, en même temps qu'un ensemble d'actes physiques, un témoignage de respect vis-à-vis de la Maison de Dieu (c'est pourquoi on dit que la cause de son caractère obligatoire est la Présence de la Maison de Dieu, à quoi s'ajoute l'existence de l'homme en tant que serviteur (et donc aspirant à la proximité de Dieu) : sababuhû : al-bayt : al-Hidâya, 1/212, sababu wujûbihî : wujûd ul-'abd min hayth ul-'ubûdiyya : Ussûl ush-Shâshî, note de bas de page sur p. 101) ; le pèlerinage ne peut donc pas être ramené à seulement un ensemble d'actes à accomplir par son être, corps et cœur – comme c'est le cas de la prière rituelle (salât) –, et, contrairement à elle, lui peut donc être accompli par quelqu'un en place de quelqu'un d'autre.

D'autre part) Toujours par rapport à ce point B.d, les hanafites disent : il s'agit d'actes purement cultuels ; or la validité des actes purement cultuels nécessite l'intention (niyya) de celui qui les accomplit ; dans le cas de l'accomplissement d'un acte en place d'une personne défunte, l'"intention" consiste en le fait qu'elle ait, de son vivant, fait un testament : il faut que, de son vivant, elle ait demandé qu'on l'on puise dans son legs pour s'acquitter de ce qu'elle devait à Dieu ; au cas où elle n'avait pas fait de testament de ce genre, non seulement les héritiers ne sont pas obligés de s'acquitter de la somme d'argent voulue, mais s'ils le font cela ne sera pas valable auprès de Dieu (Muhammad ibn al-Hassan a formulé les choses ainsi : si les héritiers choisissent d'eux-mêmes de s'acquitter de la somme voulue, il est à espérer de Dieu qu'il déchargera la personne défunte de l'acte obligatoire qu'elle n'avait pas fait et dont cette somme constitue la compensation ("yujzîhi inshâ Allâh" : Fat'h ul-qadîr 2/363) : cette formulation indique bien que la règle originelle est ce que nous avons vu : sans testament, l'acquittement n'est normalement pas valide, mais si quelqu'un l'accomplit, il peut espérer que Dieu l'acceptera).

Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).

Une invocation pour le frère Anas qui a écrit cet article.
s
5 août 2006 12:30
Citation
tefah92 a écrit:
salam ouahlaiykoum,

Mon pere est mort y a pas longtemps et je voulais savoir si je pouvais réaliser des bonnes oeuvres pour son compte comme par exemple faire des dons, accomplir le pelerinage etc....

Si oui pouvez vous me donner la source de votre réponse pour eviter toutes innovations.

