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La bonne croyance
C
27 décembre 2010 09:30
Certains attributs de Allah

1-L’existence : il est un devoir de croire que Allah existe, il n’y a aucun doute sur Son existence. Son existence n’a aucune ressemblance avec notre existence, Son existence est exempte de toute imperfections. Allah existe sans endroit et sans directions, et Il n'est pas dépendant du temps.

2- L'unicité : Allah est unique, Il n'a pas d'associé, Il est unique de par Lui-même, de par Ses attributs et de par Ses actes.

3- L'exemption de début : Allah est éternel exempt de début, il n'y a pas de début à Son existence.

4-L'exemption de fin : Allah est éternel exempt de fin, il n'y a pas de fin à Son existence. Il ne s'anéantit pas et ne meurt pas.

5-Le non-besoin : Allah n'a besoin d'aucune de Ses créatures alors que toutes les créatures ont besoin de Lui. Allah n'a besoin de rien.

6-La puissance : Allah est puissant sur toute chose.

7-La volonté : c'est-à-dire le vouloir. Tout ce qui se passe dans cet univers advient par le vouloir de Allah.

8-La science : Allah sait toutes les choses avant qu'elles aient lieu.

9-L'ouïe : Allah entends tout ce qui est audible sans oreilles ni aucun autre organe. Son ouïe n'a aucune ressemblance avec la nôtre. Son ouïe est exempte de toutes imperfections.

10-La vue : Allah voit tout sans pupille ni aucun autre organe, Sa vue n'a aucune ressemblance avec la nôtre. Sa vue est exempt de toute imperfections.

11-La vie : Allah est vivant sans âme, sans chair ni cœur. Sa vie n'a pas de ressemblance avec la nôtre. Il est vivant et ne meurt pas.

12-La parole : Allah parle sans langue ni lèvre, ni aucun autre organe; Sa parole n'est pas un dialecte comme le français ou l'arabe ou le russe ou le chinois... ni un son, ni une voix, ni des chiffres, ni des lettres, Sa parole exempte de toute imperfections n'a aucune ressemblance avec la nôtre.

13-La différence avec ce qui entre en existence (la non ressemblance aux créatures) : Allah n'a absolument aucune ressemblance avec les créatures.

Il est absolument impossible d'imaginer Allah

Allah n’a besoin de rien




Allah à créer les humains,
Allah n’a pas besoin des humains.


Allah à créer l’air,
Allah n’a pas besoin de l’air.


Allah à créer la terre,
Allah n’a pas besoin de la terre.


Allah à créer ciel,
Allah n’a pas besoin du ciel.


Allah à créer le Trône,
Allah n’a pas besoin du Trône.


Allah à créer les anges,
Allah n’a pas besoin des anges.


Allah est le créateur de toute chose,
Allah n’a besoin d’aucune chose.




Allah n’a besoin de rien


















Allah n’a aucune ressemblance avec les créatures





Allah a créé la lumière, Allah n’a pas de ressemblance avec la lumière.


Allah a créé l’air, Allah n’a pas de ressemblance avec l’air.


Allah a créé le soleil, Allah n’a pas de ressemblance avec le soleil.


Allah a créé la lune, Allah n’a pas de ressemblance avec la lune.


Allah a créé les couleurs, Allah n’a pas de ressemblance avec les couleurs.


Allah a créé la lumière, Allah n’a pas de ressemblance avec la lumière.


Allah a créé les humains, Allah n’a pas de ressemblance avec les humains.


Allah a créé les anges, Allah n’a pas de ressemblance avec les anges.


Allah a créé toute chose, Allah n’a pas de ressemblance avec les créatures.





Rien n’est tel que Allah, rien ne lui ressemblance





Allah est mon Seigneur



Nul ne mérite adoration hormis Allah, Le Créateur de toute chose, Celui qui n’a besoin de rien, Celui qui prédestine toute chose.
Rien n’est tel que Lui.



Allah est le Créateur de toute chose.


Allah a la puissance sur toute chose.


Allah sait toute chose.


Allah toute chose Lui appartient.


Allah n’a pas de ressemblant.


Allah n’a pas d’associé.


Allah n’a besoin de rien.


Allah rien n’est tel que Lui.




Un savant de l’Islam a dit :
« Quoi que tu imagines en ton esprit Dieu en est différent »












Certaines phrases qui font sortir de l’Islam





Quiconque dira ces phrases, que ce soit en étant en colère, ou en plaisantant, fera que l’auteur qui les aura dites sort de l’Islam.



Si quelqu’un dit : « Où est Allah » Il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « On ne sait pas où est Allah » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « Comment est Allah » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « on ne sait pas comment et Allah » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « Allah est dans le ciel » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « Allah a des organes » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « Allah est un corps » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « Allah à des mains » il sort de l’Islam.

Si quelqu’un dit : « Allah est de partout »
S’il vise par cette parole que Allah est dans tous les endroits, il sort de l’Islam.





