Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
avez-vous des problemes de sante?
m
24 mai 2004 19:11
Badia ,je vais te raconter mon histoire avec la maladie pendant la grossesse ,mes 2 premieres grossesses etaient agreables ,pas de probleme,la derniere ,ma petite fille a presque 3ans maintenaint ,j'ai soufferte ,une sunisite chronique ,les maux de tetes insupportables ,chaque jour ,une taux persistante ,je n'ai pas pu prendre des medicaments ,je suis contre pendant la grossesse ,meme du paracetamol.imagines -toi mes souffrances ,j'avais une grande peur ke les problemes restent durant l'accouchement ,mais dieu merci avant ,d'arriver au dernier mois de grossesse ,tout est fini ,mon accouchement etait facile,sans compliquations...
mais il ya 2 ans ,chaque mois il faut prendre des antibiothiques ,des infections des sinus,angines a repetition ,resultat ,problemes d'estomac .
je suis tombee dans la depresse ,les medecins ,ne pensent ke de donner des ordonnances ,la derniere ,fois j'ai refuse de prendre les medicaments ,j'ai essaye de chercher le remplacant ,j'ai fait la connaissance des medecines alternatives ,chinoise ,naturelles ex.
je te juge ,ke j'avais des infections tres graves au niveau de la gorge ,je n'etait pas capable a manger ,j'ai comence la prise des vitamines ,viC et vitamines E plus vBcomplex et des herbes pour augmenter les deffences naturelles de mon corps ki etait detruit par les medicaments ,c'est vraie c'etait magique ,mes douleures ont fini ,apres 10 jours j'ai change de medecin ,j'ai demande un test pour la gorge et les angines ,pour voir s'il ya des bacteries ,cela prend 36 heures ,j'ai continue mes vitamnines+ herbes ,les resultats etaient negatives pas de bacteries ..
je regrette ,vraiment la confiance ke j'ai donne aux medecin ,sans oublier ke mon probleme de sinusite ,est du d'une malformations au niveau du nez ,donc malgre les extraits ke j'ai fait le medecin n'a jamais propose l'intervention chirurgicale pour faire fin a mes souffrances ,
tu vois ,il ne faut pas faire tjs confiances aux medecins ,meme si on reste incapables d'eviter leur visite ,mais on a le droit de chercher le remplacant ,s'il existe ,et il existe tjs ..
je te souhaite bonne grossesse ,et n'oublie pas d'eviter les viandes rouges .c'est la meilleure facon d'eliminer les urics acides dans le sang

twahachte bladi ard jdadi
t
24 mai 2004 23:12
Flifla,tu perds ton temps avec ces gens, elles sont sourdes et completment sourde.
m
24 mai 2004 23:23
merci ,pour les compliments ,je trouve ke vous etes aveugles ,ne voyez pas loin de vous nez ,allez chercher et vous verrez ..
si vous n'aimez pas le sujet ,vous etes pas obliges de lire mon poste ,je n'ai pas un boutique et je viens de faire une publicite ,tout ce que j'ai voulu c'est d'aider ceux et celle qu'ont des problemes comme les miens .
pourquoi acceptez -vous tout ce que les medecins disent ,meme si la plupart d'entre eux ne savent rien ???
et quand quelqun ,parle des choses naturelles ,vous etes prets a parler .
reveillez - vous la medecine n'est pas une chose sacree ,se sont des recherches et des experiences .

twahachte bladi ard jdadi
S
25 mai 2004 05:20

flifla, tu payes combien?

le crime ne paye pas, mais il occupe
B
25 mai 2004 09:49
[IMG]http://smileyonline.free.fr/images/gif/animaux/vignette1/thumbnails/1036945983_gif.gif[/IMG]bonjour

teleboutik, un peu de réspet svp si tu n'aime pas se sujet personne ne vous oblige de lire...il faut réspecté les chois et les avis des autres
son faire des remarque si stupide.
merci
S
25 mai 2004 15:03

Flifla, ce que tu *****, je sais pas pkoi tu agis comme ca, mais je peux te dires que tu n'épates personne

le crime ne paye pas, mais il occupe
z
25 mai 2004 15:44
de rien ma cherie si vraiment t'as un manque de magne il faut pas l'oublier
moi je 'l'arrete un mois apre je le reprend et dieu merci je suis super bien

__________ :)
t
25 mai 2004 18:45
Juste une petite info pour essayer de vous ouvrir les yeux, sachez que le commerce des plantes miraculeuse est tenue par des sectes et les secte de Moon et de la Sientologie viennent en premier dans ce type de commerce.

Ils ont aussi la main mise sur toutes les méthodes miracles pour devenir riche en 10 leçons, maigrir sans trop se priver de nourriture, plus certains télé-achat....

Vous voilà prévenu.
f
25 mai 2004 20:55
salam tout le monde,
voici un peu de lecture pour votre info.

