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Avoir 20 ans au Maroc Génération paumée
b
8 septembre 2005 09:21
bonjour,

voici un article sur la jeunesse au Maroc. a vous de lire et de juger:


source: [www.lintelligent.com]


Génération paumée
MAROC - 4 septembre 2005- par YASMINA LAHLOU, ENVOYÉE SPÉCIALE


Écartelés entre les valeurs de leurs parents et un mode de vie de plus en plus occidentalisé, les jeunes du royaume paraissent parfois guettés par la schizophrénie. Beaucoup choisissent la musique. D’autres les paradis artificiels. D’autres encore, comme les kamikazes de Casablanca, le paradis tout court. Premier volet de notre enquête sur la jeunesse maghrébine.

« J'avais 20 ans. Je ne laisserai personne dire que c'est le plus bel âge de la vie », écrivait Paul Nizan en 1931 dans Aden Arabie. Cette phrase, combien de jeunes Marocains pourraient aujourd'hui la reprendre à leur compte ?
Dimanche 5 juin. Au Racing universitaire casablancais (RUC), l'ambiance est électrique. Depuis trois jours, le Boulevard des jeunes musiciens réunit près de trente-cinq mille jeunes de 15 à 25 ans venus des quatre coins du pays. La programmation du festival est éclectique : hip-hop, electro, rock, metal, fusion... Et le public hétéroclite. Look rasta ou gnaoua pour les uns, sempiternel jean évasé et cheveux peroxydés pour les plus « classiques », style « gothique » pour les autres. Ces derniers, surtout, ne passent pas inaperçus. Bottes de cuir, yeux cernés de khôl et vernis à ongles noir pour les filles... Pendentifs baroques, ceintures et bracelets cloutés pour les garçons... Tous sont vêtus de noir. Quelques-uns sont tatoués ou piercés. Les plus grands groupes marocains, de Fez-City Clan à H Kayne en passant par Rif Gnawa (pour ne citer qu'eux) se produisent sur les scènes voisines du RUC et du Club olympique de Casablanca (COC). Ambiance vaguement libertaire, foule survoltée, débordante de vitalité...

Dimanche 19 juin. À la sortie du Complexe sportif Mohammed-V, à Casa toujours, plusieurs centaines de supporteurs du Raja, rendus fous par la défaite de leur équipe face aux FAR de Rabat, saccagent tout sur leur passage. Une centaine de bus sont détruits. Ces débordements sont presque devenus une habitude après chaque match important. Ici plus qu'ailleurs, peut-être, le football est l'opium du peuple.

Les moins de 30 ans représentent 70 % de la population du royaume. On les appelle les « forces vives de la nation » et ils ont même leur fête officielle, l'Aïd Echabab, le 21 août (qui est aussi l'anniversaire du roi). Paradoxalement, ils souffrent d'un manque de reconnaissance et s'estiment tout juste « tolérés » par la société et les politiques. « Même majeurs et munis du droit de vote, on n'est pas considérés comme des adultes et encore moins comme des citoyens à part entière », s'emporte Adil (24 ans).

Dans le rapport intitulé La jeunesse marocaine. Attitudes, comportements et besoins que son département a publié au mois de juin, Ahmed Lahlimi-Alami, le haut-commissaire au Plan, préconise « d'intégrer les 15-24 ans dans le processus économique et social ». Ce qui passe par « la satisfaction de leurs besoins en matière d'éducation, de formation, de santé, de loisirs et d'emploi, dans le cadre de stratégies cohérentes et intégrées entre les départements ministériels, les collectivités locales et la société civile ».

Après le bac, les enfants de l'élite vont poursuivre leurs études à l'étranger. Les moins malchanceux de ceux qui restent au pays s'inscrivent dans des écoles privées. Les autres, c'est-à-dire la grande majorité, échoue, dans tous les sens du terme, dans l'enseignement public. Les études étant fort longues et pas vraiment adaptées aux exigences du marché du travail, plus d'un jeune sur cinq est au chômage en milieu urbain. Et plus d'un sur trois à Casa. Parler de « diplômé-chômeur » est presque devenu une banalité. Comme si cela allait de soi !

Selon le rapport du haut-commissariat, « le taux de chômage augmente avec le niveau de diplôme. Il atteint 7,7 % pour les non-diplômés, 28,1 % pour les diplômés de niveau moyen et 61,2 % pour les diplômés du supérieur. » Ces chiffres peuvent paraître surprenants - on observe dans de nombreux pays le phénomène exactement inverse -, mais ils n'en traduisent pas moins la dramatique inadéquation existant au Maroc entre les études et l'emploi. Vocations contrariées, chômage de longue durée et stages non rémunérés y sont le lot commun.

