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Bientot la fin du qatar et des saouds criminels
I
14 juin 2013 23:52
C'est eux les fauteurs de troubles au moyen orient

a
16 juin 2013 06:49
Salam,

"(...) une petite bande de bédouins à qui les puissances américano-maïmoniques ont donné le droit de b***** des p**** et de s'acheter des Rolls en or, à condition qu'ils laissent l'armée américaine contrôler la région."

C'est ça les Arabes ? - une race de seigneurs prend le dessus ou périt ! On est donc bien en présence d'une race d'esclaves...
I
16 juin 2013 10:13
C'est soit des a3rab (bédoins) ou des majous (mages indiens qui ont débarqués)
C'est eux qui causent les malheur des pays à coté et toute la population est lache vue qu'elle ne veut pas contredire les tyrans, ils sont tous complices des crimes de leurs rois
I
26 juin 2013 19:03
C’est une grande honte que l’Europe cautionne et ne dénonce pas le Qatar et l’Arabie saoudite

S’exprimant aussi en sa qualité de président de l’association suisse des musulmans pour la laïcité, Benouari avertit que “le Qatar et l’Arabie saoudite sont des pompiers pyromanes. Ils sont des dictatures moyenâgeuses qui prétendent soutenir la démocratie. Ils sont beaucoup plus rétrogrades que Ben Ali. Qu’ils commencent par balayer devant leurs portes, ces clans familiaux qui détiennent le pouvoir absolu et prêchent toutefois la démocratie. C’est une grande honte que l’Europe cautionne et ne dénonce pas le Qatar et l’Arabie saoudite. Elle devrait les condamner en tant que dictatures, mais également pour les idées rétrogrades qu’ils propagent. C’est clair, ou bien on est avec la démocratie ou bien non”.

Sur la question de l’union maghrébine, le politologue algérien relève qu’”on est la dernière région du monde en termes d’échanges. C’est un scandale. Ce non-échange nous fait perdre inutilement plusieurs points de croissance” avant de souligner que “les échanges maghrébins auraient en effet créé une dynamique de développement, mais ce n’était pas possible dans des dictatures. On a tout fait faux”.

Il conclut, à ce propos, par affirmer que “si des démocraties parviennent à s’installer dans les pays du Maghreb, vous verrez, les responsables se dirigeront automatiquement vers la concrétisation de l’union”.

[www.algerie1.com]
A
26 juin 2013 19:43
La majorité des Turcs déteste ce qu'il nomme Wahabisme.

Mais la Turquie est contre Assad

Alors, Espérer aussi la fin de la Turquie ?

Et puis celle de l'Egypte aussi tant qu'on y est !
I
26 juin 2013 19:45
L'origine de tout les maux c'est les saouds du nadjd et les qataris
S'il y'a pas eux, sunnites et chiites sont freres et ont cohabités et sont tous musulmans meme si d'écoles différentes, les uns suivent l'école des sahabas, les autres l'école de ahl l bayt descendants de houssein

Le maghreb quant à lui est sunnite et suit les soufis pour la majorité descendants de Hassan
o
26 juin 2013 19:57
Non Ibrahim2 la fin du Qatar et de l’Arabie seoudite n’est pas pour demain, les régimes du Maroc et de l’Algérie aussi ont de longues années devant eux.
Quand on voit ce qui se passe en Tunisie qui était l’espoir de la democratie ou les tunisiens n’arrivent meme pas à pondre une constitution et ou la femme a meme perdu ce qu’elle avait depuis Bourguiba comme droit
[www.huffpostmaghreb.com]

quand on voit les egyptiens aux abois, les libyens et les syriens n’en parlons pas, alors plus personne ne se hasardera à se revolter contre le pouvoir en place.
Llah oumma teben ourra7a, wala echair ou lefdi7a
Et puis d’un autre coté pour les emirats du golf tant que leur petrole coule ils n’auront rien à craindre des occidentaux au contraire ils vont les proteger, les occidentaux en cas de pepin ils feront ce qu’ils viennent de faire au Qatar ou un assassinat comme Fayçal en Arabie et les choses continuent



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/06/13 19:58 par omar625.
I
27 juin 2013 21:41
Qu'est-ce qui dérange donc dans ce petit pays milliardaire qu'est le Qatar ? Son intelligence géostratégique en vérité. Car pour le reste, ce qu'on peut lui reprocher n'est pas de son invention.

