avec la fameuse "marche des beurs" suivie ensuite par toutes les autres jusqu’à nos jours. On parle aujourd’hui de 4e voire de 5e génération (que l’on peut dorénavant appeler de souche, non?) 
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tar-zan a écrit:
un peu de lecture pour ceux qui se pose tjr des questions existentiels sur la définition d'une beurette !
Société :
La société dans laquelle nous sommes se veut moderniste. Tout le monde s’accorde sur le fait qu’elle pousse les individus à la consommation. La création du plaisir dans l’esprit des gens ne passe plus que par l’acte d’achat.
Mais toute la population n’a pas le même rapport à la consommation. La population maghrébine ayant une sociologie en France bien spécifique mérite une approche particulière. Sa présence en masse n’existe sur le territoire que depuis quelques décennies. Une problématique se pose :
Quel est le résultat de la présence de cette population confrontée à la consommation, en France ?
Une "population maghrébine", il faut d’abord définir laquelle? Les premières générations sont arrivées massivement, à l’époque dans les années des trente glorieuses en quête d’une situation professionnelle puis repartir dans le pays d’origine; et se sont installées depuis jusqu’à nos jours; certains sont repartis au pays d’origine, mais la grande majorité s’est sédentarisée surtout depuis la mise en place du regroupement familiale; mis en place pour favoriser l’activité des multinationales par l’oligarchie.
Les 2e et 3e génération, celles des "grands frères" (début de l’appellation de "beurs"
Ces nouvelles générations nées en France connaissent un double attachement : d’une part du pays d’origine des parents, dû à la transmission de mémoire, d’autre part de la France, qui reste le pays de leur naissance, de leur scolarité, de leur culture, de leur enfance adolescence etc…
L’éducation de ces générations se fait aussi en deux phases : d’une part à la maison, reçue par les parents, avec l’ensemble de valeurs traditionnelles du pays d’origines et de l’Islam; d’autre part, à l’école avec les valeurs laïques et universelles. Il ne faut surtout pas oublier, que s’ajoute "l’éducation de la TV" qui se dégrade au fil des années et se plient à une américanisation mondialiste.
L’éducation "américanisante" via la TV et la consommation de masse, amène les individus à tout considérer comme consommable, du "prêt à consommer" tant matériel qu’immatériel, mais également un concept ou une réflexion
Ceci a de fait, un impact au niveau sociologique, et on peut constater le plus visible de tous, un phénomène dérangeant que l’on appelera :
Beurettisme
Le mot "Beurette" , nous allons l’accorder aussi bien aux garçons qu’aux filles (au vu de la féminisation de la société , nous ne serons pas en hors sujet dans cet exercice). Et ce n’est qu’une observation de comportements ou de spécificités dus à une sociologie propre. Ce phénomène se traduit à plusieurs niveaux :
- Historique :
Les beurettes n’ont presque aucune connaissance historique des pays d’origines de leurs parents ou ancêtres. Cette région qui pourtant regorge d’Histoires.
L’Histoire du peuple berbère des Amazigh qui signifie "homme libre" ou encore "insoumis", qui s’étend depuis le désert Egyptien jusqu’aux régions nordiques du Mali en passant par la Lybie, la Tunisie, l’Algérie, le Maroc, le Niger, la Mauritanie et même les îles canaris. Ayant connu tant de peuples et de civilisations : Égyptienne, Grecque, Romaine, Phénicienne, Byzantine, Arabe, Coloniale …
- Linguistique :
La Langue arabe se différencie des dialectes arabisés ou de la langue berbère. Généralement les Beurettes qui s’expriment dans un dialecte approximatif avec leurs parents, et n’ont en général aucune notion de l’arabe littéraire, qui leur est étrangère, il suffit pour cela de leur demander de lire ou écrire une phrase et de vous la traduire.
Si l’on ajoute la dégradation du système éducatif français dans les écoles publiques, les beurettes s’expriment dans un novlangue, dépourvu de toute syntaxe, mélangeant dialecte arabe et français approximatif. Sans oublier le point le plus destructeur de tous, et qui touche la jeunesse dans sa globalité, et qui est le fruit du monde virtuel : le "langage sms" suivi de l’ensemble des concepts abrutissants :
"verlant" pour le rappeur en quête de dissidence et en constante chouinerie.
"anglicisation" pour la beurette qui se prendrait pour la Paris Hilton du quartier.
"racaille" se croyant vivre dans les ghetto du Bronx ou du Queens.
et même le dernier concept pour écervelés : "Swagg & Soin" … impossible à comprendre comme concept tellement il est dépourvu de sens.