************************************************************

Bulletin d'information toxicologique, vol. 12, no 3
ÉDITORIAL: LES MÉDICAMENTS TRADITIONNELS CHINOIS
La popularité des thérapeutiques alternatives a connu un essor phénoménal depuis les années 70. En effet, en dépit de l’évolution importante de la médecine occidentale dite conventionnelle, plusieurs raisons ont amené les gens à chercher un remède à leurs maux dans des thérapeutiques de toutes sortes, qu’il s’agisse de l’homéopathie, de la phytothérapie, de l’acupuncture, de l’auriculothérapie pour n’en nommer que quelques-unes. Ces médecines naturelles sont venues combler un vide laissé par la médecine moderne qui, malgré son évolution, n’a pas su répondre aux attentes de gens atteints de maladies chroniques plus au moins graves mais incapacitantes.
Il ne s’agit pas ici de faire le procès de la médecine et de la pharmacothérapie moderne, pas plus que celui des thérapies alternatives. À ce jour, aucune forme de traitement n’a réussi à soulager tous les maux et l’être humain, confronté à la douleur et à la mort, ne négligera aucune alternative dans sa recherche de la guérison.
L’utilisation des médicaments traditionnels chinois connaît depuis quelques années une popularité importante. En effet, ces médicaments utilisés de tous les temps, par les populations d’origine chinoise établies à travers le monde, sont de plus en plus employés par la population en général, soit comme suppléments alimentaires ou pour traiter certaines pathologies.
Les médicaments traditionnels chinois sont quelquefois vendus en pharmacie mais la plupart des gens se les procurent dans des épiceries chinoises ou par la poste. Ils constituent une forme d’automédication d’autant plus dangereuse que, contrairement aux médicaments conventionnels, la plupart des consommateurs considèrent les médicaments chinois comme sécuritaires et dépourvus d’effets indésirables pour la santé parce qu’ils sont "naturels".
Cependant, plusieurs de ces préparations peuvent causer des effets toxiques et la plupart n’ont jamais été soumises à des contrôles de qualité ou à des tests d’innocuité. Le potentiel toxique de ces médicaments a déjà fait l’objet de plusieurs publications scientifiques tant en Chine, où ils constituent une importante source d’intoxication, qu’en Occident.
Le premier problème auquel devra faire face le médecin concerne l’identification des médicaments chinois utilisés par le patient. En effet, on estime que plus de 5000 médicaments chinois sont disponibles en vente libre au Canada. La plupart de ces produits échappent à la vigilance de la Direction générale de la protection de la santé (DGPS), n’ont subi aucun contrôle de qualité, d’efficacité ou d’innocuité et ne répondent à aucune norme d’étiquetage. Bien qu’on parle généralement de médicaments chinois, il faut savoir que ces produits proviennent non seulement de Chine mais aussi de plusieurs autres pays d’Orient tels que Taiwan, Hong Kong, la Thaïlande, la Corée, Singapour, etc... Il en résulte que la langue originale utilisée pour identifier le produit, sa composition, la posologie et les contre-indications ou effets secondaires, s’il y a lieu, varie d’un produit à l’autre, de telle sorte qu’en cas d’urgence, même un interprète pourrait ne pas être en mesure de traduire le contenu d’une étiquette. Aujourd’hui, on peut retrouver des informations en anglais sur l’emballage ou sur les feuillets d’informations de plusieurs médicaments chinois. Cependant, en raison de l’absence d’un alphabet chinois, la traduction, essentiellement phonétique, est très approximative. De plus, la liste des ingrédients fournie avec ces produits utilise très souvent des noms locaux qui ne peuvent être identifiés même après consultation de la documentation disponible. L’utilisation des dénominations latines des ingrédients naturels, bien que plus utile, n’est pas toujours exacte puisque plusieurs plantes, portant le même nom, sont différentes. Enfin, une plante peut avoir des propriétés pharmacologiques et toxicologiques différentes, selon son origine, le climat, le moment de la cueillette ou le mode de préparation et de conservation.