Rien n’est tel que Allah
Il est absolument impossible d’imaginer Allah

On ne dit pas « comment » ni « où » ni « quand » ni « pourquoi » au sujet de Allah.
Allah est exempt de toute imperfection.

La personne qui dit une de ces phrases, elle sort de l’Islam, pour revenir à l’Islam, elle doit délaisser, regretté ce qui l’a fait sortir de l’Islam et avoir la ferme intention de ne plus récidivé, et elle dit dans l’intention de revenir à l’Islam :

« Je témoigne qu’il n’est de dieu que Dieu et je témoigne que Mouhammad est le messager de Dieu »

Si la personne n’arrive pas à dire Mouhammad elle dit :

« Je témoigne qu’il n’est de dieu que Dieu et je témoigne que Abou l-Gacim est le messager de Dieu »

On dit Abou l-Gacim en prolongeant le son de la lettre « a » du mot Gacim et en faisant la liaison du mot Abou vers la lettre « L » ainsi, si on écrivait cela, cela donnerai : Aboul Gacim
X
27 décembre 2010 13:15
Citation
a écrit:
Si quelqu’un dit : « Où est Allah » Il sort de l’Islam.

Le Prophète (saws) a demandé à l'esclave "Ou est Allah."

Conclusion?
a
28 décembre 2010 01:02
Allah a dit qu'il s'est établi sur le Trône
Allah a dit qu'il avait des mains, une droite et une gauche
Allah a dit qu'il se mettait en colère

Conclusion?

On peut continuer comme cela longtemps...
a
28 décembre 2010 01:06
Les asharites ont une mauvaise compréhension de la question des attributs
Mais ils sont à la fois anthropomorphistes et négateurs des attributs de Dieu

Anthropomorphistes au sens où ils comprennent les attributs de Dieu au sens apparent réellement et croient que ceux qui reconnaissent que Dieu est sur le Trone pensent vraiment qu'il est assis sur le Trone, alors que ces derniers disent bien se démarquer de cela

Cette idée d'anthropomophie leur est insupportable qu'ils en viennent à nier les attributs de Dieu

La conclusion est qu'ils en fait les deux...
C
28 décembre 2010 08:10
donc déja vous avez mal interprété le hadith de la femme esclave jamais les Prophète on fait de mécréance car le fait de dire : Ou est Allah , sa insinu que Allah aurai un endroit ce qui est faux Dieu a créer les endroit il n'a pas besoin des endroit donc le fait que vous avez dit que Dieu est établit sur le trone c'est le fait que vous avez pris un verset Moutachabih non explicite sur lequel nécessite une interprétation :
Ar-Rahmanou 3ala l 3arch istawa signifie que Dieu domine le trone par Sa toute puissance
alors vous vous avez contre dit un saint un waliyy qui est le petit fils du Prophète 3alayhi ssalàm Ahmad Rifa3iyy

Qui s'est qui s'asseoi, c'est les créature un tel va s'asseoi jambe croisé l'autre jambe tendu ceci est un établissement
Celui qui croit que Dieu est établit sur le trone il a mécru et il a attribuer le corps à Dieu car celui qui est dans un endroit est nécessairement un corps
hors quand on dit Allahou ssamad : Dieu est celui qui n'a besoin de rien et dont toute les créatures ont besoin
quand ont dit : layça kamithlihi chay : Rien est tel que Lui
et vous avez donner des ressemblant à Dieu c'est ce qu'a fait ibnou taymiyyah ibnou baz 3outhaimine et cela son pas musulman puisse qu'il ont dit que Dieu a des mains un pied donc ils ont attribuer à Dieu des ressemblant ce qui est une mauvaise croyance des preuves comme celle ci j'en a plein
la langue arabe est riche istawa quand on parle d'un fruit ont dit qu'il est mur le fruit
ensuite dans le Qouran il y a ce qui signifie : il y a des verset qui sont la base du livre
ensuite dans le Qouran il y a que Allah blame ce qui s'attache au sens apparent des verset moutachabih
ensuite les anthropomorphiste comme ibnou 3abdel wahhab ibnou taymiyyah ibnou baz 3outhamine et la clique eux la il y a un hadith les concernant
C
28 décembre 2010 08:14
ce que vous avez prétendu c'est la croyance des juif et des chrétiens : ils croivent que Dieu est un homme assis sur un trone avec des pied des main qu'il est localisé, qu'il rigole, qu'il se met en colère

MAINTENANT YA UNE REGLE QUE LES SAVANT ONT DIT :
celui qui attribut à Dieu une des caractéristique des créatures il a certes commis de la mécréance

on interpréte selon ce qui est digne de Dieu
ensuite moi j'ai appris selon les 4 écoles sunnite donc selon des Awliyyah des savants qui ont appris avec les compagnons

si les gens apprennez ils ne tomberai pas dans les piège du chaytan mais Allah fait ce qu'Il veut
f
28 décembre 2010 11:55
Assalam alaikoum