Moncef vend des CD et des DVD dans une boutique de la vieille médina de Casa. « Je ne me plains pas, explique-t-il, parce que j'ai arrêté l'école avant le bac. Mais je trouve injuste que mon frère ingénieur en informatique soit obligé de pirater des cartes TPS au souk de Derb Ghallef, pour un salaire de misère. » Hanane, 22 ans, a pour sa part choisi de devenir téléopératrice dans un centre d'appels. « Je n'avais pas le choix, se justifie-t-elle. J'ai cherché du travail pendant six mois, mais on ne me proposait que des stages non rémunérés. » Quant à Larbi, il est titulaire d'une licence d'études politiques et juridiques. Après trois ans de chômage et plusieurs tentatives d'expatriation avortées, il s'est reconverti en chauffeur de taxi. Parcours typiques, hélas !

« Migrer à l'étranger et particulièrement en Europe est un rêve que caresse une proportion appréciable de jeunes filles et garçons. Les difficultés d'insertion professionnelle et le désir d'une vie meilleure nourrissent fortement ce rêve », écrivent les auteurs d'une enquête sur les 15-24 ans réalisée, en 2001, par le Centre d'études et de recherches démographiques (Cered). Devant les consulats étrangers, les interminables files d'attente font désormais partie du décor. Ceux qui se voient refuser leur visa rejoignent la cohorte innombrable des harragas, c'est-à-dire des candidats au h'rig, mot qui, littéralement, désigne le fait de brûler, et, plus prosaïquement, l'émigration clandestine. On brûle ses papiers avant le grand départ, on brule sa vie. C'est un véritable sport national.

Partir à tout prix, souvent au péril de sa vie... Quand le départ se révèle impossible, il est d'autres moyens d'évasion, tout aussi dangereux. Les plus pauvres sniffent de la colle synthétique, inhalent un chiffon ou ingèrent un morceau de pain préalablement introduits dans le pot d'échappement d'un bus. Le long des trottoirs, il n'est pas rare de croiser leurs silhouettes titubantes... Ecstasy, LSD et cocaïne sont réservés aux plus riches ; kif et haschich au plus grand nombre. On estime qu'un adolescent marocain sur cinq consomme de la drogue avant sa vingtième année.

Aux paradis artificiels certains préfèrent le paradis tout court et basculent dans l'extrémisme religieux. C'est le cas des quatorze jeunes auteurs des attentats de Casablanca, le 16 mai 2003, qui tous habitaient le bidonville de Sidi Moumen. « Les jeunes remplissent leur vide politique, culturel et professionnel par la musique ou la religion. Après le 16 mai, on a pris conscience que moins ils étaient oisifs, moins ils risquaient d'être embrigadés par les barbus », commente l'avocat Abderrahim Berrada.

Militant des droits de l'homme et membre de Transparency Maroc, ce dernier n'a pas hésité à prendre fait et cause, il y a deux ans, pour un groupe de jeunes musiciens de hard-rock. Un quotidien arabophone, aussitôt relayé par d'autres journaux, les ayant accusés de se livrer à des pratiques satanistes - « manger le foie des chats », par exemple -, ils avaient été arrêtés, traduits en justice et condamnés pour « ébranlement de la foi musulmane ». Il avait fallu que les ONG et la société civile se mobilisent pour arracher leur libération, quelques semaines plus tard...

Fans de musique ou fanatiques religieux, les jeunes anticonformistes suscitent la méfiance, pour ne pas dire le malaise, de leurs aînés. Méfiance réciproque, bien sûr... « Ces réactionnaires nous traitent de drogués, de prostituées ou d'homosexuels à partir de considérations morales et vestimentaires », s'insurge Mohamed Merhari, dit « Momo ». Animateur à la Fédération des oeuvres laïques (FOL) et coorganisateur du Boulevard des jeunes musiciens, ledit Momo s'est souvent heurté à la mauvaise volonté des autorités locales, obsédées par la sécurité et par la crainte de ne pouvoir canaliser de grands rassemblements de foule.

Cela peut se comprendre, mais quelles activités de remplacement proposent-elles aux jeunes ? Le budget culturel des grandes villes ne prévoit pas toujours d'enveloppe pour l'organisation de spectacles qui leur sont destinés. Et les théâtres publics sont souvent dans un état de délabrement avancé. Hicham Abkari est responsable du service culturel de la wilaya de Casablanca. Homme de terrain, il milite dans de nombreuses associations pour jeunes des quartiers défavorisés. « Grâce à des initiatives individuelles, explique-t-il, les choses commencent à bouger. La culture urbaine se développe, mais la ville n'offre aucun espace pour les grafs, le hip-hop, le roller ou le skate. Et la mairie ne fait rien. Ni les conservateurs du Parti de la justice et du développement (PJD) ni les progressistes, désespérément scotchés aux années 1970, ne veulent de cette culture soi-disant impérialiste. »

À Casa comme dans toutes les grandes villes, la vie nocturne est presque inexistante, les cafés ferment à 21 h 30 et le coût des autres loisirs est simplement prohibitif. En 2001, par exemple, ceux qui n'avaient pas 500 dirhams (45 euros) pour assister au concert de Charles Aznavour se seront sans doute contentés de reprendre le refrain d'une de ses chansons : « Avoir 20 ans, des lendemains pleins de promesses/il faut boire jusqu'à l'ivresse, sa jeunesse... »

Pourtant, hormis ces quelques exceptions, la musique demeure un moyen d'expression à la portée de tous. Et un exutoire providentiel. La culture hip-hop, version marocaine, est née dans la rue. Les rappeurs se réunissent dans le parc de la Ligue arabe, au coeur de la mégalopole, pour dénoncer dans un étrange sabir, mélange de français, d'anglais, de berbère et de darija (arabe dialectal), les maux dont souffre leur génération.