Une autre difficulté que nous rencontrons lors de l’évaluation de la toxicité des médicaments chinois est due à l’approche différente utilisée en Orient pour traiter les maladies et qui consiste habituellement à utiliser une herbe pour soulager chaque symptôme. Le format de prescription utilisé par les praticiens de la médecine traditionnelle chinoise n’a pas changé depuis des milliers d’années. En général, les préparations contiennent quatre herbes médicinales ou plus dont les interactions devraient augmenter l’effet recherché de l’herbe principale et diminuer ses effets secondaires. En réalité, la plupart des produits qui sont disponibles en vente libre contiennent plus de 10 substances végétales, minérales ou animales, selon un principe très répandu en médecine traditionnelle : “Yi Jun, Er Chen, San Zuo, Si Shi” soit “un maître, deux ministres, trois aides et quatre guides”. Le maître est l’ingrédient actif tandis que les neufs autres produits sont des assistants de différents niveaux d’activité. Bien que l’efficacité de ces préparations soient basée sur la croyance que les ingrédients secondaires amélioreront l’efficacité de la plante principale, on ne considère jamais la possibilité d’incompatibilité entre les différents ingrédients. Selon le même principe, une préparation devrait contenir une herbe non toxique et qui peut être utilisée à long terme (le maître) ; une ou deux qui sont peu ou légèrement toxiques qui devraient être utilisées avec modération (les ministres) ; une à trois qui sont toxiques (les aides) et qui ne devraient être utilisées que pour une courte période. Quant aux guides (un à quatre), ils sont utilisés comme véhicules et les raisons qui justifient leur ajout aux préparations sont bien souvent au-delà de toute compréhension scientifique. Par exemple, plusieurs prescriptions incluent l’utilisation d’une à deux cuillerées à thé d’urine d’enfant dont l’ajout renforcerait l’effet de l’herbe principale.
On estime qu’il y a plus de 7000 (sept mille) espèces de plantes médicinales en Chine et plus de 11,000 (onze mille) préparations différentes y ont été répertoriées au cours des siècles. Cependant, la pharmacopée de la République populaire de Chine n’a retenu qu’une faible proportion de ces produits. On y retrouve 509 médicaments naturels chinois, 275 médicaments brevetés chinois et 967 ingrédients pharmaceutiques purs incluant des informations sur la récolte, la transformation, la description, les méthodes d’analyses pour l’identification, les indications et les actions, le mode d’emploi et la posologie, les précautions, la préparation et la conservation des produits naturels. Elle ne contient cependant aucune donnée sur la toxicité ou l’innocuité des produits naturels.
Un autre problème auquel est confronté le médecin, lors d’une intoxication par les médicaments chinois, est la présence d’ingrédients pharmacologiques non naturels ou d’origine chimique. En effet, plusieurs médicaments brevetés chinois contiennent non seulement des produits naturels mais aussi des médicaments provenant de la médecine occidentale tels que des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des corticostéroïdes, des benzodiazépines, des barbituriques et des analgésiques (aspirine, acétaminophène).
Bien que ces ingrédients soient quelquefois ajoutés frauduleusement, ils sont la plupart du temps identifiés sur l’étiquette puisqu’ils font partie de médicaments qui allient l’usage des médicaments traditionnels chinois et des médicaments occidentaux. Ces médicaments très répandus en Chine, où ils sont utilisés sous contrôle médical, se retrouvent ici en vente libre et sont utilisés sans aucune surveillance. Ils peuvent donc entraîner des effets secondaires chez des patients prédisposés ou être à l’origine d’interactions avec les médicaments prescrits par le médecin si celui-ci n’est pas informé de l’usage des médicaments chinois par ses patients.
Enfin, l’absence de contrôle de qualité fait qu’on ne peut exclure la possibilité de contamination de certains médicaments chinois par des métaux lourds, des pesticides ou tout autre contaminant chimique ou bactériologique ainsi qu’un risque d’erreur d’identification des plantes qui pourraient rendre très toxique un produit en apparence inoffensif.
En conclusion, il est très important que les médecins interrogent leurs patients sur l’usage possible de médicaments chinois et qu’ils les préviennent des risques que peuvent présenter ces médicaments pour leur santé.
Lyse Lefebvre, Pharmacienne
Centre de Toxicologie du Québec