Cuturel & Religieux :
Les Beurettes en général qui se prétendent musulmans, mélangent beaucoup de choses entre la culture et la religion. Ils ont une profonde méconnaissance du Coran, due dans un premier temps au rapport entretenu avec la langue arabe, puis dans un second temps au fossé creusé entre leur "éducation" et les principes fondamentaux de l’islam. Une religion pourtant riche, et à la fois simple et accessible, basée sur 5 pilliers fondamentaux, et se "prétendre" musulman revient à l’aspiration personnelle au Divin, et à la réalisation convaincue de ces principes, comme l’exemple de la prière.
L’inconnaissance de la Religion ne semble pas effrayer ou offusquer les Beurettes types, par définition lobotomisés par la Télévision et l’utilisation déplacée des nouvelles technologies, bien au contraire ils pensent même que ce capital religion exploité à quelques reprises est approprié voire est l’application parfaite des vertus de l’Islam … Ce qui peut donner des cas d’exemples assez démonstratifs :
Le Beurette-Dealer de drogue : celui ci répond présent un jour par semaine ou un mois par an à la mosquée, le Vendredi en l’occurrence ou pendant le mois du Ramadan, Or l’Islam comme toutes les religions ne se limite pas à un bout de nez hebdomadaire ou mensuel dans un lieu saint, mais à une pratique constante et à une attitude qui y correspond, telle que des 5 prières quotidiennes par exemple.
Le Beurette-Rappeur : à la différence du rappeur "rap-game" ou "à l’américaine" sans limites et qui prône des valeurs basées sur le sexe et l’argent facile, ce dernier tend à se substituer au grand frère de la cité, en proposant des textes "sages", " éthiques", "moraux", sur un fond musical souvent calme et monotone (comme une sorte de discours de secte). Il propose des chansons, "composées" de circonstances atténuantes aux banlieusards vendeurs de drogue, à la limite de l’apologie de la racaille, en les poussant à casser et brûler les voitures de leurs voisins.
La Beurette-Libertine : les grands psychologues écriront tous qu’un enfant change de comportement dès qu’il met un pied hors de la maison. Sachez que chez LA Beurette- Libertine, ce phénomène est quintuplé. En effet, cette dernière tend à rendre une image de femme modèle, pudique et respectable, et à modérer sa féminité à la maison, mais se transforme en une véritable chef d’entreprise du vice et de la médiocrité, en réalisant tout ce qui n’est pas permis, et bien entendu de façon démesurée : consommation de drogues, alcool, sexe à outrance …
La Beurette-Voilée, en réalité l’incapacité d’incarner la femme intègre par le port du voile, se transforme en frustration et qui s’exprime alors chez certaines beurettes par un féminisme aussi violent que celui de n’importe quelle activiste laïque. On constate alors chez une même personne une démarche schizophrène en perpétuelle contradiction.
- Identitaire :
L’absence de connaissances historiques amène les beurettes à maîtriser un langage flou, détaché des valeurs fondamentales d’une Religion à laquelle ils prétendent appartenir mais également des valeurs républicaines du pays dans lequel ils sont nés et ont grandi. En outre, la situation économique en France n’arrange pas les choses, en effet, les Beurettes constituent une population largement frappée par la crise. La France ne peut que s’affaiblir dans ce contexte de mondialisme, en quête perpétuelle de populations nomades et déracinées. Des exemples de ce déracinement :
Il est toujours surprenant de voir qu’à la 4e voire 5e génération de maghrébins sensés être des français à part entière, exhiber les drapeaux de pays d’origine, dont ils n’en découvert, la plupart du temps, qu’à travers les chaines du câble, de vielles anecdotes, ou des vacances d’été !
Lorsque les Beurettes déracinés, se trouvent en vacances justement, le point le plus apparent, demeure l’exhibition exagérée de leur "francité", assorti d’un mépris total de la population locale et conjugué au temps de l’arrogance et d’une condescendance démesurée, ce qui d’autant plus agace fonctionnaires et gendarmes lorsqu’ils ont affaire à eux.
Toujours à l’occasion des vacances, une fois dans l’année, les beurettes, qui soit dit en passant constituent une part importante du taux de chômage en France, débarquent au Maghreb avec à l’esprit l’unique envie de miroiter une vie bercée par le chic et la flamboyance, Audi dernier cri, 4×4, Moto, Quad et ces dernières années jet ski et lias de billets. De fait, l’exaspération de la jeunesse locale ne se fait attendre. Mais le plus dérangeant reste le reflet d’une France paradisiaque irréelle; mais surtout inaccessible, notamment pour ces jeunes résidents et la télévision et les immigrés ont laissé fantasmer sur une France qui constitue à leurs yeux un véritable Eldorado.
Conclusion :
En l’espèce on peut qualifier le "Beurettisme" de schizophrénie polymorphe : linguistique, culturelle, religieuse et identitaire chez un ensemble d’individus, ce qui exprime un mal être et un complexe défini.
Il semblerait que le principe d’une acculturation des générations à venir, accompagnée d’une inculturation islamique, serait primordiale et constituerait un tournant important et certainement la disparition de ce qu’on a appelé
source "Momo pistache "
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