La comparaison avec la Corée du Sud ne vient pas à l'esprit, car nous sommes en présence de ressources différentes. L'un les richesses naturelles, l'autre la culture de l'effort. Mis à part, cette différence de base, bien valorisée par les deux parties, c'est leur proximité avec les Etats-Unis qui fait leur ressemblance. L'une a « bénéficié » de la guerre froide pour déployer sa politique d'exportations, l'autre du projet américain de grand Moyen-Orient, de la guerre contre le terrorisme pour déployer son pouvoir financier et son soft power. Ayant été précédé par l'expérience d'autres petits pays, ayant des ressources financières importantes, le Qatar a choisi son camp : pour émerger il ne pouvait être que du côté américain.

C'est de ne pas comprendre l'intérêt du Qatar que l'on se fourvoie quant à ses objectifs et quant aux rapports qu'il faut entretenir avec lui. La petite Corée du Sud, séparée de la grande par la guerre froide, est bien devenu un petit dragon avec lequel il faudra compter, même si elle se trouva dans le camp impérialiste. Face à ses grands voisins, ses frères ennemis que sont la Chine et le Japon, elle a décidé de ne pas plier échine et s'en est donné les moyens.

Pour discréditer l'insolent Qatar, une guerre idéologique lui est faite. On lui reproche pour l'essentiel l'exploitation d'une main d'œuvre étrangère à grande échelle. Il compte 1,8 million d'habitants, dont 430 000 Qataris et 1,2 millions de travailleurs asiatiques placés sous une tutelle juridique qui bafoue les normes juridiques internationales. Sur ce point comme bien d'autres, le Qatar n'a rien inventé. On lui reproche aussi son wahhabisme, son identité. En somme il faudrait s'occidentaliser pour être accepté parmi les grands. Or un proverbe algérien le dit bien : « la poule qui veut marcher comme la perdrix finit par ne plus savoir marcher ». Ce qui dérange et ce qui fascine à la fois, c'est que ce petit pays veuille devenir grand, sans complexe et sans renoncer à lui-même. Pour le reste, il n'a pas les moyens de refaire le monde. Comme la Corée qui participe à faire le monde aujourd'hui, il lui faut d'abord trouver sa place. La manière est certes bruyante. Mais c'est plutôt sa duplicité que l'on craint : allié de l'Occident, oui mais jusqu'à quand ? Et là est vraiment la question. Après être devenu puissant, après s'être instruit, l'apprenti va-t-il se transformer en maître ?
I
27 juin 2013 21:43
Du Qatar donc dépendra aussi l'avenir du wahhabisme, la naissance d'une démocratie wahhabite. Pour ceux qui jugent déjà qu'Islam et démocratie sont incompatibles, on imagine le choc même que l'existence du Qatar peut constituer. Oui, le wahhabisme, n'est pas qu'une simple idéologie, c'est aussi une tradition, elle-même pouvant se réformer. Elle peut être du temps du monde, n'en déplaise aux essentialistes. Aujourd'hui allié des Américains pour son développement, demain peut-être, centre de gravité d'un monde moins dépendant. Je me demande pourquoi on refuse d'accorder à certains pays ce que l'on accorde aisément à d'aux autres : le droit de choisir ses compagnons, ses alliés, pour frayer son chemin et trouver sa place dans le monde.

Le qatar c'est des mages et des sorciers, des profiteurs et des criminels, des fauteurs de troubles et de pagaille
S
27 juin 2013 23:54
Cool « Il faut être petit et minable quand on a le pouvoir pour ne pas s’en servir pour le bien-être du peuple et du pays et ne penser qu’à soi » (R, A-P, Louise mars-2012)
« You learn at your expense as the shock wave is due to the butterfly effect » C.C.S.... 06-2012 grinning smiley
Vivre sans entraves et mourir libre.....!
 
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