REVUE DE LITTÉRATURE: TOXICITÉ DES MÉDICAMENTS CHINOIS
Les médicaments traditionnels chinois sont de plus en plus répandus dans le monde entier. Au cours des dernières années, les effets toxiques de certains de ces composés ont été rapportés dans la littérature scientifique.
L’incidence exacte des intoxications par les médicaments chinois est difficile à évaluer mais les cas rapportés montrent les risques de l’utilisation de ces produits. Bien que la plupart des cas rapportés soient survenus à Hong Kong, il ne faut pas croire que ces intoxications ne peuvent survenir chez nous. En effet, au Québec, une femme âgée qui consommait plusieurs médicaments chinois, est décédée à la suite de complications cardiaques. Un des produits dont elle faisait usage quotidiennement s’est avéré contenir de l’aconitine, un alcaloïde cardiotoxique.
1. Chan TYK, Tomlison B, Tse LKK, Chan JCN, Chan WWM & Critchley JAJH (1994) Aconitine Poisoning Due to Chinese Herbal Medicines: A review. Vet Hum Toxicol 36(5):452-455.
Les auteurs rapportent 18 cas d’intoxications survenus chez des adultes de 24 à 81 ans qui avaient ingéré des médicaments chinois contenant du “Chuanwu” et du “Caowu” en association avec environ 10 autres herbes médicinales. Ces deux plantes, le “Chuanwu”, racine de l’Aconitum Carmichaeli et le “Caowu”, racine de l’Aconitum Kusnezofii, sont réputées posséder des effets antiinflammatoires,analgésiques et cardiotoniques et ont été utilisées en phytothérapie chinoise pour le traitement des troubles musculo-squelettiques. Elles contiennent des alcaloïdes diterpéniques C19 hautement toxiques dont l’aconitine, la mésaconitine et l’hypaconitine. À noter cependant que le type d’alcaloïdes et la quantité présente dans chaque plante peuvent varier selon l’espèce, l’origine, le moment de la récolte et la méthode de préparation et sont des facteurs déterminants de la sévérité de l’intoxication.
Après ingestion, la plupart des patients se présentent avec des signes neurologiques (paresthésies de la bouche et de la langue progressant vers des paresthésies périphériques et faiblesse musculaire généralisée), des signes cardiovasculaires (hypotension, bradycardie, arythmies ventriculaires) et des signes gastro-intestinaux (nausées, vomissements). Le décès, causé par les arythmies ventriculaires, survient habituellement en moins de 24 heures. Le taux de mortalité serait d’environ 6%, selon les auteurs.
Le traitement de l’intoxication par l’aconitine est essentiellement symptomatique puisqu’il n’existe pas d’antidote spécifique. Si le délai depuis l’ingestion est court, des méthodes de décontamination gastro-intestinales incluant l’administration de charbon activé peuvent être utiles. La tension artérielle et le rythme cardiaque de tous les patients devraient être surveillés pendant au moins 24 heures. En conclusion, tous les médecins devraient connaître la toxicité potentielle des différentes espèces d’Aconitum et savoir que ces plantes peuvent se retrouver dans les médicaments chinois disponibles au Canada.
2. Perharic L, Shaw D, Leon C, De Smet PAGM, Murray VSG (1995) Possible Association of Liver Damage with the Use of Chinese Herbal Medicine for Skin Diseases.Vet Hum Toxicol 37(6):562-566.
Les auteurs rapportent dans cet article 11 cas de dommages hépatiques consécutifs à l’utilisation prolongée de médicaments traditionnels chinois pour le traitement d’affections dermatologiques.
La probabilité d’une association étiologique est élevée dans deux cas au cours desquels il y a eu récupération et retour à la normale de la fonction hépatique après l’arrêt du médicament et récurrence de l’hépatite lorsque le médicament a été ingéré à nouveau. Dans deux autres cas, la possibilité d’une association étiologique a été suggérée par la coïncidence entre l’évolution de l’affection hépatique et la consommation de médicaments traditionnels chinois, la récupération de la fonction hépatique après l’arrêt des médicaments traditionnels chinois et l’exclusion d’autres causes possibles d’hépatotoxicité. Parmi les autres cas, deux n’ont pas été retenus en raison du manque d’informations, deux autres auraient pu être associés aux médicaments traditionnels chinois mais aussi à d’autres causes telles que des infections virales ou la prise concomitante de flucloxacilline. Enfin, trois patients asymptomatiques avaient des tests de la fonction hépatique anormaux.
Il n’est pas facile de déterminer un agent causal dans ces situations. En effet, les médicaments traditionnels chinois utilisés par les patients contenaient entre 10 à 25 ingrédients, soit un total de 43 ingrédients différents incluant 40 espèces de plantes, un champignon, des extraits animaux et un produit inorganique. Parmi les produits présents, la Glycyrrhiza (réglisse) et la Scuttellaria (skullcap) ont déjà été tenues responsables de dommages hépatiques. Le mécanisme responsable de l’hépatotoxicité n’a pas été élucidé. Les effets ne semblent pas être proportionnels à la dose et pourraient être idiosyncrasiques.
Des études récentes ont démontré que certains médicaments traditionnels chinois se sont avérés efficaces dans le traitement d’affections dermatologiques sévères. Cependant, leur utilisation chez certains patients prédisposés peut entraîner des dommages hépatiques qui pourraient même être fatals.
La complexité des cas rapportés par Perharic et al. illustre bien la nécessité d’une surveillance continuelle de la consommation des médicaments traditionnels chinois, incluant une évaluation régulière de la fonction hépatique et exigeant l’arrêt de ces médicaments lorsque des anomalies sont décelées.
Lyse Lefebvre, Pharmacienne
Centre de Toxicologie du Québec
f
25 mai 2004 21:00
pour les anglophones :
source : New England Journal of Medicine, Volume 347:2073-2076 December 19, 2002 Number 25 .