Naguère, les jeunes se réunissaient dans une ruelle de quartier pour discuter et jouer au football. Et puis, le derb traditionnel a été progressivement supplanté par Internet et la télévision par satellite. L'influence occidentale est omniprésente, mais elle se conjugue avec des références plus traditionnelles. « On se réapproprie la mondialisation en la marocanisant », commente Réda Allali, du groupe Hoba-Hoba Spirit, qui vient d'autoproduire Bled Skizo, son second album. De fait, entre conservatisme et modernité, laïcité et religion, marocanité et mondialisation, voire entre piété et sexualité, ces jeunes « mutants » ne voient apparemment pas de contradiction insurmontable. Ils jonglent et se bricolent une identité à géométrie variable. « À leur insu, ils sont les agents d'une modernité renégociée avec les valeurs traditionnelles », analyse le politologue Mohamed Tozy, qui qualifie leur comportement de « schizophrénie non pathologique ».

Ces valeurs sont morales, familiales, patriotiques et religieuses. La politique et les hommes qui la font paraissent, en revanche, largement discrédités. « Ça ne nous concerne pas, on préfère s'impliquer dans des associations », tranche Mehdi, 23 ans. À la différence de celle de leurs parents, qui a connu l'arbitraire, la censure et la répression des « années de plomb », la nouvelle génération a grandi à l'ère de l'ouverture démocratique. Et perdu, du même coup, beaucoup d'illusions. Le leitmotiv du moment ? « Tous pareils, ils ne pensent qu'à leurs petits intérêts. » Les commentateurs convaincus de la « repolitisation progressive » de la jeunesse sont sans doute d'incurables optimistes.

Dans les cafés, il ne viendrait à l'idée de personne de parler politique. On préfère regarder le match de foot à la télé... À force de tuer le temps, les jeunes désoeuvrés ont fini par inventer une jolie expression pour décrire leur principale activité : a'ssar l'ouaqt. Littéralement : presser le temps comme on le fait d'un fruit. Ceux-là paraissent résignés. Mais d'autres, en revanche, refusent d'être la génération no future. Oscillant entre mal-être, attentisme et joie de vivre, ils ont de l'ambition, des projets et de l'énergie à revendre. En dépit d'un environnement difficile, ils ne rechignent pas à exercer des petits métiers, font preuve de débrouillardise, de talent et d'ingéniosité. « Je sais qu'il faut travailler dur pour s'en sortir. Il m'arrive d'être découragée, mais je me ressaisis. Il y a eu des époques plus dures que la nôtre », confie Hind, une étudiante de 19 ans. Et si c'était la voix de la majorité silencieuse ?
k
8 septembre 2005 10:00
les festivales et le foot sont une bonne anesthesie pour le peuple que le gouvernement encourage.
b
8 septembre 2005 10:10
zut alors comme dirait lefranssaoui, je ne savais pas que les pays europeens droguaient leur jeunesse a grande echelle!


biggie a écrit:
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> les festivales et le foot sont une bonne
> anesthesie pour le peuple que le gouvernement
> encourage.


m
8 septembre 2005 10:35

Alors pas de festivals pas de foot et en passant pas de théâtre pas de musique et puisqu'on y est pas d'ahtlétisme, Ah non, j'exagère j'ai oublié pas d'éducation, pas de scolarité.

Le Maroc quand il a voulu péter plus haut que son séant en déposant un dossier plein de projets qu'il sait d'avance incapable de réaliser, ce fut le dossier coupe du monde. Et tout ce beau monde dope sa jeunesse avec le foot...

Un peu de bon sens. Le foot est foutu je suis tout à fait d'accord, corruption, dopage, salaire faramineux etc... Mais il demeure quand même et avant tout UN SPORT.