Le verset « Rien n'est semblable à Lui, et Il est l'Auditant, le Voyant » (Coran), est un exemple de la formule coranique en ce qui consiste la désignation du Divin, et comme dit Cheikh Abd el-Karîm Jîlî (1366), cette formule représente un équilibre et une synthèse entre ce qu'on appelle le tanzîh et le tashbîh, c.à.d. entre la désignation du Divin par abstraction de toute comparaison ; « Rien n’est semblable à Lui », d'une part, et le symbolisme par analogie et comparaison; « Il est l’Auditant, le Voyant », d’autre part.
Dans cette synthèse, la primauté est au tanzîh, et le tashbîh vient comme un aspect, comme une forme de tanzîh. En fait, il n’y a pas de tashbîh, il n’y a que le tanzîh. Négation du tashbîh et affirmation du tanzîh ; le tanzîh est une négation du tashbîh, et le tashbîh est une affirmation du tanzîh.
Dans cette formule que représente ce verset, il est dit, alors que rien n’est semblable à Lui, Il est l’Auditant, le Voyant, alors qu’Il est l’Auditant, le Voyant, rien n’est semblable à Lui. Alors qu’Il est l’Auditant, rien n’est semblable à Son ouïe. Alors qu’Il est le Voyant, rien n’est semblable à Sa vue. « Rien n’est semblable à Lui » est une négation de toute comparaison, de tout tashbîh, « Il est l’Auditant, le Voyant » est une affirmation de cette non comparaison, de ce tanzîh.
« Rien n’est semblable à Lui » désigne le Divin par la transcendance, Celui qui est au-dessus de toute comparaison, de toute atteinte, « Il est l’Auditant, le Voyant » Le désigne par l’immanence, Celui qui atteint tout, qui entend, voit et sait tout, rien ne Lui échappe, Celui qui « Il est avec vous où que vous soyez » (Coran), Celui qui « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ! » (Coran). C’est une proximité, même comparée à celle de notre veine jugulaire, qui n’a pas de comparaison, qui n’a pas de limite, c’est une comparaison qui désigne la non comparaison, c’est un tashbîh qui désigne le tanzîh, c’est une détermination qui désigne la non détermination. Ce n’est que le Divin dans Sa non limitation qui peut être désigné par cette synthèse et cette unité de tanzîh et de tashbîh, de non comparaison et de comparaison, de non détermination et de détermination.
Ce n’est que dans cette synthèse et cette unité que le Divin peut être désigné et connu. Cette connaissance ne peut être que dans cette synthèse de tanzîh et de tashbîh, de transcendance et d’immanence, de négation et d’affirmation, synthèse qu’on trouve dans la formule de l’Unicité : « lâillâha illallâh », (lâilâha : négation, illallâh : affirmation) synthétisant toute la croyance et toute la connaissance. C’est pourquoi le Prophète (s.s.p) a dit : « La meilleure parole que j’ai dit moi et les prophètes (d’avant), lâ illâha illallâh ».



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/12/10 16:30 par faqir.
X
28 décembre 2010 16:10
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Citation
a écrit:
Si quelqu’un dit : « Où est Allah » Il sort de l’Islam.

Le Prophète (saws) a demandé à l'esclave "Ou est Allah."

Conclusion?

J'attends toujours la réponse à ma question.
C
28 décembre 2010 19:18
Hadith de la femme esclave :

Une question qui porte sur la glorification et non sur l’endroit

An-Nawawiyy a dit dans son commentaire du hadith : « La parole ('ayna l-Lah) est une interrogation au sujet du degré (al-makanah) et non au sujet de l'endroit (al-makan) ».

Elle signifie : « Quelle glorification accordes-tu dans ton cœur à Allah ? » Et lorsqu'elle a répondu : (Fi s-sama'), cela veut dire que Allah est plus puissant et sait plus que tout autre.

Il n'est pas permis de croire que le Messager salla l-Làhou 3alayhi wa sallam a interrogé cette femme esclave au sujet de l'endroit. Il n'est pas permis non plus de croire que cette femme esclave a voulu dire que Dieu habite le ciel.
Dieu existe sans endroit

L'imam ^Aliyy a dit :

alt لاَ يُقَالُ أَيْنَ لِمَنْ أَيَّنَ الأَيْنَ alt

(la youqalou 'ayn liman 'ayyana l-'ayn) ce qui signifie : « On ne dit pas où se trouve-t-Il pour Celui Qui a créé les endroits ». Cette parole est rapportée par Al-Qouchayriyy dans son livre Ar-Riçalatou l-Qouchayriyyah.

Et l’imam Abou Hanifah a dit dans le livre Al-Fiqhou l-'Absat : « Il (Dieu) existe alors qu'il n'y avait pas d'endroit, Il existe alors qu'il n'y avait ni où [c'est à dire les endroits] ni créatures et Il est Celui Qui est le Créateur de toute chose ».

