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FBI vs Apple : l’imbroglio continue
13 mars 2016 11:19
Mais c'est quoi tout ce système et politique de m...e qui veut trop rentré dans la vie pv des gens !

Texte en date du 22 février 2016 .

Le week-end a été riche en informations et démentis de la part des différents protagonistes à propos de l’iPhone 5c du tueur présumé de l’attaque de San Bernardino. La situation devient chaque jour un peu plus confuse.

Preuve que la situation devient de plus en plus complexe, le patron du FBI, James Comey, a publié ce week-end une tribune sur le blog lawfare dans laquelle il explique le sens de la démarche de l’organisation qu’il dirige. « Nous ne pourrions pas regarder les survivants dans les yeux si nous ne suivions pas ce chemin », est le titre de son article. Comme vous pourrez le constater, M. Comey met de l’eau dans son vin dans la mesure où il explique que la volonté du FBI n’est pas de casser les clés de chiffrement de manière générale. Il indique également que ce n’est ni au FBI, ni à Apple (ou à n’importe quelle société privée) qu'il revient de résoudre la tension existant entre liberté et sécurité, mais que cette décision revient au peuple américain. La question est de savoir « comment nous voulons nous organiser nous-mêmes dans un monde que nous n’avons jamais vu précédemment ». La tribune de M. Comey est un exercice de funambulisme plutôt réussi, particulièrement si l’on considère les derniers développements auxquels nous avons eu droit ce week-end.
Le FBI aurait-il m..d. ?

En effet, nous avons appris que le FBI et la police du Comté de San Bernardino (endroit où a eu lieu la fusillade) avaient pris l’initiative dès les premiers jours du mois de décembre de craquer le mot de passe du compte iCloud associé à l’iPhone 5c de Syed Rizwann Farook, le tueur présumé abattu par les forces de l’ordre durant l’assaut.

Le FBI et la police locale auraient alors obtenu les informations de la dernière sauvegarde iCloud en date du 19 octobre, soit un mois et demi avant l’attaque. Mais, ce faisant, Apple affirme que le changement de mot de passe fait qu'il lui est impossible de retrouver les informations non chiffrées des sauvegardes iCloud comme l’entreprise a pu le faire précédemment dans d’autres enquêtes judiciaires. En d’autres termes, le FBI aurait commis une erreur et c’est à cause de cette erreur qu’elle a ensuite demandé que soit créée une autre manière d’accéder au téléphone, via une application de type backdoor. Nos confrères de Re/code ont publié l’intégralité d’un communiqué du FBI que l’on peut retrouver à cette adresse. Il s’agit d’une sorte de démenti sur le fait que l’opération menée conjointement avec le Comté de San Bernardino soit une erreur. C'est également une nouvelle justification sur la demande faite à Apple dans le cadre du All Writs Act.
Certains proches soutiennent Apple

Finalement, nous nous permettons de réagir au commentaire d’un de nos lecteurs qui considère que nous n’avions pas le droit de qualifier d’abject le fait que la NSA joue sur le registre émotionnel. Nous maintenons nos propos car faire croire à la population que le « déchiffrement » des communications est la solution à tous les problèmes est non seulement faux mais totalement irréaliste. Il le dit d’ailleurs lui-même comme nous avons pris soin de le citer : « Le chiffrement est fondamental pour le futur, et je ne pense pas que la question soit de savoir s’il faut s’en débarrasser. (…) Je ne pense pas que ce soit réaliste. ». Dans ces conditions, jouer sur la douleur des victimes de ces attentats, où qu’ils se soient passés dans le monde, pour justifier une mesure qu’il sait totalement irréalisable, n’est pas à la hauteur de la responsabilité de l’amiral Rogers.

Signalons enfin et contrairement à ce que pense M. Comey cité plus haut, que toutes les familles des victimes ne réclament pas le déchiffrement des téléphones. Si toutes veulent bien évidemment que toute la lumière soit faite, certaines ne veulent pas que soit remis en question les principes constitutionnels américains; y compris lorsque son propre fils figure parmi les morts de la tuerie de San Bernardino. C’est le cas de Carole Adams citée dans un article du New York Post accessible en ligne

Sources l'informaticien.com

belle propagande comme si ils en avaient quelques chose à faire , de la bonne pub gratuite,bien joué !
Avec des si ( scies ) ont refais pas le monde , on coupe juste du bois! GOOGLE IS YOUR FRIEND, PLEASE TRY GOOGLE AND YOU WILL SEE THAT WILL ANSWER TO YOUR QUESTION.. Ce que tu ne vois pas avec tes yeux,ne l'invente pas avec ta bouche!
 
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