Pourquoi cherche-t-on toujours le mal où il n'y est pas. Notre société est malade vraiment malade. Il faut le reconnaître et le discuter, le forum est ouvert pour trouver des solutions. Il est de notre devoir de dire des solutions et non de critiquer. Il est facile de critiquer. Le premier mal de notre société est l'ignorance. Quand elle nous tient, on l'ignore pour chercher ailleurs.

mag3
k
8 septembre 2005 11:39
bikhir a écrit:
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> zut alors comme dirait lefranssaoui, je ne savais
> pas que les pays europeens droguaient leur
> jeunesse a grande echelle!
>
>
> biggie a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > les festivales et le foot sont une bonne
> > anesthesie pour le peuple que le
> gouvernement
> > encourage.
>
>
>


je ne suis pas contre les organisation culuturels et le foot, sport que j'aime bien. mais il faut etre logique nos politiciens s'en servent a leur fin.

pour l'instant ce n'est pas les marocains qui s'occupent de la politique mais bien la politique qui s'occupe de nous. pour l'instant il y'a une politique réel qui encourage la culture mais j'en vois pas la meme intensité pour l'education ou pour l'emploi. y'a qu'a voir notre cher TV ( generation, noujoum,studio2m ect)
la musique on se croirait sur MTV base.


le sport pour les jeunes doit rester une activité extrascolaire qui ne doit pas peser sur la scolarité mais aussi qu'ils doivent le considerer comme la cerise sur le gateaux.pour un etre equilibrer il faut bien de tout.

nous somme un etat sous developpé et je ne pense pas que le sport et la musique vont nous en sortir.
b
8 septembre 2005 11:52
biggie,

tout d'abords je voudrais te contredire sur la tele (surtout 2m). on est loin de mtv. ce n'est pas justifie du tout et j'ai l'impression qu'il faudrait interdire la chanson et mettre les nanas derrier le tchador pour etre une tele a la hauteur. non cela est grave. compare a ses moyens fincanciers et a ses ressources humaines (les gens de qualite trouvent mieux en europe) 2m fait un travail remarquable. et ce meme au niveau des emmissions de diverstissement.

ceci dit, meme dans ta reaction tu mets le doigt sur l'epanouissement personnel, chose absolument necessaire pour le developpement humain dans tous les sens. ici la culture et le sports ne sont que deux de plusieurs choses devenues existentielles dans notre monde.

exemple: va voir les criteres de recrutement chez les boites qui donne le pulse de demain a l'echelle internationale: les loisirs font partie des justificatifs d'une personnalites equilibree, competitive, independante, responsbales, d'esprit "sportif" etc. ca ne se limite plus aux pures qualifications techiques. a qualification plus ou moins egale on decide au detriment d'une personne qui n'a aucun loisir, ne connait aucun festival et ne pratique jamais le sport. dans les positions de responsabilite c'est une regle sacree meme.

voila juste un aspect mais on peut prolonger.

avec ses festivals, l'un plus original et plus interessant que l'autre le Maroc a fait un pas geant dans l'organisation culturelle et ce n'est jamais assez. il faut encore et encore. et c'est enracine dans notre culture de moussem et de fetivites folklorique et religieuses.

de meme pour le sport. des marocains deviennent legendes (elguerrouj, nawal) rien qu'en courant. malgre le manque de moyens et d'infrsatructure le Maroc est le seul pays arabo-muslman qui donne plusieurs joueurs de tennis en meme temps...

les potentialites sont enormes, mais des cris comme tu pousses tendent au refoulement et a jeter le bebe avec l'eau de bain. a mon sens c'est grave grave grave.














biggie a écrit:
-------------------------------------------------------

>
> je ne suis pas contre les organisation culuturels
> et le foot, sport que j'aime bien. mais il faut
> etre logique nos politiciens s'en servent a leur
> fin.
>
> pour l'instant ce n'est pas les marocains qui
> s'occupent de la politique mais bien la politique
> qui s'occupe de nous. pour l'instant il y'a une
> politique réel qui encourage la culture mais j'en
> vois pas la meme intensité pour l'education ou
> pour l'emploi. y'a qu'a voir notre cher TV (
> generation, noujoum,studio2m ect)
> la musique on se croirait sur MTV base.
>
>
> le sport pour les jeunes doit rester une activité
> extrascolaire qui ne doit pas peser sur la
> scolarité mais aussi qu'ils doivent le considerer
> comme la cerise sur le gateaux.pour un etre
> equilibrer il faut bien de tout.
>
> nous somme un etat sous developpé et je ne pense
> pas que le sport et la musique vont nous en
> sortir.


V
8 septembre 2005 12:05


franchement , il nous faut un dirigeant du genre Mao ou Lenine , tous ce qui n'est pas fondamentalement necéssaire doit étre éliminé pour permettre au peuple de se connsacrer (EXCLUSIVEMENT) à son dévelopemment et à son education, je suis daccord avec biggie , le sport c'est bien , mais au maroc, on devrait plutot l'appeller SPOROPHORME, parceque ca ne sert qu'à une seule chose : détourner le peuple de la réalité ..........

je sais qu'il y en a qui vont crier au scandale en lisant cette intervention , mais un ultime probléme doit etre traité d'une maniére ultime ...... radical si on veut

wa ssalam
k
8 septembre 2005 12:20
salam

lenine ou mao reuni c'est le cauchmard assurer pour nos bourgeois du bled.
ils se batterons corps et ame pour que pareil personne ne naisse.
V
8 septembre 2005 12:22
biggie a écrit:
-------------------------------------------------------
> salam
>
> lenine ou mao reuni c'est le cauchmard assurer
> pour nos bourgeois du bled.
> ils se batterons corps et ame pour que pareil
> personne ne naisse.

alors il faut s'en débarasser , la bourgeoisie au maroc , ca sert à rien , juste à piller le pays , amasser les dirhams , et frimer avec des AUDI TT dans les quartiers populaires, au milieu des pauvres .........


b
8 septembre 2005 12:48
desole, je ne suis pas.
c'est de l'ironie? ou tu parles en paradoxes?
l'heritage de lenine et de mao a fait des nations qu'ils ont dirrigees des geants en sport en culture.

l'union sovietique a tjrs ete le plus grand concurrent de l'usa cote nombre de medailles. concernant la popularite et surtout la democratisation du sport ce pays etait surement meme mieux que les usa. de meme pour la culture, peinture, opera, musique (surtout classique) c'est une banailite dans ce pays comme dans ses anciens satelites. vous connaissez surement des jeunes qui font leurs etudes en russie ou en ukraine, ils vous informeront.

la chine a impressione pendant les dernieres competitions olympiques et s'est mise comme objectif de devancer les usa pendant les prochaine. un pays ou tout le monde saute et fait quelque chose.

bref.

chez nous comme chez les arabes, on blames les seuls choses qui marchent. c'est une honte, un scandale. c'est l'une des raisons pourquoi les arabes, sont les derniers, les DERNIERS.

vous rencontrez un enfant africain pauvre comme pas possible et il sait au moins chanter une petite chanson sans avoir peur ni honte.

non, votre mentalite est menacante. elle est dangereuse. car vous ennumerez ce qui ne va pas bien, la vous etes a l'aise. et quand quelque chose marche un peu, ne serait-ce qu'un peu de sport ou de defoulement culturel pendant les vacances, vous sortez vos "theories" a deux balles pour crier au scandale.

apres vous fuiyez le pays poru vivre dans des d'autre ou le sport et la culture sont des priorites exitentielles et meme des sectreurs economiquee importants.

heureusement que le peuple ne vous entends pas. car vu la particpation par dizaines sinon centaines de milliers le long de l'ete, il a manifeste un besoin plus que certain pour que ca continue.

le prochain ete reservez vos vacances en afghanistan. et enocre je ne suis pas sur, ce pourrait decadant pour vous.





Vador a écrit:
-------------------------------------------------------
> >
> franchement , il nous faut un dirigeant du genre
> Mao ou Lenine , tous ce qui n'est pas
> fondamentalement necéssaire doit étre éliminé pour
> permettre au peuple de se connsacrer
> (EXCLUSIVEMENT) à son dévelopemment et à son
> education, je suis daccord avec biggie , le sport
> c'est bien , mais au maroc, on devrait plutot
> l'appeller SPOROPHORME, parceque ca ne sert qu'à
> une seule chose : détourner le peuple de la
> réalité ..........
>
> je sais qu'il y en a qui vont crier au scandale en
> lisant cette intervention , mais un ultime
> probléme doit etre traité d'une maniére ultime
> ...... radical si on veut
>
> wa ssalam


k
8 septembre 2005 12:51
pour ça il faut que le peuple ce charge de la politique. mais ça c'est pas pres d'arriver je pense. le peuple est quelque part lache il connais que la fuite. ou lieu de mourrir pour ses droits il prefert mourrir en mer!! mashalah.
m
8 septembre 2005 12:53

Et voilà qu'on détourne le problème de nouveau et l'on s'insurge contre ses compatriotes. Alors nous allons suivre les idées de Vador :

Débarassons-nous des bourgeois au Maroc ! Prenons-leur argent et jetons-les à la mer ! Et si leurs femme et enfants réclament ou prononcent le moindre petit mot, on les envoie à la guillotine !

Croyez-vous que l'on va nous prendre au sérieux en discutant de la sorte ?

Gardez votre Lénine pour vous. quand à Mao s'il venait rendre des comptes ce serait mieux.

Nous avons besoin d'un Bouchaïb, d'un Hoummad, d'un Lakbir éveillés, consciencieux, travailleurs et qui adorent leur pays pays pour le servir.

Pourquoi cherchons-nous à imiter les autres ? Notre nation ne peut pas produire des génies ? Je ne le pense pas. Mais si nous tentons de nous débarasser de ce qui constitue l'ossature du pays, les génies auront peur de naître chez nous. Ils iront vers ailleurs.