Allah ta3ala dit :

لَيْسَ كَمِثْلِهِ شَىْءٌ

(layça kamithlihi chay') ce qui signifie : « Rien n'est tel que Lui » [Ach-Choura / 11] .

Le hadith rapporté par Al-Boukhariyy :

كَانَ الله وَلم يَكُنْ شَىءٌ غَيْرُهُ

(kana l-Lahou wa lam yakoun chay'oun ghayrouh) signifie : « Allah existe de toute éternité et rien d'autre que Lui n'est de toute éternité » Ainsi Dieu existe de toute éternité alors qu’il n’y a pas d’endroit qui existe de toute éternité.
C
28 décembre 2010 19:25
Donc le fait que quelqu'un dit : Où est Allàh
est une parole qui fait sortir de l'Islàm
ainsi celui qui interpréte des verset qui nécessite une interprétation et qui le prends au sens apparent comme quand on dit Ar-Rahmanou 3ala l 3arch istawa cela signifie que Dieu domine le trone par Sa toute puissance celui qui dit que Dieu a des main ou des pied ou qu'il est un corps mais pas comme les autre ou qu'il est un corps il est sortie de l'Islàm de même celui qui dit qu'il est dans le ciel ou qu'il serai localisé ou qu'il aurai un visage à mécru est fait parti des mécréants

la personne qui a eu une mauvaise croyance doit la délaissé avec l'intention ferme de ne pas récidivé et elle prononce par la langue et dans l'intention de revenir à l'Islàm :
Je témoigne qu'il n'est de dieu que Dieu et je témoigne que Mouhammad est le messager de Dieu

celui qui prononce mal les témoigne ce n'est pas valable
ainsi si un tels est arabophone et qu'il les prononce d'une prononciation correcte alors lui c'est valable
ainsi si celui qui dit mal le nom du Prophète ce n'est pas valable (salla l-Làhou 3alayhi wa sallam)

On interpréte ce qui est digne de Allàh
a
29 décembre 2010 01:41
Citation
Chadili a écrit:
donc déja vous avez mal interprété le hadith de la femme esclave jamais les Prophète on fait de mécréance car le fait de dire : Ou est Allah , sa insinu que Allah aurai un endroit ce qui est faux Dieu a créer les endroit il n'a pas besoin des endroit donc le fait que vous avez dit que Dieu est établit sur le trone c'est le fait que vous avez pris un verset Moutachabih non explicite sur lequel nécessite une interprétation :
Ar-Rahmanou 3ala l 3arch istawa signifie que Dieu domine le trone par Sa toute puissance
alors vous vous avez contre dit un saint un waliyy qui est le petit fils du Prophète 3alayhi ssalàm Ahmad Rifa3iyy

Qui s'est qui s'asseoi, c'est les créature un tel va s'asseoi jambe croisé l'autre jambe tendu ceci est un établissement
Celui qui croit que Dieu est établit sur le trone il a mécru et il a attribuer le corps à Dieu car celui qui est dans un endroit est nécessairement un corps
hors quand on dit Allahou ssamad : Dieu est celui qui n'a besoin de rien et dont toute les créatures ont besoin
quand ont dit : layça kamithlihi chay : Rien est tel que Lui
et vous avez donner des ressemblant à Dieu c'est ce qu'a fait ibnou taymiyyah ibnou baz 3outhaimine et cela son pas musulman puisse qu'il ont dit que Dieu a des mains un pied donc ils ont attribuer à Dieu des ressemblant ce qui est une mauvaise croyance des preuves comme celle ci j'en a plein
la langue arabe est riche istawa quand on parle d'un fruit ont dit qu'il est mur le fruit
ensuite dans le Qouran il y a ce qui signifie : il y a des verset qui sont la base du livre
ensuite dans le Qouran il y a que Allah blame ce qui s'attache au sens apparent des verset moutachabih
ensuite les anthropomorphiste comme ibnou 3abdel wahhab ibnou taymiyyah ibnou baz 3outhamine et la clique eux la il y a un hadith les concernant

On voit bien comment tu es perdu dnas l'anthropomorphisme que tu t'empresses de nier...
On peut très bien faire le parallèle avec le fait d'entendren, de voir, etc etc , ce sont des qualités humaines que nous ne comprenons que parce que nous sommes humains. Mais le fait de d'attricuer à Dieu ce qui lui sied ne me permet pas de penser que Dieu entend comme nous..., voit comme nous.
C'est la nuance que tu ne comprendras jamais et tous les asharites sont bloqués à ce niveau

