Si tu n'avais pas l'intention de faire cette erreur et que tu as émis l'intention de faire correctement ta prière. Elle sera valide si Allah souhaite t'accorder Sa Miséricorde.
Maintenant ne reproduis plus cette erreur les fois d'après et ne te mets pas de was was sur le pardon d'Allah.
La religion est facile!
Allahu a3lam
Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/07/17 17:49 par Serengeti.
Faute ..validité..ect j en sais rien ....mais ce qu' il serai bien et vous verrez cela en devient un automatisme .... vous demandez la protection d Allah contre Satan et spontanément la formule BismiAllah Erhaman Erhahim et faites l appel à la prière ....en n omettans pas de dire laquelles des prieres vous allez officier ......tout n est qu une question d habitude ....
Celui qui oublie ou commet une faute dans un acte concernant sa prière, notamment la récitation de la Fatiha doit nécessairement la corriger car aucune prière ne peut être valide sans la correcte récitation de cette sourate? Si on en oublie la récitation ou y commet une faute de nature à en modifier le sens, la prière devient invalide, à moins qu'on corrige la faute.
Si la faute concerne autre chose que la récitation de la Fatiha, la prière reste valide, car la récitation qui suit celle de la Fatiha reste une sunna donc non obligatoire.
Les ulémas de la Commission Permanente pour la Consultance disent:
si on oublie la récitation de la sourate qui vient après la Fatiha, on encourt rien; qu'on soit imam ou quelqu'un qui prie derrière l'imam ou isolément; que la prière soit obligatoire ou surérogatoire. Cet avis est le plus juste des deux avis émis par les ulémas sur ce sujet.» Fatwa des ulémas de la Commission Permanente,7/146.
Celui qui commet une faute dans la récitation d'une sourate ou en oublie une partie n' a pas à demander pardon car tout ce qui lui est demandé est d'essayer de corriger la faute ou de se souvenir de ce qui est oublié. S'il n'y réussit pas, qu'il passe à la sourate ou au verset suivants ou laisse la sourate en cours pour commencer une autre ou passer à la génuflexion. Quelque soit l'option qu'il prend, il n'encourt rien.
Les ulémas de la Commission permanente ont dit: «Si le prieur éprouve une difficulté à réciter un verset ou ne s'en souvient pas, rien ne l'empêche à réciter le verset suivant encore qu'on lui recommande de ne réciter dans ses prières que ce qu'il maîtrise afin d'éviter la brouille.» Fatwa de la Commission permanente,5/337.