Aimer, c'est préférer un autre à soi-même.Aimer, c'est perdre le contrôle.Aimer c'est la moitié de croire. Aimer, c'est trouver sa richesse hors de soi Aimer, c'est se rebeller un peu ; c'est comploter une tendresse exclusive sous les regards d'autrui.Aimer un être n'est-ce pas lui dire implicitement : "Toi tu ne mourras point Aimer c'est souffrir. Si quelqu'un te dit l'inverse, c'est qu'il essaie de te vendre quelque chose.
C'est le chagrin ! C'est son ivresse : L'eau de folie, au grain Moulu dans la tristesse, Extraite dans les tresses De ce joli chagrin !
Légère en moi ! plus vif en soi ! Plus musique et plus danse ! Dans les plis, dans la soie De cet air ou s'assoit Cette valse en cadense !
Tendre chagrin ! Mélancholie Qui m'enlèvera tout, Alcool de ma folie Que je bois, seul au lit Et nu de mes atouts .
Rose, tu voles et rejoints L'octobre qui éteint _Au noeud de nos doigts joints _Au beau Soleil de Juin : Le fier éclat des teints !
Tu joues le jeu de la gelure, Glaçon lassé de nous, Moins rapide et moins sûre, Sourde et morte morsure, Pantin sur tes genoux !
En pantoufle de vair, ta robe Gèle, belle, et se brise Et la soie se dérobe ! Viens, chagrin ! Sain microbe ! Deviens ma lune grise !
Légère en moi ! Plus vif en soi ! Plus musique et plus danse! Dans les plis, dans la soie De cet air ou s'assoit Cette valse en cadense !
C'est le chagrin ! C'est son ivresse : L'eau de folie, au grain Moulu dans la tristesse, Extraite dans les tresses De ce joli chagrin !
Alors, balancé dans le crin D'un alézan qui fuit, L'amour dans cet écrin Nous évite et nous craint, Ce bel amour s'enfuit !
Mortes nées ! Amours, vous gisiez, Regrettées et maudites, Au gré de cent cahiers Je verse un sang caillé Sur ces phrases prédites !
Quand c'est prédit rien ne déçoit ! Seul un chagrin condense, Replié sur la soie, De cet air ou s'assoit Cette valse en cadense !
salam ma belle je peut te comprendre mai il n y a que le temps et dieu pour te guérire mai un conceille vis ta séparation et laisse tt sortire et je te dit ton seul reméde est le temps et dieu au plus sa passera au plus tu oublira que dieu sait avec toi ma belle