Pour finir, on se fout royalement de ce fait le président de l'algérie face à ces savants.
f
29 décembre 2010 17:11
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Le verset « Rien n'est semblable à Lui, et Il est l'Auditant, le Voyant » (Coran), est un exemple de la formule coranique en ce qui consiste la désignation du Divin, et comme dit Cheikh Abd el-Karîm Jîlî (1366), cette formule représente un équilibre et une synthèse entre ce qu'on appelle le tanzîh et le tashbîh, c.à.d. entre la désignation du Divin par abstraction de toute comparaison ; « Rien n’est semblable à Lui », d'une part, et le symbolisme par analogie et comparaison; « Il est l’Auditant, le Voyant », d’autre part.
Dans cette synthèse, la primauté est au tanzîh, et le tashbîh vient comme un aspect, comme une forme de tanzîh. En fait, il n’y a pas de tashbîh, il n’y a que le tanzîh. Négation du tashbîh et affirmation du tanzîh ; le tanzîh est une négation du tashbîh, et le tashbîh est une affirmation du tanzîh.
Dans cette formule que représente ce verset, il est dit, alors que rien n’est semblable à Lui, Il est l’Auditant, le Voyant, alors qu’Il est l’Auditant, le Voyant, rien n’est semblable à Lui. Alors qu’Il est l’Auditant, rien n’est semblable à Son ouïe. Alors qu’Il est le Voyant, rien n’est semblable à Sa vue. « Rien n’est semblable à Lui » est une négation de toute comparaison, de tout tashbîh, « Il est l’Auditant, le Voyant » est une affirmation de cette non comparaison, de ce tanzîh.
« Rien n’est semblable à Lui » désigne le Divin par la transcendance, Celui qui est au-dessus de toute comparaison, de toute atteinte, « Il est l’Auditant, le Voyant » Le désigne par l’immanence, Celui qui atteint tout, qui entend, voit et sait tout, rien ne Lui échappe, Celui qui « Il est avec vous où que vous soyez » (Coran), Celui qui « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ! » (Coran). C’est une proximité, même comparée à celle de notre veine jugulaire, qui n’a pas de comparaison, qui n’a pas de limite, c’est une comparaison qui désigne la non comparaison, c’est un tashbîh qui désigne le tanzîh, c’est une détermination qui désigne la non détermination. Ce n’est que le Divin dans Sa non limitation qui peut être désigné par cette synthèse et cette unité de tanzîh et de tashbîh, de non comparaison et de comparaison, de non détermination et de détermination.
Ce n’est que dans cette synthèse et cette unité que le Divin peut être désigné et connu. Cette connaissance ne peut être que dans cette synthèse de tanzîh et de tashbîh, de transcendance et d’immanence, de négation et d’affirmation, synthèse qu’on trouve dans la formule de l’Unicité : « lâillâha illallâh », (lâilâha : négation, illallâh : affirmation) synthétisant toute la croyance et toute la connaissance. C’est pourquoi le Prophète (s.s.p) a dit : « La meilleure parole que j’ai dit moi et les prophètes (d’avant), lâ illâha illallâh ».


Assalam alaikoum

Comme il a été dit précédemment, le Divin est désigné par la synthèse de tanzîh, c.à.d. par abstraction de toute comparaison, et de tashbîh, c.à.d. le symbolisme par analogie et comparaison, symbolisme visant à désigner le tanzîh, c.à.d. que le tashbîh n’est qu’une forme de tanzîh.
On peut dire que par rapport au Divin, il n’y a pas de comparaison possible, c’est l’abstraction de toute comparaison, « Rien n’est semblable à Lui », c’est le tanzîh pur. Par rapport au crée, on ne peut désigner cette abstraction de comparaison qu’en utilisant le symbolisme par comparaison, qu’en utilisant le tashbîh, c’est le tanzîh avec tashbîh, « Il est l’Auditant, le Voyant », c.à.d. que, par rapport à nous, il est Celui qui entend et voit tout, Il est Celui qui est plus près de nous que notre veine jugulaire, Il est « Celui qui atteint les regards » (Coran) et atteint tout (tashbîh), alors que par rapport à Lui, Celui qui « les regards ne L’atteignent pas » (Coran), et rien ne L’atteint (tanzîh). Il est Celui qui est avec nous où que nous soyons, alors que, comparé à Lui, rien ne peut être avec Lui ; toute science est rien avec Sa science, toute puissance est rien avec Sa puissance, toute royauté est rien avec Sa royauté. Il est Celui qui a l’istiwa’ (terme coranique) parfait et total sur le Trône de Sa création ; symbolisme désignant Sa parfaite et Sa totale implication sur toute Sa création, tout Lui appartient, physiquement et spirituellement, Son sceau se trouve inscrit sur chaque créature, Il a le contrôle total de tout ce qui se réalise, rien ne se fait sans Son ordre et Son décret.
Ainsi, la désignation du Divin se fait dans cette synthèse de tanzîh et de tashbîh ; la désignation de tashbîh s’inscrivant dans la désignation de tanzîh, et ne sortant pas d’elle. Elle n’est que pour l’affirmer et la manifester. De là, on peut comprendre la question préalablement posée de la part du Prophète (s.s.p) sur la femme, quand il lui dit : « Où est Allah ? » c’est une désignation de tashbîh qui met en évidence la désignation de tanzîh. Cette désignation du Divin par tashbîh, par détermination, par « où », c’est par rapport au crée, et non par rapport au Créateur, alors que par rapport au Créateur, par rapport à l’Absolu, il n’y a pas de détermination, il n’y a pas de « où », il n’y a pas de « comment ». C’est comme quand nous disons, où est-Il Dieu, par rapport à notre vie, par rapport à notre existence, par rapport à nous, quelle est Sa place dans tout ça ? Comme ce jeune pour qui le père demanda de voler (quelque chose), mais le jeune n’a pu le faire, et quand le père lui demanda une explication, malgré que personne ne les observe, le fils, pour lui rappeler, lui répond « où est Allah ? »
De même que la question, la réponse de la femme fût une désignation de tashbîh, par son doigt au ciel, ce qui signifie, par rapport à elle, par rapport à son entendement, une désignation de la suprématie et de l’élévation, de makâna et non de makâne, du Divin, c’est une façon pour elle d’exprimer et de désigner cette réalité divine transcendant tout, et que rien ne peut atteindre.
f
31 décembre 2010 22:08
Assalam alaikoum