In 2001, $17.8 billion was spent in the United States on dietary supplements, $4.2 billion of it for herbs and other botanical remedies.1 The popularity of these products has increased over the past decade, probably stimulated by sharp increases in prices of prescription drugs, restricted access to physicians imposed by managed care, media reports of adverse effects of prescription drugs, and, most important, the enactment in 1994 of the Dietary Supplement and Health Education Act (DSHEA). By broadly defining herbs and other botanicals as "dietary supplements," the DSHEA substantially altered the definitions, standards, and mechanisms under which claims about the effectiveness and safety of these products are evaluated and enforced.2 This classification, which we believe to be inappropriate, has resulted in a serious and growing public health problem. In this article, we summarize problems inherent in the manufacture, analysis, and post-marketing surveillance of botanical medicines and propose new legislative regulations to address these issues. Such legislation would increase governmental oversight and manufacturers' responsibility for ensuring the safety of consumers at the high level citizens have come to expect.
The perception that botanical products used as folk remedies are inherently safe is based on traditional use rather than on systematic studies designed to detect adverse effects. Nevertheless, evidence of the toxicity of such products has accumulated.3,4,5,6,7,8,9,10 This is not surprising, since botanicals are complex mixtures of chemicals, described by Robbers and Tyler as "crude drugs of vegetable origin,"11 many of which are potentially toxic. In the past year alone, the Food and Drug Administration (FDA) was compelled to issue warnings about nephrotoxic, hepatotoxic, and carcinogenic effects associated with botanical products containing kava, comfrey, and aristolochic acid — all herbal remedies used widely in the United States and Europe.5 Other factors influence efforts to ensure the safety of botanical products; several issues are discussed below.
Lack of Standardization
Consistency in composition and biologic activity are essential requirements for the safe and effective use of therapeutic agents. However, botanical preparations rarely meet this standard, as a result of problems in identifying plants, genetic variability, variable growing conditions, differences in harvesting procedures and processing of extracts, and above all, the lack of information about active pharmacologic principles. The use of chromatographic techniques and marker compounds to standardize herbal preparations promotes batch-to-batch consistency but does not ensure consistent pharmacologic activity or stability. Moreover, analyses of purportedly standardized herbal preparations reveal that botanical products often do not contain the amount of the compound stated on the label.12,13 "Their potency may vary and their purity is suspect," warns the Medical Letter.3
Adulteration of Botanical Preparations
Many herbal products contain undisclosed prescription or over-the-counter drugs and heavy metals.14,15,16,17 In 1998, the California Department of Health reported that 32 percent of Asian patent medicines sold in that state contained undeclared pharmaceuticals or heavy metals.15 The drugs most frequently found were ephedrine, chlorpheniramine, methyltestosterone, and phenacetin; 10 to 15 percent contained lead, mercury, or arsenic. Subsequently, more than 500 Chinese patent medicines were screened for the presence of heavy metals and 134 drugs.16 Approximately 10 percent were found to contain undeclared drugs or toxic levels of metals. The FDA and other investigators17 have also reported the presence of prescription drugs, including glyburide, sildenafil, colchicine, adrenal steroids, alprazolam, phenylbutazone, and fenfluramine, in products claiming to contain only natural ingredients. For example, PC-SPES is a patented herbal preparation marketed to "enhance prostate health," but commonly used to treat prostate cancer. Reports of its effectiveness have appeared in major medical journals.18,19 After chemical analysis of PC-SPES revealed the presence of diethylstilbestrol, indomethacin, warfarin, or a combination of these drugs,18 the product was removed from the market.
Recently, the Japanese Ministry of Health, Labor, and Welfare reported that the use of certain imported Chinese dietary supplements was associated with hepatic failure and hyperthyroidism.20 These products proved to be adulterated with N-nitroso-fenfluramine, fenfluramine, and thyroid extracts. As of September 20, 2002, a total of 622 patients were known to have become ill, with 148 requiring hospitalization; 3 deaths have occurred.21 The offending products were recalled, and the ministry will now require manufacturers to perform chemical analyses on all imported dietary supplements.
Interactions between Herbs and Drugs
Botanical medicines can act through a variety of mechanisms to alter the pharmacokinetic profile of concomitantly administered drugs.22 St. John's wort, for example, induces the cytochrome P-450 isozyme CYP3A4 and intestinal P-glycoprotein, accelerating the metabolic degradation of many drugs, including cyclosporine, antiretroviral agents, digoxin, and warfarin.23 Serious adverse effects have been reported when the addition of St. John's wort caused serum levels of cyclosporine and antiretroviral agents to fall to subtherapeutic levels.
The extent of herb–drug interactions is unclear, but the potential magnitude of this problem is suggested by a recent survey of medication use in the United States.24 Among persons over the age of 18 years, 50 percent said they had taken at least one prescription drug during the preceding week. Among women 65 years or older, 23 percent had taken at least five prescription drugs. Moreover, 16 percent of persons taking prescription drugs also took an herbal or supplement preparation. Thus, many people in the United States unknowingly risk therapeutic failure or adverse effects caused by herb–drug interactions; this is especially true of older people who take multiple medications for chronic diseases.
Lack of Reporting of Adverse Events
The FDA maintains surveillance of prescription drugs by requiring prompt reports from manufacturers of all adverse effects brought to their attention. Nevertheless, it is estimated that only 10 percent of serious adverse effects associated with the use of prescription drugs are ultimately reported to the FDA.25 Pre-marketing safety testing is not required for dietary supplements, and there is no mandatory requirement for manufacturers of supplements to record, investigate, or forward to the FDA reports of adverse effects they might receive. Although some adverse reactions to botanical medicines are acute and symptomatic, others, such as renal failure and cancer, have a delayed and gradual onset. Furthermore, the relation of the prior consumption of an herbal remedy to a medical problem with delayed onset may not be readily apparent.