Quand on tente à éliminer, je dirai que ce n'est pas une discussion, excusez-moi...

mag3
k
8 septembre 2005 13:06
salam

je peux te dire que si tu fais de la plonger sous marine dans le detroit de gibraltar tu trouvera quelques carcasses de genies marocains tenant entre leurs doigts squelletiques leurs diplomes qui ne leur ont servis a rien dans notre beau pays.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/09/05 13:07 par biggie.
V
8 septembre 2005 13:09
je vais essayer de répondre à ton intervention point par point , daccord

mag3 a écrit:
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> > Et voilà qu'on détourne le problème de nouveau
> et l'on s'insurge contre ses compatriotes. Alors
> nous allons suivre les idées de Vador :

tu me faais trop d'honneur en affirmant que ce sont mes idées .....merci

> Débarassons-nous des bourgeois au Maroc !
> Prenons-leur argent et jetons-les à la mer ! Et si
> leurs femme et enfants réclament ou prononcent le
> moindre petit mot, on les envoie à la guillotine

et pourquoipas , leur perfidie et leur gourmandise a mis ce pays sur la paille , ca ne serait que justice rendu , les francais ont bien guillotiné leur roi et lka moitié de la bourgeoisie francaise .............

> Croyez-vous que l'on va nous prendre au sérieux en
> discutant de la sorte ?

qui va nous prendre au serieux ..........les pays démocratiques, ils s'en foutent totalement qu'on soit une démocratie ou pas , tous ce qui les intéreéssent c'est leurs intéret economiques .............

> Gardez votre Lénine pour vous. quand à Mao s'il
> venait rendre des comptes ce serait mieux.

Lenine et Mao sont tous les 2 morts ...........

> Nous avons besoin d'un Bouchaïb, d'un Hoummad,
> d'un Lakbir éveillés, consciencieux, travailleurs
> et qui adorent leur pays pays pour le servir.

t'aurais du rajouter à la liste : Driss El BAsri , Oufkir , Dlimi , EL GAhs , El Youssoufi , .............

> Pourquoi cherchons-nous à imiter les autres ?
> Notre nation ne peut pas produire des génies ? Je
> ne le pense pas. Mais si nous tentons de nous
> débarasser de ce qui constitue l'ossature du pays,
> les génies auront peur de naître chez nous. Ils
> iront vers ailleurs.

l'ossature du ppays ..... confused smiley , mag3 , je commence à croire que t'es un petit bouge qui roule en golf 5 sur al Ma3arif ........
la bougeosie au maroc mon ami , contrairement aux Autres (que tu ne veux pas imiter) accumule la richesse , chez les autres ..elle en crée , la bourgeoisie chez nous engage des clochards pour asphyxier le gagne petit et l'intimider , chez les autres , elle investit et créee des emplois , la bourgeoisie chez nous ne paie pas d'impots (parcequ'ils connaissent qlqu'un qui connait qulqu'un qui ...........) , alors que chez les autres , elle contribue au developement du pays .


> Quand on tente à éliminer, je dirai que ce n'est
> pas une discussion, excusez-moi...

C'est vrai que le mot 'éliminer' donne des sueurs froides , aussi je vais le remplacer par 's'en débarasser'.
>
> mag3


VADOR que la force soit avec toi






Modifié 2 fois. Dernière modification le 08/09/05 13:12 par Vador.
b
8 septembre 2005 14:44
vador je ne sais pas si tu fais expres. j'ai lu des trucs tres senses de ta part. mais ici tu parais representer une mentalite devastatrice:

elkalakh el3arabi elmoubiiiiine.

loin de moi de t'attaquer personnellement, mais mettre en question le role du sport et de la culture, pire, les accuser d'etre derriere les maux dont souffre une societe, il faut faire un effort pour admettre que cela soit ecrit par des gens qui savent taper sur un clavier.
m
8 septembre 2005 14:50

Bonjour Vador,

Ne t'en fais pas Vador, la force je l'ai. Je vis dans un pays qui ne croit qu'à la force de la personne et ce depuis deux décennies déjà. Je parle de la force du caractère. Je les appelle RAS EL GHOUL. Ce sont des gens qui ne connaissent ni leur père ni leur mère ni leur cousin. Donc pas moyen d'appeler au secours ou de faire intervenir Flan Wala Fartallan. Ils sont gentils avec toi te payent honorablement tant que tu donnes du jus. Le jour où il n'y aura plus. Circulez, il n'y a rien à voir.

Ce n'est pas la peine d'écrire en gras ou en majuscules, cela me donne l'impression que tu refuses de discuter avec moi et que tu es fâché. Si je me trompe mille excuses.

D'abord le mot Bourgeois n'est pas dans son contexte au Maroc et ne l'a jamais été.

Ce mot englobe certaines connotations qui échappent à notre règle. Jadis, il désignait un habitant spécifique, en l'occurrence, celui qui habite le bourg (petit village).

Le mot est resté encore dans la langue de Molière. Une bourgade, une petite agglomération. Ce mot persiste encore dans des noms de ville comme strass (rue en allemand) qui donne vers le bourg (petit village) Strasbourg, en Alsace. Luxembourg au Bénelux à son époque. Bourg-en-Bresse. Hambourg en Allemagne. Les allemands disent d'ailleurs Burger pour citoyen.