Je vous remercie
salam aleycoum tefah
toute ma compassion pour ta douleur, et que dieu ait son ame
en revanche, je ne vais pas te repondre comme tu l'esperes, mais , selon ma philosophie de la foi!
tout acte que tu ferais, est de ton compte a toi!
tout acte de ton pere est de son compte a lui!
donc, ce que tu as , pour moi, de mieux a faire, pour dieu, c'est de souhaiter le pardon de dieu pour lui , et de faire en sorte de t'occuper aux mieux de tes proches, de ta mere, des freres et soeurs, d'aider par le soutien morale et financier, de faire en sorte, d'apaiser la douleur, de faire en sorte de se rappeller que nous sommes tous appeller a rejoindre dieu, et ainsi, le message sera passe, et cela n'est pas une fin, et tu le sais bien, donc, uniquement faire en sorte, que cela serve a mediter et a rapprocher les siens, sa famille, ses amis, donc, a faire le bien!
voila, sinon, en ce qui concerne faire des dons ect, on fait les dons par amour pour dieu, et non, pour obtenir une transaction, excuse ma franchise, mais c'est ainsi, on fait cela parce que dieu nous demande de faire le bien, et de croire en lui, et donc, les deux sont associes, et ne peuvent etre separe
faire le bien par rapport a dieu, afin qu'il soit satisfait, et non le faire en echange de quelque chose d'autres
salam et bon courage
XCXXXXXXX
m
5 août 2006 13:22
tt d'abor jte diré ma seur d'évité de pleuré car le mor é tourmenté par les pleur de sa famill,ttefoi tu peu avoir lé larm car le prophére 'alahi salat ou salam lé avé qd lé compagnon lui montréren le fils de sa fill mouran car c'été une miséricorde ke Dieu exalté a placé ds le keur de ses esclave..ensuite pr répondr ata kestion,jte demandré ma seur de paiemen ses dette sinon kom l'a di le prophéte 'alahi salat ou salam l'ame du croyan reste suspendu asa dette juska son acquitemen, tu doi égalemen tiré une lecon de des funéraill ce qui normalmen devré te permettr d'accroitr ta foi, fair des invocation pr ton papa dé son inhumination et s'assoir aupré de sa tombe environ 1h pr prié pr lui pr demendé a Allah ta'ala de l'absoudr et lir le coran car a cet instan il é entrin d'étr kestioné par lé 2anges de la mor, tu peu égalemen lui fair des aumone et invoqué Dieu pr lui car lorsqu'un musulman meur son oeuvr s'arréte sof 3choses : 1enfan qu'il a légué en aumone continu, 1oeuvr scientifiqu don lé gen tiren profi (kom 1pui, 1hopital.....) et un enfan vertueu ki pri pr lui ou ki,par ses bonn action,pouss lé gen a lui bénir ses paren....rapporté par Moslem et par attirmidhi....wa lahou a'lame!!!
s
5 août 2006 14:24
Citation
muslime52 a écrit:
tt d'abor jte diré ma seur d'évité de pleuré car le mor é tourmenté par les pleur de sa famill,ttefoi tu peu avoir lé larm car le prophére 'alahi salat ou salam lé avé qd lé compagnon lui montréren le fils de sa fill mouran car c'été une miséricorde ke Dieu exalté a placé ds le keur de ses esclave..ensuite pr répondr ata kestion,jte demandré ma seur de paiemen ses dette sinon kom l'a di le prophéte 'alahi salat ou salam l'ame du croyan reste suspendu asa dette juska son acquitemen, tu doi égalemen tiré une lecon de des funéraill ce qui normalmen devré te permettr d'accroitr ta foi, fair des invocation pr ton papa dé son inhumination et s'assoir aupré de sa tombe environ 1h pr prié pr lui pr demendé a Allah ta'ala de l'absoudr et lir le coran car a cet instan il é entrin d'étr kestioné par lé 2anges de la mor, tu peu égalemen lui fair des aumone et invoqué Dieu pr lui car lorsqu'un musulman meur son oeuvr s'arréte sof 3choses : 1enfan qu'il a légué en aumone continu, 1oeuvr scientifiqu don lé gen tiren profi (kom 1pui, 1hopital.....) et un enfan vertueu ki pri pr lui ou ki,par ses bonn action,pouss lé gen a lui bénir ses paren....rapporté par Moslem et par attirmidhi....wa lahou a'lame!!!
salam muslime
et bien, on peut aussi ne pas faire tout cela, car , cela ne revelle que de la superstition et non de la realite!
aucune obligation la dedans, sauf des rituelles, qui ne font pas confiance a dieu, donc, dieu seul juge, et dieu jugera, juste a s'occuper de ses affaires, donc, de propager le bien, et le bien, surtout se rapprocher entre nous, afin de se rappeller que nous ne sommes pas eternelles, et se confier a dieu, confier sa douleur, et s'en remettre a lui
on a le droit de parler a dieu, donc, parlons lui
salam
XCXXXXXXX
m
5 août 2006 14:31
dsl si tu ne ma pa compri jpensé avoir été assé clér mé jvoi ke non..ma'lich yapa de souci moi gé simplemen di ck ma apri a ce sujé a jeune cheikh c tt, de plus ke cé écri ds Riyad as-salihine.....k'Allah ta'ala te guide
s
5 août 2006 16:04
Citation
muslime52 a écrit:
dsl si tu ne ma pa compri jpensé avoir été assé clér mé jvoi ke non..ma'lich yapa de souci moi gé simplemen di ck ma apri a ce sujé a jeune cheikh c tt, de plus ke cé écri ds Riyad as-salihine.....k'Allah ta'ala te guide
salam ma soeur
je t'ai deja repondu dans un autre sujet, qu'il fallait que tu te fasses ta propre opinion, que tu reflechisses par toi meme, que tu lises le coran, et ainsi, tu pourras trancher tes avis sur la question!
ainsi, aussi, t'en remettras tu a dieu, qui te guidera sur la voie de la connaissance, mais , justement, adresse toi donc, a dieu
salam
XCXXXXXXX
m
5 août 2006 19:00
je...jveu pa te manké de respé, ni me prdr le téte avc toi car je cé ktu doi étr une fiy bien mé tu cé sophia j'étudi bcp et j'essai d'apprendr bcp y compri le coran inchAllah ki st ma priorité ds ma vi je préfér arrété de parlé pr évité kon ai une movése image de moi...k'Allah ns guide et ns pardonne...amine wa lhamdoulilahi rabi l'alamine!!!
s
5 août 2006 19:19
Citation
muslime52 a écrit:
je...jveu pa te manké de respé, ni me prdr le téte avc toi car je cé ktu doi étr une fiy bien mé tu cé sophia j'étudi bcp et j'essai d'apprendr bcp y compri le coran inchAllah ki st ma priorité ds ma vi je préfér arrété de parlé pr évité kon ai une movése image de moi...k'Allah ns guide et ns pardonne...amine wa lhamdoulilahi rabi l'alamine!!!
salam muslime
non, non, et non!
je n'ai pas une mauvaise image de toi, au contraire, j'en ai une tres bonne
je te l'ai deja dit, tu es quelqu'un de sincere, de bien, ton coeur est bon, et plein de bonne volonte, cela, ca se sent, ca ne trompe pas, alors, crois moi, tu es certe plus pret du seigneur que ce qui disent connaitre tout, et ne ressente rien!
ce n'est surtout pas la , qui faut te remettre en cause,
je te donnais juste un avis sincere, car tu es quelqu'un de bien, et quand on aime bien quelqu'un , on veut la conseiller au mieux, c'est tout!
mais crois moi, j'ai beaucoup plus de respect pour les gens comme toi, aussi sincere, aussi vrai, que ce qui me complese avec de beau discours, et que le fond est mauvais!
tu as tout mon respect ma soeur, sincerement
salam
XCXXXXXXX
m
5 août 2006 22:08
jsui un frére ma seur...yapa de soucipr ton erreur et ca me touch bcp cke tu mdi
m
5 août 2006 22:10
jveu just tdir ke jsui un frére ma seur mé yapa de souci té pardonné..cke tu mdi me touch bcp...barakAllahou fik
s
5 août 2006 23:38
Citation
muslime52 a écrit:
jsui un frére ma seur...yapa de soucipr ton erreur et ca me touch bcp cke tu mdi
salam mon frere muslime et excuse pour ma soeur
et bien, je le pense vraiment, cela sort de mon coeur, et dieu m'en est temoin
ce ne sont pas des paroles en l'air, quand je prend dieu a temoin
que dieu te guide, car tu es un homme de foi, cela, j'en suis pratiquement
sure
salam
XCXXXXXXX
s
5 août 2006 23:53
Allah y rham ton papa
 
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