The lack of reporting of adverse events to the FDA has generated concern at the level of the federal Office of the Inspector General.25 In 2001, the FDA received approximately 500 reports of adverse events related to dietary supplements, and poison-control centers in the United States received 19,468 reports,26 up from 6914 in 1998. In addition, the FDA is often unable to investigate the reports it does receive, either because the consumer's identity and address cannot be obtained or because the ingredients in the supplement and the identity and address of the manufacturer are unknown. The Inspector General's report25 estimates that less than 1 percent of adverse events caused by dietary supplements, including herbs, are reported to FDA. Only a fraction of these are adequately investigated.
Current Regulation of Botanical Medicines
Regulation of food and drugs has always been strongly resisted by industry, and Congress has acted in this case only in response to strong pressure from the public. The Food and Drug Acts passed in the 20th century, which provided important protection to the public, were subverted by the passage of the DSHEA. This misguided legislation freed the dietary supplement industry from effective oversight by the FDA, transferring the burden of proof for establishing the safety of herbal medicines from the manufacturer to the FDA. Dietary supplements are now subject to lower safety standards than food additives. Consumers are provided with more information about the composition and nutritional value of a loaf of bread than about the ingredients and potential hazards of botanical medicines.
The way in which the restrictions imposed by the DSHEA hinder the FDA from promptly removing dangerous products from the market is illustrated by the problems posed by the herbal supplement ephedra. Ephedrine alkaloids are present in many supplements marketed to induce weight loss and to boost energy. Like their chemical relative methamphetamine, or "speed," these preparations act as powerful stimulants to both the cardiovascular and the central nervous systems, and their use has been associated with strokes, cardiac arrhythmias, seizures, acute psychosis, myocardial infarction, and death.27,28 More than 1200 serious reactions related to ephedra have been reported to the FDA, though the actual number of events is undoubtedly far greater. An estimated 12 million people in the United States take Metabolife 356, a product containing ephedra, caffeine, and several herbs. It was recently revealed that 13,000 complaints have been registered with the manufacturer. Included were reports of several hundred people who required hospitalization and 80 incidents of serious injury or death.29 Under current regulations there is no penalty for withholding reports of adverse effects. However, the Justice Department, at the FDA's request, has initiated a criminal investigation because of false statements that claim an absence of adverse effects. Canadian — but not U.S. — health authorities have requested the voluntary recall of health products containing ephedra, noting its enhanced toxicity when combined with caffeine.30
The Need for New Regulations
Public awareness of the hazards of dietary supplements has increased in recent years, and a majority of the U.S. public supports the idea of new rules that would require the FDA to review the safety of new dietary supplements before their sale; that would give increased authority to the FDA to remove unsafe products from the market; and that would regulate advertising claims about the health benefits of dietary supplements.31 However, for the FDA to be effective in carrying out such a mandate, new legislation and resources are required. We believe that six legislative proposals, outlined below, could accomplish this goal without denying consumers access to a popular class of products.
First, the address and telephone numbers of all companies, as well as the names of the responsible persons, involved in manufacturing dietary supplements for sale in the United States should be registered with the FDA. The FDA is currently severely hampered in its efforts to investigate the adverse effects of dietary supplements by the lack of information about manufacturers and distributors.
Second, the manufacturers of dietary supplements should provide evidence of good manufacturing practices, and the FDA should be given the authority to inspect manufacturers' records. In 1999, the FDA held public meetings and published an advance notice of a proposed rule that addresses this issue. Though the announcement of a proposed rule is said to be imminent, the botanical industry has consistently blocked such a proposal. The extension of good manufacturing practices to manufacturers of herbal products would go far toward preventing adulteration and improving the standardization of marketed botanical products.
Third, the manufacturers of dietary supplements should obtain premarketing approval from the FDA by demonstrating that their products present no substantial or unreasonable risk of injury under conditions of recommended use, as suggested on the label. Manufacturers of supplements should assume and bear full responsibility for ensuring the safety of their products, including paying the relatively low costs of conducting appropriate testing, as is required for prescription and over-the-counter drugs.
Fourth, the manufacturers of dietary supplements should be required to report all adverse effects promptly to the FDA. This essential element of postmarketing surveillance is required for all prescription drugs and some over-the-counter drugs.
Fifth, the labels of dietary supplements should contain a list of constituents that unambiguously identifies herbs by their botanical and common names. Information about possible adverse effects, including the potential for herb–drug interactions, should be included.
Sixth, the Department of Health and Human Services should organize expert panels to review the safety of all dietary supplements, except for essential nutrients and single-vitamin and multivitamin preparations. This process should be modeled after the National Academy of Sciences Drug Efficacy Study, which completed the complex task of evaluating the safety and efficacy of 4000 drugs in just three years.
Conclusions
The medical community has been slow to respond to the public health issues and educational problems resulting from the weakened regulation of dietary supplements. However, the numerous reports of adverse effects and deaths associated with botanical health products, the distribution and widespread sale of adulterated products, and the marked increase in misleading promotional claims on the Internet demand prompt action to protect the public health. The European Parliament is currently considering measures to ensure that all traditional herbal medicinal products used in member countries have demonstrated efficacy and an acceptable level of safety.32 The legislative reforms we propose here are likely to be opposed by powerful political and economic forces2,33 and by many proponents of complementary and alternative medicine. For this reason, vigorous and concerted action is needed to educate the public and Congress about the critical need for new regulatory safeguards and for the government funding to implement them.