La déformation du mot qui signifiait simple habitant s'est opposé à Socialiste. Et l'on a entendu le socialiste se bat contre la bourgeoisie montante. Ou bien encore le communisme qui lutte contre la Bourgeoisie asphyxiante.

Tous ces mots contiennent des maux. Ils ont leurré plus d'une population et continuent encore. Les slogans n'ont jamais rien ramené. Les plus malins se remplissent les poches au détriment du cheptel qui les écoute.

Alors lorsque tu parles de Bourgeois, je ne sais pas à qui tu fais allusion. À ces personnes qui ont sacrifié toute leur vie à étudier et travailler et assistent maintenant à leur réussite sociale.

Je les respècte et je les invite à collaborer avec tous les Marocains pour aider ceux qui n'ont pas eu la même chance qu'eux ou bien tu veux parler de Basri, Oufkir, Dlimi, Chelouati et compagnie...Il y en a des milliers qui ont profité d'un système pourri pour se remplir la poche.

C'est de notre faute. Il ne faut pas leur jeter la pierre. Nous auroins dû réclamer à ce qu'ils nous donnent des comptes. D'où leur vient ce trésor ? Il n'est jamais trop tard. Et c'est cela la démocratie...

On peut calculer ce que gagne un fonctionnaire par moi, exagérer dans ces dépenses mesuelles et connaître combien il peut économiser pour s'octroyer une ferme pour ne pas dire plusieurs fermes.

Tu as bien fait de retirer le mot éliminer. Je déteste la violence et je déteste ceux qui la prêchent. Bush le premier. Il y a toujours des solutions. Seul dieu est responsable de l'âme qu'il a voulu insufflé dans chaque corps humain.

Je ne veux pas dire que nous devons attendre jusqu'à l'autre monde pour demander des comptes. Le Maroc a été victime d'un rapt collectif et si tu désignes ces Bourgeois comme responsables, je te suis dans ton raisonnement. Certains sont en train de rendre des comptes et d'autres ont préféré fuir le pays pour se la couler douce. Cette Bourgoisie je l'exècre, je l'ai vu faire.

Mais, il y a un phénomène dans notre société, nous déresponsabilisons notre société en cherchant la faute ailleurs. Tout le monde veut coller la faute à l'autre. Pour être plus concret, au début des années 70 DAR AMERICA à Casablanca dispensait des cours d'anglais pour 70 dirhams par trimestre. Ce ne fut rien, n'importe quel Marocain pouvait s'offrir ce petit luxe. Nous étions deux ou trois Marocains, les autres étaient tous des étrangers. À cette époque, on affichait au tableau la liste des établissements qui offraient une bourse aux Marocains pour aller en Amérique étudier et pourquoi pas tenter leur chance. La Green Card se bradait.

Les Hittistes voulaient gambader toute la journée, fumer, raser les murs, en gros ne rien faire. Ce que je raconte je l'ai vécu et me rendait triste.

Et maintenant, ils crient que c'est la faute à ceux qui ont étudié, à ceux qui ont mérité ou réussi socialement.

Tu vois ce que je veux dire Vador ? Tu risques de crier à la haine, à l'anarchie. Chacun de nous est responsable. Dans cette vie il faut se battre. Rien ne tombe du ciel. Les gens qui roulent avec des voitures, pour moi ce n'est nullement un signe de luxe, c'est parce qu'ils ont travaillé et ils ont sué pour acquérir ce bien. Il est vrai qu'il existe une partie de citoyens qui n'ont pas eu de chance. Ils ne doivent pas désespérer. Et surtout qu'ils ne croient pas qu'en Europe c'est facile comme ils le pensent. Beaucoup d'entre qui croyaient à l'Aldérado sont vite rentrés bredouilles. Le choc de culture, la nonchalance, le jmenfoutisme etc...

Ne généralisons pas et soyons calmes. Ceux qu'on prend pour des Bourgeois ne le sont peut-être pas. Ils brulent leur chandelle par les deux bouts et ils vont s'exténuer à force de se montrer. Ce sont peut-être des m'-as-tu-vu.

Ceux qui ont réussi Allah Yaawanhoum mais Krouch Lahram Allah Yafdah houm. C'est cette catégorie que je condamne et que je voudrais t'entendre désigner.

mag3

B
8 septembre 2005 15:31
et si on revenait au sujet: cet article est bien chercheé, je trouve..
j´ai retenu entre autre:
1. plus de 60% de jeunes diplomé en chomage

==> si c´est vrai, et moi j´y crois c´est qu´il a y a du travail...
Il faut que l´etat s´ occupe plus des diplomés, encourager les grandes multinationales a creer des centres R&D, encourager l´auto-emploie, formation, aider les jeunes proomoteurs....

