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Arabstrai a écrit:
A l’hôpital, une superbe jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avantd’être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention.
Elle s’inquiète un peu quand même, d’autant plus que l’heure tourne…
Un type en blouse blanche s’approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu.
Il rabat le drap, s’éloigne vers d’autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s’approche, relève le drap et l’examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap et la scrute,
la jeune femme s’impatiente:
– C’est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m’opérer?
L’homme en blouse blanche hausse les épaules:
– J’en ai aucune idée, nous on repeint le couloir.
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Ezzra a écrit:
Parfois quand tu pleures : Personne ne voit tes larmes.
Parfois quand tu es triste: Personne ne voit ta douleur.
Parfois quand tu es heureux : Personne ne remarque ton sourire.
Il suffit de péter une seule fois.......... Et tout le monde se retourne !
Citation
Ezzra a écrit:
Parfois quand tu pleures : Personne ne voit tes larmes.
Parfois quand tu es triste: Personne ne voit ta douleur.
Parfois quand tu es heureux : Personne ne remarque ton sourire.
Il suffit de péter une seule fois.......... Et tout le monde se retourne !
tu m'as tué... Citation
Ezzra a écrit:
Parfois quand tu pleures : Personne ne voit tes larmes.
Parfois quand tu es triste: Personne ne voit ta douleur.
Parfois quand tu es heureux : Personne ne remarque ton sourire.
Il suffit de péter une seule fois.......... Et tout le monde se retourne !
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Amazigh-rocain a écrit:
Le peuple marocain avait marre de la corruption, un jour un groupe de dessidents est partit voir hassan2 pour lui parler du sujet.
Jalalate El Malik a dit l'un d'entre eux pourquoi tu n'aboli pas la corruption,
Hassan2 lui répond / combien vous me donnais pour ça /
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...comment t’a deviné 
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