Donald M. Marcus, M.D.
Baylor College of Medicine
Houston, TX 77030

Arthur P. Grollman, M.D.
State University of New York
Stony Brook, NY 11794


References

1.NBJ's annual industry overview VII. Nutrition Business Journal. May/June 2002.
2.Talalay P, Talalay P. The importance of using scientific principles in the development of medicinal agents from plants. Acad Med 2001;76:238-247.[Abstract/Full Text]
3.Problems with dietary supplements. Med Lett Drugs Ther 2002;44:84-86.[ISI][Medline]
4.Ang-Lee MK, Moss J, Yuan CS. Herbal medicines and perioperative care. JAMA 2001;286:208-216.[Abstract/Full Text]
5.Dietary supplements: warnings and safety information. College Park, Md.: FDA Center for Food Safety and Applied Nutrition, 2002. (Accessed November 27, 2002, at [www.cfsan.fda.gov].)
6.Arlt VM, Stiborova M, Schmeiser HH. Aristolochic acid as a probable human cancer hazard in herbal remedies: a review. Mutagenesis 2002;17:265-277.[Abstract/Full Text]
7.Nortier JL, Martinez M-CM, Schmeiser HH, et al. Urothelial carcinoma associated with the use of a Chinese herb (Aristolochia fangchi). N Engl J Med 2000;342:1686-1692.[Abstract/Full Text]
8.Luyckx VA, Ballantine R, Claeys M, et al. Herbal remedy-associated acute renal failure secondary to Cape aloes. Am J Kidney Dis 2002;39:E13-E13.[CrossRef][Medline]
9.Ernst E. Harmless herbs? A review of the recent literature. Am J Med 1998;104:170-178.[CrossRef][ISI][Medline]
10.De Smet PAGM. Herbal remedies. N Engl J Med 2002;347:2046-2056.[Full Text]
11.Robbers JE, Tyler VE. Tyler's herbs of choice: the therapeutic use of phytomedicinals. New York: Haworth Herbal Press, 1999.
12.Goldman P. Herbal medicines today and the roots of modern pharmacology. Ann Intern Med 2001;135:594-600.
13.Laboratory test results. White Plains, N.Y.: ConsumerLab.com, 2002. (Accessed November 27, 2002, at [www.consumerlab.com].)
14.Ernst E. Heavy metals in traditional Indian remedies. Eur J Clin Pharmacol 2002;57:891-896.[CrossRef][ISI][Medline]
15.Ko RJ. Adulterants in Asian patent medicines. N Engl J Med 1998;339:847-847.[Full Text]
16.Au AM, Ko R, Boo FO, Hsu R, Perez G, Yang Z. Screening methods for drugs and heavy metals in Chinese patent medicines. Bull Environ Contam Toxicol 2000;65:112-119.[CrossRef][ISI][Medline]
17.Ernst E. Adulteration of Chinese herbal medicines with synthetic drugs: a systematic review. J Intern Med 2002;252:107-113.[CrossRef][ISI][Medline]
18.Sovak M, Seligson AL, Konas M, et al. Herbal composition PC-SPES for management of prostate cancer: identification of active principles. J Natl Cancer Inst 2002;94:1275-1281.[Abstract/Full Text]
19.Marks LS, DiPaola RS, Nelson P, et al. PC-SPES: herbal formulation for prostate cancer. Urology 2002;60:369-369.[CrossRef][ISI][Medline]
20.Deaths linked to dieting aids from China increase to four. Japan Times. July 21, 2002.
21.Report of Japanese Ministry of Health, Labor, and Welfare. September 20, 2002. (In Japanese.) (Accessed November 27, 2002, at [www.mhlw.go.jp].)
22.Fugh-Berman A. Herb-drug interactions. Lancet 2000;355:134-138. [Erratum, Lancet 2000;355:1020.][CrossRef][ISI][Medline]
23.Moore LB, Goodwin B, Jones SA, et al. St. John's wort induces hepatic drug metabolism through activation of the pregnane X receptor. Proc Natl Acad Sci U S A 2000;97:7500-7502.[Abstract/Full Text]
24.Kaufman DW, Kelly JP, Rosenberg L, Anderson TE, Mitchell AA. Recent patterns of medication use in the ambulatory adult population of the United States: the Spone survey. JAMA 2002;287:337-344.[Abstract/Full Text]
25.Adverse event reporting for dietary supplements: an inadequate safety valve. Washington, D.C.: Office of Inspector General, April 2001. (Report no. OEI-01-00-00180.)
26.Litovitz TL, Klein-Schwartz W, Rodgers GC, et al. 2001 Annual report of the American Association of Poison Control Centers Toxic Exposure Surveillance System. Am J Emerg Med 2002;20:391-452.[CrossRef][ISI][Medline]
27.Haller CA, Benowitz NL. Adverse cardiovascular and central nervous system events associated with dietary supplements containing ephedra alkaloids. N Engl J Med 2000;343:1833-1838.[Abstract/Full Text]
28.Samenuk D, Link MS, Homoud MK, et al. Adverse cardiovascular events temporally associated with ma huang, an herbal source of ephedrine. Mayo Clin Proc 2002;77:12-16.[ISI][Medline]
29.Hilts PJ. U.S. in criminal inquiry on Metabolife product. New York Times. August 16, 2002:C1.
30.Health Canada requests recall of certain products containing ephedra/ephedrine. Ottawa, Ont.: Health Canada, January 9, 2002. (Accessed November 27, 2002, at [www.hc-sc.gc.ca].)
31.Blendon RJ, DesRoches CM, Benson JM, Brodie M, Altman DE. Americans' views on the use and regulation of dietary supplements. Arch Intern Med 2001;161:805-810.[Abstract/Full Text]
32.Proposal for a directive of the European parliament and of the council amending the directive 2001/83/EC as regards traditional herbal medicinal products. Official Journal of the European Communities. C126 E/May 28, 2002:263-7.
33.Mencimer S. Scorin' with Orrin. Washington Monthly. September 2001:27
m
25 mai 2004 22:54
ma chere flifla ,tu n'as pas compris ,je suis interessee par la medecine chinoise ca ne veut pas dire ,ke je suis avec tous les medicaments ,pour moi ,la medecine chinoise n'est pas compose de consommation de plantes miraculeux ,il ya beaucoups de choses ,dans cette medecine ,ex:l'acupunture,a ton avis a des inconvenients ,les massages specialise avec des huiles a base naturels ,tu trouves ke ca ne sert a rien ..
avec l'acupunture les medecins soignent les malades sans aucun medicaments ,et tu visites un clinique chinois tu vas remarque qu'il ya des gens ki ont passe des annees avec la medecine traditionnelle sanc aucun resultat et avec cette therapie ils ont trouve la guerisson .
je suis la ce n'est pas pour la medecine chinoise ,et si tu relis mon poste tu vas comprendre ..
je suis avec la medecine alternative,j'ai des experiences ,et j'ai aime aider les autres,j'ai fait des recherches ,et je paix beaucoup d'argent pour aprendre ,ce n'est pas pour ouvrir un clinique ,non ,seuleument pour comprendre et aider ,
si tu relis mes messages ,je n'ai cite aucun produit etange ,tous les herbes dont j'ai parle se sont des herbes ke tout le monde connaissait bien .
au lieu de poster des messages pour critiquer ,j'espere ke tu cherche bien et essaye de mieux comprendre de quoi je parle .
remarque :tu n'a pas pose la question suivante :est ce ke les medecins avant d'ecrire les ordonnances demandent aux patients des tests ,pour savoir comment travaille leurs ,reins ex.???
il ya chere des medicaments simples qui detruisent le corps et je n'ai jamais rencontre un medecin ki s'interesse ..
reveille -toi et j'espere ke tu ne passeras jamais d'ou je suis passee ,pour mieux comprendre les choses

twahachte bladi ard jdadi
s
25 mai 2004 23:35
maskina ,la médecine chinoise préconise t-elle quelque chose contre l'arthrose juvénile ??