2. 1 sur 5 des ados au dessous de 20 ans ont deja consomer de la drogue

==> les meilleurs methodes pour combattre la drogue c´est l´information et le sport. Quand je parle de sport, se n´est pas passer la mi journée devant la tele a regarder les meilleurs buts de la primiera ligua, mais d´en faire. et c´est la le probleme: Les insfrastructures quasi inexistantes, a part quelques clubs dans les quartiers hupés de casa et rabat, il ne reste plus que le foot, un peu de basket et la course.
V
8 septembre 2005 15:41
Mag3 , je vais essayer de répondre ............. briévement

je ne saurais etre en desaccord avec toi quand tu dis que tous les marocains fuient leur responsabilité , que ce soit le petit epicier au coin de la rue ou le ministre des finances qui magouille le budget de l'état , mais ce que tu semble oublier , ou plutot ce que tu passe sous silence , c'est les conséquences de tels actes , un cordonnier irrésponsable causera moins de tort qu'un ministre incompétent ..........


je voudrai aussi eclaircir un point avec toi , le bourgeois (ou plutot devrais je dire les riches , Li 3andhoum Bezzaf dial Leflouss ), si comme tu l'a dit , c'est des gens qui ont bossé toute leur vies et maintenant recoltent les fruits de leur dur labeur , meme dieu n'a pas le droit de leur contester

malheureusement , tu semble oublier la réalité du maroc (j'ai lu un jour une intervention à toi ou tu disais que ca faisait longtremps que t'es pas rentré au bled......) , tu semble oublier qu'au maroc , il n'y a pas de merite , tu semble oublier qu'au maroc , pour exercer ton droit , t'a besoin d'un psiton, tu semble oublier qu'aussi ingénieux et créatif puisse tu etre , jamais tu n'aura droit à la place que tu mérite, à moins de lecher les bottes et baisser la téte, c'est pour toutes ces raison que j'ai un serieux doute sur l'honneteté et le mérite attribué à notre BOURGEOISIE ....... car celle ci s'est construite sur une systéme pourri quasi féodal.

tu sais à quoi je compare le maroc , à un vieil arbre malalde infesté de fourmis qui le rongent de plus en pplus chaque année , on peut essayer de le traiter, d'utiliser des insecticides et perdre de l'argent et du temps , mais je crois que ca sera plus simple (et plus intelligent) de le raser et d'en planter un autre ........d'ou l'utilisation du mot 'ELIMINER', qui apparement t'a choqué


b
8 septembre 2005 15:49
bonjour panther,

oui c'est un peu bien cherché, mais ca reste dans la polémique misérabiliste. pourtant c'est un pas vers des rtucs de reflexion, sans trop de jugements de valeur. on en est encore trop loin.

concernant ta premiere remarque ce qu'il faudrait c'est une reforme radicale qui ajuste la formation aux besoins de la ste, accampgnée d'une campagne qui doit convaincre les gens que l'etat est la pour le cadre poltique et economique mais qu'il n'est plus le donneur d'emploi des annees 60 et 70.

parmi ces 60% un bon nombre a fini "tarbia elislamia" et ettend un emploi chez l'etat. c'est ca l'etat d'esprit qui regne au Maroc. et quand il n'y a pas d'emploi on fait le chantage a l'etat par la greve de la faim ou les sit-ins interminables en face du parlement.

pendant ce temps ceux qui ont compris envoient leurs enfants dans des ecoles privees pour le business qunad ils ont les moyens. l'article le decrit assez bien.

amicalement


BlackPanther a écrit:
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> et si on revenait au sujet: cet article est bien
> chercheé, je trouve..
> j´ai retenu entre autre:
> 1. plus de 60% de jeunes diplomé en chomage
>
> ==> si c´est vrai, et moi j´y crois c´est qu´il
> a y a du travail...
> Il faut que l´etat s´ occupe plus des diplomés,
> encourager les grandes multinationales a creer des
> centres R&D, encourager l´auto-emploie, formation,
> aider les jeunes proomoteurs....
>
> 2. 1 sur 5 des ados au dessous de 20 ans ont deja
> consomer de la drogue
>
> ==> les meilleurs methodes pour combattre la
> drogue c´est l´information et le sport. Quand je
> parle de sport, se n´est pas passer la mi journée
> devant la tele a regarder les meilleurs buts de la
> primiera ligua, mais d´en faire. et c´est la le
> probleme: Les insfrastructures quasi inexistantes,
> a part quelques clubs dans les quartiers hupés de
> casa et rabat, il ne reste plus que le foot, un
> peu de basket et la course.


B
8 septembre 2005 16:28
Tout a fait d´accord avec toi Bikhir, nos facultés sont plutot ineficace et ne forment pas ce que cherche le marché. Cette mentalité de chez nous doit disparaitre, que c´est l´etat qui doit employer ces docteurs . Mais l´etat doit reflechir de maniere plus efficace a "re"former ces jeunes. en creant d´autres domaines ou ils pourraient exercer d´autres metiers.

amicalement
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