Le dû du Divin c’est le tanzîh et l’abstraction de toute comparaison, « Rien n’est semblable à Lui », et toute désignation du Divin, même par tashbîh et symbolisme de comparaison, doit être en conformité avec ce dû, et n’en sortant pas. Ainsi, toute désignation du Coran et du hadith doit être vue sous cet angle, comme la désignation du Divin par l’istiwâ, la main, l’œil… Vis-à-vis d’une telle désignation du Divin par le tashbîh (moutashâbih), par le symbolisme, on peut avoir deux approches.
Soit se résigner de toute interprétation, en prenant la désignation telle qu’elle est, sans rajout, et en remettant le sens au savoir divin. Mais là, on doit éviter de tomber dans de l’interprétation par là où l’on veut l’éviter, en s’arrêtant à la forme de la désignation, isolement du sens, en confondant par là entre le symbole (de la désignation : istiwâ, main…) et le symbolisé (sens de la désignation), et en tombant dans le tashbîh, dans la comparaison, même si l’on essaie de la pousser, en disant : istiwâ, pas comme l’istiwâ, main, pas comme les autres mains…jusqu’à arriver à dire, pour une telle désignation restrictive, : corps, pas comme les autres corps !
L’autre approche qu’on peut adopter c’est de procéder à l’interprétation de cette désignation par tashbîh, istiwâ, main…dans le but d’en trouver un sens qui soit en conformité avec le dû du tanzîh, pour cela, on prend, dans cette interprétation, la désignation comme une désignation d’attribut, et non d’essence. Ainsi, on peut dire, l’istiwâ est une désignation de la royauté, absolue, la main est une désignation de la puissance…Mais là, il faut éviter de se limiter dans un aspect isolement de l’autre, dans l’aspect de transcendance et de négation, « rien n'est semblable à Lui », « Les regards ne L’atteignent pas », isolement de l’aspect d’immanence et d’affirmation, « Et Lui atteint les regards », « Et Il est avec vous où que vous soyez », « Quel que soit le côté où vous vous tournez, la face de Dieu est là. Dieu est présent partout et Il sait ».
La problématique de désignation pour cette deuxième approche est en quelque sorte l’inverse, en sa nature, par rapport à celle pour la première approche. Pour la première approche, il y a considération, dans la désignation, du symbole, isolement du symbolisé, ce qui emmène à une sorte de limitation dans la forme, dans le tashbîh. Pour la deuxième approche, c’est en quelque sorte l’inverse, il y a considération du symbolisé, isolement du symbole, ce qui emmène à une sorte de ta’tîl et d’abstraction.
Ce qui caractérise cette problématique de désignation c’est le déséquilibre et la dualité créée dans cette bipolarité symbolisé-symbole, tanzîh-tashbîh, constituant les deux aspects de la désignation du Divin, le tanzîh l’aspect par rapport à l’Absolu, le tashbîh l’aspect par rapport au relatif, aussi pour cette désignation, ces deux aspects sont comme les deux faces d’une même pièce de monnaie, et c’est la création de dualité, de quelque nature, qui est à l’origine de toute problématique à cet égard.
a
1 janvier 2011 14:30
Salam Faqir,

je ne suis pas sûr que la plupart des gens arrive à te suivre dans ce genre d'explcation: il faut simplifier mon frère.
Surtout dans une telle question qui touche le fondement de la foi et qui est une partie du tawhid.