m
26 mai 2004 00:30
Slawia ,ma soeur a aussi de l'arthrose ,et pour ca j'ai cherche pour elle ,son estomac est devenue faible avec les anti inflamatoires .
il ya un produit naturel ,ke tu trouve dans les pharmacie , dans tout le monde .c'est GLOCUSAMINE pour comprendre comment ce produit est efficace contre l'arthrise et l'arthrit .
le corps humain est compose de cette substance elle est produite par l'organisme elle est responsable de la formation de plusieurs tissus ,tendrons ,cartilage ..
chez les gens ki souffrent d'arthrose ,cette substance est tres faible ,alors il faut la remplacer ,le glocusamine vendu dans les pharmacie remplace celui qui est faible dans le corps .
cette substance exerce la reparation articulaire ,cela prend du temps ,avant de voir les resultats ( d'apres les experiences apres 4 semaines ) tu vas remarquer la difference .il ya des gens qui ont arretes les anti douleurs ,paracetamol, aspirine ..
tu n'as rien a perdre ,demande l'avis de ton farmacien ,ou ton medecin ,c'est une bonne solution ,ma soeur a commence le tretement .
mais il ya beaucoup de choses a faire pour reduire la maladie ,comme la modification de ton alimentation ,reduire ,les proteine qui produisent des uriques dans le sang ,aussi tu peux consommer le CURCUMA c'est un produit qu'on utilise dans la cuisine ,c'est facile a faire ,aussi le gingembre.se sont des produits naturels que la medecine arabe a connu depuis longtemps ,le gingenbre joue un role tres important dans la circulation sanguine ,c'est un anti imflamatoire naturel ,le curcuma c'est un antioxidant puissant ,il est utilis dans l'inde et la chine comme traitement depuis longtemps .
chere amie si tu est interesse tu n'as qu' tapper les noms de produit ke je t'ai donne et tu vas voir ,combien de choses nous avons entre les mains ,mieux que les medicaments .

twahachte bladi ard jdadi
m
26 mai 2004 01:32
je m'excuse soprano ,je n'ai pas lu ton message ,j'ai confondu entre les anciens et les nouveaux .
soprano ,si tu as remarque mon premier message etait sur l'anxiete et la deprime ,moi avec les problemes de sante ke j'ai eu ,j'etait vraiment deprimee avec une anxiete permanante ..
moi aussi j'ai essaye le magnesium ,ca detent un peu ,aussi j'ai essaye LA PASSION FLEUR ,IL EST VENDU EN FRANCE ET JE PENSE PARTOUT DANS LE MONDE,mais dernierement ,apres avoir vu un pshy et j'ai fait du yoga,ca m'a vraiment aide ,des exercices de respirations ,la majorite d'entre nous ,on ne sait pas la correcte respiration ,et cela joue un role dans la detente le phsy m'avait dit ke je souffre d'anxiete generale +petite depression ,ils traitent l'anxiete avec les antidepresseurs ,moi je n'ai pas pu les utiliser ,en lisant la notice ,j'etait capable d'axepter la depression et ne plus les prendre ,j'ai cherche beaucoup ,en fin je suis tombee sur un produit naturel qui s'appelle confused smileyT.JOHN'S WORT compose du Hypecicum perforatum
je l'ai utilise ,au debut j'ai eu un sentiment un peu different ,pas clair ,mais maintenant je te juge sur le nom du dieu ,il m'a change la vie .
il est vendu sans les boutiques de traitements naturels ,il ya des recherches faites sur ce produit ,les medecins en allemads les prescrire pour les malades ,il est connu ,si tu veux savoir plus ,tu n'as qu'achercher sur le net ,il n''a pas d'effets secondaires importants ,mais au debut j'ai eu un derangement au niveau d'estomac ( je souffre d'acide avec tous les medicaments ke j'ai pris avant ) .
je vais te dire avant 2 mois ,j'etait incapable ,d'ouvrir les fenetres,je n'aime pas le soleil ,il n' y avait rien d'interessant pour moi ,j'ai des idees noires ,j'etait tres anxieuse en ce ki concerne l'avenir meme la relation sexuelle etait differente pendant cette periode ex...
maintenaint allhamdoulillah ,je me sens mieux ,j'aime sortir le matin ,ma relation intime est devenue comme avant ,aussi mes angoisses ont diminues ,tu sais meme je ne me sens pas nerveuse .
l'angoisse + stress+ = nervosite =deprime .
je te conseille d'aller chercher ce produit ,il n'est plus cher ,j'ai achete un bouteil de 50 pillilule (300mg) de 30 dollard .
et n'oublie pas les pshy donnent des medicaments ki detruisent l'envie sexuelle ,c'est vrai ,si chez la femme n'est plus clair alors chez l'homme ca serait pire .
et aussi il ne faut pas oublier dieu ,la priere le maximun dans le temps ,le couran ,do3a ,et tout cela ,va faire du bien inchaallah .
je m'excuse encore pour le retard

twahachte bladi ard jdadi
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook