* A un congrès d'émancipation de la femme : La première à prendre la parole est allemande :
- Bonjour, mon nom est Birgit, et j'ai avisé mon mari : Helmut, prépare le dîner ! Le 1er jour, je n'ai
rien vu, le 2ème non plus, mais au bout du 3ème, Helmut me prépara le dîner.
APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : " !!!! Braaaavoo !!!!!!!!! "
C'est au tour d'une Italienne :
- Bonjour, je m'appelle Isabella, et j'ai dit à mon mari : Luigi, à partir de demain tu nettoies toi
même la maison. Le 1er jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais le 3ème, Luigi avait passé l'aspirateur.
APLAUDISSEMENTS ET OVATION GENERALE : " !!!! Braaaavoo !!!!!!!!! "
C'est au tour d'une Algérienne :
- Bonjour, mon nom est Yasmina et j'ai dit à mon mari : Mohamed, repasse le linge, fainéant !!!! Le 1er
jour, je n'ai rien vu, le 2ème non plus, mais le 3ème, j'ai commencé à revoir un peu de l'œil gauche
* L'histoire se passe dans une salle de classe, disons à l'école primaire. L'inspecteur est venu...
inspecter les cours que dispense mademoiselle l'institutrice. Celle-ci pose la question à l'ensemble
des têtes blondes :
- Qui veut nous chanter une chanson pour monsieur l'inspecteur ?
Dix mains se lèvent. L'institutrice désigne tour à tour les gentils volontaires, mais n'interroge pas
un petit, car elle sait qu'il a une réputation de cancre et de voyou. L'inspecteur lui fait la
remarque :
- Mademoiselle, vous n'avez pas interrogé cet enfant là, à côté de moi. On dirait que lui aussi veut chanter.
- Ben, c'est que, euh...
Et puis merde, se dit notre charmante instit', il faut que je l'interroge, tant pis.
- Vas-y Mohammed (car il s'appelle comme ça). Que vas-tu nous chanter ?
- Les tétons, m'dame.
- ???
- Ah ! Bravo mademoiselle, fait l'inspecteur, je vois que vous leur apprenez de belles choses.
- Je ne comprends pas Monsieur, je vous l'assure !
Et l'institutrice, complètement désolée, dit à Mohammed :
- Bon, vas-y mon petit, chante-nous ta chanson...
Et Mohammed :
- Les tétons, petit navireeeuuuuh, les tétons, petit navireeeuuuuh
* Un missionnaire donne sa leçon de vocabulaire.
- Aujourd'hui, nous allons étudier le mot "hameçon". Ahmed, veux-tu raconter une histoire en utilisant
ce mot, s'il te plaît ?
- Oui M'sieur (je vous laisse imaginer l'accent). Hier, ji suis alli dans les souks avec mon père. Il y
avais beaucoup de monde et beaucoup di marchandises. Et mon père, il m'a offir di babouches.
- Très bien, Ahmed, mais tu n'as pas utilise le mot "hameçon".
- Attends ! Les babouches, hameçon trop p'tites
* Le lendemain, leçon de grammaire.
L'institutrice demande aux élèves de construire une phrase avec le mot "volupté". Toto raconte qu'il a
été voir un match avec son père. Il y avait du soleil, il faisait chaud. Son père et lui ont dégusté
une pastèque avec volupté. Ahmed lève la main et raconte: Nous aussi, nous sommes allés toute la
famille voir le match au stade. Mon père a acheté une énorme pastèque et à la mi-temps il a donné un
petit morceau à ma mère, un petit morceau à ma soeur, un petit morceau à moi et il a bouffé tout le
reste de la pastèque. Vers la fin du match, ça gargouillait dans son ventre, alors il a volupté et il a
fait dans sa culotte.
* Dans un classe de banlieue, l'institutrice demande aux élèves: Quelle est la différence entre un
épithète et un attribut Elle demande qui peut lui donner un exemple. Le bon élève Toto lève la main et
dit: Par exemple, le ciel est gris, l'adjectif "gris" est attribut de ciel. Si je dis: Je vois le ciel
gris, l'adjectif est épithète. Très bien Toto! Qui peut donner aussi un exemple? Mohamed lève la main
et dit: Voilà, je regarde par la fenêtre et je vois le ciel. Aujourd'hui y pleut pas, épithète, demain
y pleut!
En zone de guerre, un avion de casques bleus est piloté par un Suédois. Soudain, le moteur de droite
tombe en panne. Puis c'est le moteur de gauche, sans doute touchés par des tirs du sol. Le pilote dit:
Il faut que tout le monde saute! Le copilote distribue les parachutes aux soldats: un Allemand, un
Italien, un Arabe, etc. Ensuite, le pilote dit au copilote: Mais comment avez-vous fait, nous n'avons
que 11 parachutes pour 12 personnes! Le copilote français répond: Oui, mais ne t'inquiète pas! J'ai
filé le sac à dos à l'Arabe!
Deux ministres arabes parlent de la bêtise du petit personnel. Il appelle son valet: Ali, va donc voir chez moi si j'y suis.! Ali y va et revient devant les deux ministres. Vous n'étiez pas chez vous, Excellence! L'autre ministre arabe dit à l'autre: Cet Ali est vraiment idiot car il aurait pu vérifier la chose par téléphone!
Jeune de père arabe et de mère juive qui trouve une mobylette. Il demande à sa mère: " qu'est-ce que je suis Arabe ou Juif? Pourquoi? lui demande sa mère. "Parce que si je suis arabe, je la pique; mais si je suis juif je négocie!"
* Une institutrice de banlieue veut améliorer la compréhension entre les élèves arabes et français. Maintenant, dit-elle, dans la classe il n'y aura plus d'Arabes. Mohammed, par exemple, tu t'appelleras Gérard. Le soir, Mohammed ne répond pas quand sa mère l'appelle: Mohammed, peux-tu aller chercher du pain?. Son père arrive mais Mohammed ne veut toujours pas aller chercher du pain. Il dit que maintenant il s'appelle Gérard et non plus Mohammed. Le père lui donne une gifle et sa mère se met à crier. Le lendemain, l'institutrice le voit tout boursouflé et lui demande: Gérard, que t'est-il arrivé? Il répond: Maîtresse, hier soir je me suis fait passer à tabac par 2 bougnoules!
Un Arabe se présente dans une agence de placement. Vous n'auriez pas un petit boulot pour moi? L'employée le regarde et lui dit: Justement, on a quelque chose qui vous irait bien, avec Mercedes de fonction, frais de représentation, etc. Oh! dites! vous ne vous payez pas ma tête, par hasard? L'employée lui répond: Si, en effet, mais c'est vous qui avez commencé!
Ce n'est pas parce que tu es belle, que je t'aime.mais c'est parce que je t'aime, que tu es belle ...
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