Dieu n'a pas clairement souhaité que nous connaissions quoi que ce soit à propos du comment de sa nature, de son être. Nous en avons une description mais nous ne savons pas rééllement ce que cela signifie.
Dans ce domaine, tout ce que l'on affirmera au-delà du texte coranique et de la Sunna est spéculation.
Il faut éviter (plutôt que de se résigner) toute interprétation comme l'évitaient les compagnons et le Salafs. Cette croyance était simple et on prenait les attributs de Dieu comme ils venaient. Ca n'est que plus tard que nos savants ont commencé à faire une interprétation, mais ils ont fait cela car l'islam commençait à être contaminé par la philosophie et le rationalisme. Ces savants présentaient ainsi le sattributs de Dieu pour éviter que qelqu'un qui ne soit versé dans les sciences ne 'égare ou pour qu'il trouve une explication qui l'apaise.

Effectivement, le rationalisme conduit à nier les attributs de Dieu en faisant un parallèle avec ce que la raison connait, c'est-à-dire en faisant de l'anthropomorphisme. Ceci est inacceptable pour cette personne, car elle sait que Dieu n'est pas comme l'homme, s'empressant alors de tout nier en bloc. C'est s'avancer beaucoup que de dire que Dieu n'a pas de Main sans nuancer ou de dire que l'interprétation de la Main de DIeu est la puissance de DIeu sans nuancer
Les mots que Dieu emploie sont très précis et s'il a employé Main au lieu de puissance, c'est qu'il y a une raison, même si dans le fond cela ne me gêne pas que certains disent que cela signifie la puissance. Il faut simplement qu'ils se rappellent que le mot que dieu a employé est "main".


entre ceux qui refusent d'accepter les attributs de Dieu tels qu'ils sont, c'est à dire
1)d'accepter le terme mais refuser le sens apparent sans faire d'anthropomorphisme ET
2)ceux qui acceptent le sens apparent sans faire d'anthropomorphisme snas croire que le sens apparent est superposable au sens réél e que ce dernier renvoie à une réalité connue de DIeu uniquement,

il n'y a pas de différence au total qui est de laisser à Dieu le soin de savoir comment il est
mais il y a un groupe refusant sans preuve évidente d'accepetr les attributs de Dieu dans leur globalité.

Dieu a deux Mains: ceci est déduisible du texte, mais on ne sait absolument pas à quoi cela se réfère. Il est plus logique dans ce cas-là d'éviter de spéculer sur ces mains, tout en reconnaissant que DIeu a dit qu'il avait deux Mains. Ces maisn renvoient à une réalité particulière que seul Dieu connait.
Ne tombez pas dans un rasionnement simpliste qui consiste à croire que dire que Dieu a deux mains, un pied, une cuisse, consiste à dire que Dieu a un corps: Dieu et son Prophète n'ont pas utilisé le mot Corps comme Attribut. Ceci renforce le fait que ceux qui rejettent les attributs ont pensé Dieu comme un corps quand il a employé la Main, la Face etc etc: cela n'a rien à voir

Dieu a ces attributs: ainsi, on ne nie pas ce qu'il a dit
On ne s'avance pas sur le Comment qui existe , mais qui est inaccessible à l'intellect humain. Quand certains disent que Dieu n'a pas de comment: ils veulent dire qu'il n'a pas de Comment accessible à la rasion, ou comparable à celui des créatures.
On ne fait absolument pas d'anthropomophisme qui est une mécréance évidente car contredit un verset coranique
On ne nie pas les attributs
On accepte leur sens apparent tout en se rappelant que seul Dieu sait comment il est, car cela montre que l'on délaisse de rentrer dans les polémiques sur les versets équivoques.

La position des Asharites est à mon sens une position de précaution exagérée, à cause d'un anthropomorphisme lors de la lecture du Texte, donc d'une erreur d'interprétation

Utiliser un sens qui sied à Dieu est autre chose. Dire que DIeu est puissant n'a pas à être rattaché à la Main de Dieu. Il peut l'être comme il peut ne pas l'être.
f
1 janvier 2011 15:16
Assalam alaikoum

Je suis d'accord avec toi sur ces principes que tu avances, mais reste le problème de leur application. On est tous d'accord de dire que Dieu a fait une description de Lui, que j'appelle moi une désignation par symbolisme, par tashbîh, alors que Lui seul sait le sens (que j'appelle symbolisé) de cette description, de ce symbolisme, sens qui est conforme avec le tanzîh et l'abstraction de toute comparaison. Tout en reconnaissant ceci, on peut quand même essayer d'avancer une certaine interprétation de ce symbolisme, sans toutefois le dépasser, et tomber dans le rationalisme, comme tu dis, et l'abstraction. En contrepartie, on peut éviter de faire d'interprétation, sans toutefois prendre ceci comme support pour s'arrêter à la description, à la forme, isolement du sens, isolement du tanzîh, et là on tombe dans le tashbîh, et ce que j'ai dit concernant le corps (corps, pas comme les autres corps), il parait qu'il existe effectivement, et tu peux toi-même t'en assurer.
a
1 janvier 2011 21:28
La question: est-ce que cela est nécessaire de faire une telle interprétation? On peut très bien dire tout ce que ceux qui font la tawil sans la rattacher à un des noms ou attributs de Dieu.
Faire une telle interprétation est spéculation car on a peu de données la-dessus. J'ai expliqué pourquoi des savants l'ont fait: je ne sais pas s'il faut que nous poursuivions dans cette voie. Moi, je ne suis pas acharné la-dessus et réfractaire à toute interprétation, simplement je considère qu'il s'agissait de choses sur lesquelles on peut facilement dire quelque chose de travers. Et d'ailleurs, pourquoi le Prophète n'a pas explicité leur signification, pourquoi s'est-il contenté de reprendre les mots du Coran dans la Sunna? Pourquoi n'avons nous jamais été encouragés dans cette voie?
Je n'ai jamais entendu dire que Dieu avait un corps: peut-être que tu as une source là-dessus.
a
1 janvier 2011 22:00
Retenons néanmoins que "Main de Dieu" est différent de "Puissance"
En tout cas, si certaines interprétations doivent être faites (ce qui doit être démontré), nous sommes d'accord qu'il faut qu'elles soient dignes de Dieu et surtout que le sens de ces choses est complètement connu uniquement par Dieu
f
1 janvier 2011 22:25
Assalam alaikoum

