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a écrit:
Si quelqu’un dit : « Où est Allah » Il sort de l’Islam.
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Rastapopûlos a écrit:Citation
a écrit:
Si quelqu’un dit : « Où est Allah » Il sort de l’Islam.
Le Prophète (saws) a demandé à l'esclave "Ou est Allah."
Conclusion?
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Chadili a écrit:
donc déja vous avez mal interprété le hadith de la femme esclave jamais les Prophète on fait de mécréance car le fait de dire : Ou est Allah , sa insinu que Allah aurai un endroit ce qui est faux Dieu a créer les endroit il n'a pas besoin des endroit donc le fait que vous avez dit que Dieu est établit sur le trone c'est le fait que vous avez pris un verset Moutachabih non explicite sur lequel nécessite une interprétation :
Ar-Rahmanou 3ala l 3arch istawa signifie que Dieu domine le trone par Sa toute puissance
alors vous vous avez contre dit un saint un waliyy qui est le petit fils du Prophète 3alayhi ssalàm Ahmad Rifa3iyy
Qui s'est qui s'asseoi, c'est les créature un tel va s'asseoi jambe croisé l'autre jambe tendu ceci est un établissement
Celui qui croit que Dieu est établit sur le trone il a mécru et il a attribuer le corps à Dieu car celui qui est dans un endroit est nécessairement un corps
hors quand on dit Allahou ssamad : Dieu est celui qui n'a besoin de rien et dont toute les créatures ont besoin
quand ont dit : layça kamithlihi chay : Rien est tel que Lui
et vous avez donner des ressemblant à Dieu c'est ce qu'a fait ibnou taymiyyah ibnou baz 3outhaimine et cela son pas musulman puisse qu'il ont dit que Dieu a des mains un pied donc ils ont attribuer à Dieu des ressemblant ce qui est une mauvaise croyance des preuves comme celle ci j'en a plein
la langue arabe est riche istawa quand on parle d'un fruit ont dit qu'il est mur le fruit
ensuite dans le Qouran il y a ce qui signifie : il y a des verset qui sont la base du livre
ensuite dans le Qouran il y a que Allah blame ce qui s'attache au sens apparent des verset moutachabih
ensuite les anthropomorphiste comme ibnou 3abdel wahhab ibnou taymiyyah ibnou baz 3outhamine et la clique eux la il y a un hadith les concernant
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Le verset « Rien n'est semblable à Lui, et Il est l'Auditant, le Voyant » (Coran), est un exemple de la formule coranique en ce qui consiste la désignation du Divin, et comme dit Cheikh Abd el-Karîm Jîlî (1366), cette formule représente un équilibre et une synthèse entre ce qu'on appelle le tanzîh et le tashbîh, c.à.d. entre la désignation du Divin par abstraction de toute comparaison ; « Rien n’est semblable à Lui », d'une part, et le symbolisme par analogie et comparaison; « Il est l’Auditant, le Voyant », d’autre part.
Dans cette synthèse, la primauté est au tanzîh, et le tashbîh vient comme un aspect, comme une forme de tanzîh. En fait, il n’y a pas de tashbîh, il n’y a que le tanzîh. Négation du tashbîh et affirmation du tanzîh ; le tanzîh est une négation du tashbîh, et le tashbîh est une affirmation du tanzîh.
Dans cette formule que représente ce verset, il est dit, alors que rien n’est semblable à Lui, Il est l’Auditant, le Voyant, alors qu’Il est l’Auditant, le Voyant, rien n’est semblable à Lui. Alors qu’Il est l’Auditant, rien n’est semblable à Son ouïe. Alors qu’Il est le Voyant, rien n’est semblable à Sa vue. « Rien n’est semblable à Lui » est une négation de toute comparaison, de tout tashbîh, « Il est l’Auditant, le Voyant » est une affirmation de cette non comparaison, de ce tanzîh.
« Rien n’est semblable à Lui » désigne le Divin par la transcendance, Celui qui est au-dessus de toute comparaison, de toute atteinte, « Il est l’Auditant, le Voyant » Le désigne par l’immanence, Celui qui atteint tout, qui entend, voit et sait tout, rien ne Lui échappe, Celui qui « Il est avec vous où que vous soyez » (Coran), Celui qui « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ! » (Coran). C’est une proximité, même comparée à celle de notre veine jugulaire, qui n’a pas de comparaison, qui n’a pas de limite, c’est une comparaison qui désigne la non comparaison, c’est un tashbîh qui désigne le tanzîh, c’est une détermination qui désigne la non détermination. Ce n’est que le Divin dans Sa non limitation qui peut être désigné par cette synthèse et cette unité de tanzîh et de tashbîh, de non comparaison et de comparaison, de non détermination et de détermination.
Ce n’est que dans cette synthèse et cette unité que le Divin peut être désigné et connu. Cette connaissance ne peut être que dans cette synthèse de tanzîh et de tashbîh, de transcendance et d’immanence, de négation et d’affirmation, synthèse qu’on trouve dans la formule de l’Unicité : « lâillâha illallâh », (lâilâha : négation, illallâh : affirmation) synthétisant toute la croyance et toute la connaissance. C’est pourquoi le Prophète (s.s.p) a dit : « La meilleure parole que j’ai dit moi et les prophètes (d’avant), lâ illâha illallâh ».