Moi aussi je suis septique pour cette façon d'interpréter, dans un domaine qui dépasse le rationnel, seulement l'interprétation peut être d'utilité pour ceux qui restent limités à ce domaine et ne peuvent le dépasser, pour donner à leur croyance plus de cohérence.
Pour la question du corps, j'avais vu, à la télé, un savant (chiite qui s'appelle al-Haydari dans la chaîne la-Qawtar) qui a apporté des dires d'Ibn Taymiyya, je crois de son livre "al-Fatâwa" (il en a donné même le volume et la page), dans lesquels il est censé dire, et ceci reste bien sûr à vérifier, que Dieu aurait un corps, mais pas comme les autres corps !
Je voudrais ajouter concernant cette désignation (description) du Divin par la main, que c'est dans le relatif, et non l'absolu, et le verset coranique dit : « La main de Dieu sur leurs mains », dans l'absolu, il n'y aurait pas de "sur", de "comment", c'est l'abstraction de toute comparaison (le tanzîh), alors que dans le relatif, comme ce cas, c'est le symbolisme par analogie (le tashbîh). Donc la main est un symbole de désignation, et la confusion qui peut être faite à cet égard c'est que la main ne reste plus uniquement comme symbole de désignation, mais devient elle-même le symbolisé désigné, on réduit tout dans le symbole.
Comme je l'avais dit auparavant, soit s'arrêter au symbole, soit en faire abstraction, tout ceci manifesterait à mon sens une problématique d'approche, une approche qui se réfère essentiellement au rationnel, isolement du spirituel, dans la désignation du Divin.
a
1 janvier 2011 23:07
Cela me parait extremement bizarre venant d'Ibn Taymiyyah. Je me méfie absolument de tout ce qui peut provenir d'un chiite.(Quand tu lis de leurs ouvrages de référence que la taqiyyah fait partie de la religion sans restriction, il ya de quoi...)
J'avais lu un texte où les asharites de l'époque d'ibn taymiyyah étaient opposées à lui, dans ce qu'il énonçait.
Et cet asharite lui a dit dnas ce cas-là; que dieu avait un corps, mais pas comme le notre, avait une telle ou telle partie du corps mais pas comme la notre. (Je ne suis absolument pas sur du fait qu'il ait employé le mot corps)
Ibn Taymiyyah a alors répondu qu'on ne décrit Dieu uniquement par ce dont il s'est décrit
Et Dieu à ma connaissance, n'a pas utilisé le mot corps, ni le nez, ni l'oreille..... Donc, bien au contraire, d'après ce que j'ai lu de lui, il est formellement opposé à tout cela.
f
2 janvier 2011 13:22
Assalam alaikoum

Le problème c'est quand on se limite à la lettre, à l'apparent, en faisant la confusion par là entre le sens apparent, qui est la forme, qui est le symbole, et le sens effectif, qui est le fond, qui est le symbolisé, on réduit tout à la forme, au sens apparent, ne comprenant pas que le sens effectif, le symbolisé, est assimilable, est superposable au sens apparent, au symbole, alors que le sens apparent, le symbolisé, n'est pas assimilable au sens effectif, au symbole.
En vérité, tout appartient à Dieu, tout ce qui est dans la terre et dans les cieux appartient à Lui, n'est-ce pas ? Ainsi, on peut dire dans ce sens, sans limitation à l'apparent, que toute action est Son action, toute puissance est Sa puissance, toute vue est Sa vue, tout ouïe est Son ouïe, toute langue est Sa langue, toute main est Sa main, tout pied est Son pied, toute âme est Son âme, comme le stipule le Coran, concernant la création d'Adam, que Dieu a insufflé en lui (Adam) de Son âme, et concernant la vérité de Jésus, que c'est un verbe et une âme de Lui. En vérité, tout est de Lui et tout est à Lui.
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