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Anniversaire de Mohammed (saws)
I
26 décembre 2006 16:54
J'ouvre ce poste pour savoir comment pensent ceux qui fêtent l'anniversaire de notre Prophète (saws)
Personnellement, d'après ce que je sais, c'est une Innovation et il ne faut pas fêter son anniversaire (ni les anniv en général).


L'Envoyé de Dieu (saws) a dit :


« Quiconque commet un acte ne faisant pas partie de notre religion, cet acte sera rejeté » Sahih Al-Bukhari Vol. 3, hadith 861 & Sahih Muslim: Vol. 3, hadith 4266


« Observez impérativement mes préceptes (Sunna) et ceux des Califes véridiques et bien guidés qui viendront après moi. Cramponnez-vous-y et tenez-y fermement (litt. mordez-y à pleine dent). Prenez garde aux nouveautés, car toute nouveauté est une innovation et toute innovation est un égarement. » Sunan Abu Dawud: Vol. 3, hadith 4590


« Et prenez ce que le Messager vous prescrit, et abstenez-vous de ce qu'il vous interdit. » Coran: Sourate 59, Al-Hashr, verset 7


« En outre, la meilleure parole est le livre d'Allah, et la meilleure voie est celle de Muhammad r, et la pire des choses est celle des nouveautés (introduites dans la religion), et chaque innovation est un égarement » Sahîh Mouslim: Vol. 2, hadith 1885.


Je pense que si les anniversaires étaient considérés comme faisant partie d'Islam alors le Prophète (saws) l’aurait montré à la communauté ou l'aurait pratiqué lui-même de son vivant, ou l'auraient célébré à la rigueur ses compagnons. Mais ça n'a jamais été fait.

A ma connaissance, l'anniversaire n'a pas été fêté ni par lui même (saws) de sont vivant, ni par les Kalifs après sa mort...


Comme j'ai pas non plus trop étudier la question, si jme trompe dite moi le, ou si vous avez des choses a ajouter sur ce sujet, et sinon quels sont les arguments de ceux qui fête l'anniversaire du Prophète. Sur quels preuves se basent-ils pour dire que c'est légal ?


Merci, wa Salam
[center][b][color=#0066FF]Le Prophète (saws) à dit :[/color] [color=#FF66FF]« Agissez pour ce monde comme si vous deviez vivre mille ans, et pour l’autre comme si vous deviez mourir demain »[/b][/color][/center]
N
26 décembre 2006 16:56
salam


en effet, certains pensent que c'est un innovation (bid3a) ...


wa ALLAHoua3lem
[color=#CC6666][b][center]Il y a, dans la création des cieux et de la terre et dans la succession de la nuit et du jour, des signes pour ceux qui sont doués d'intelligence _ sourate 3/verset 190[/center][/color][/b]
R
26 décembre 2006 17:09
On ne fete pas l'anniversaire de Mouhammed saw, car c'est un etre humain, il a été désigné en tant que messager mais il est comme nous, il font surtout pas le divinisé.
b
26 décembre 2006 17:16
Bonsoir Sihem06
Tu imagines si on suivait à la lettre ceci : " Quiconque commet un acte ne faisant pas partie de notre religion, cet acte sera rejeté » Sahih Al-Bukhari Vol. 3, hadith 861 & "
Heureusement que non ! sinon on ne pourra jamais vivre avec nos contemporains, il faut faire un lonfg voyage dans le temps ! Dans ce cas il faut compartimenter la planète terre et chacun trouve sa chapelle ou son temple ou sa mosquée ou son églyse etc Non, à mon avis il faut voir les choses qui sont encore valables de nos jours et les choses qui ne concernaient que les gens et les sociétées de l'époque. Je suis tout à fait d'accord avec les nouveaux penseurs musulmans qui font une lecture plus moderne et plus intelligente car plus poussée dans la recherche d'une logique humaine !
R
26 décembre 2006 17:52
Citation
besla a écrit:
Bonsoir Sihem06
Tu imagines si on suivait à la lettre ceci : " Quiconque commet un acte ne faisant pas partie de notre religion, cet acte sera rejeté » Sahih Al-Bukhari Vol. 3, hadith 861 & "
Heureusement que non ! sinon on ne pourra jamais vivre avec nos contemporains, il faut faire un lonfg voyage dans le temps ! Dans ce cas il faut compartimenter la planète terre et chacun trouve sa chapelle ou son temple ou sa mosquée ou son églyse etc Non, à mon avis il faut voir les choses qui sont encore valables de nos jours et les choses qui ne concernaient que les gens et les sociétées de l'époque. Je suis tout à fait d'accord avec les nouveaux penseurs musulmans qui font une lecture plus moderne et plus intelligente car plus poussée dans la recherche d'une logique humaine !

Tu peux donner des exemples de ces penseurs ? Ramadan ?
b
26 décembre 2006 18:02
Voici Rifian84. Bonne lecture. Il ne s'agit pas de Ramadan, non lui reste encore conservateur pour moi !
Voici :


(AFP)
Grâce à quelques initiatives privées, un débat s’ouvre (timidement) sur la relecture du Coran. L’état ne cache pas sa volonté d’accompagner l’élan… mais à son rythme.


Imaginez un chercheur marocain de 33 ans multipliant les rencontres publiques pour prouver à ses compatriotes, jusque-là habitués aux soporifiques prêches du vendredi, combien il est salvateur de lire le Coran autrement. Imaginez cet homme, Rachid Benzine, traduire à une élite mal informée ce message fondamental des Nouveaux penseurs de l’islam (Tarik editions,
2004) : l’histoire et la critique littéraire permettent d’appréhender le texte coranique tout-à-fait différemment, sans sacralisation mais avec respect. Imaginez un panel de ces mêmes penseurs, réunis à Casablanca, pour exposer le besoin pressant que nous avons, aujourd’hui, de relire le Coran avec le détachement, la rigueur et la lucidité que procurent les sciences sociales modernes. Cette brèche, enfin ouverte, enchante l’Algérien Mohamed Arkoun, islamologue mondialement reconnu, qui n’a cessé de sillonner les pays musulmans depuis 35 ans pour rappeler une vérité historique : entre le VIIème et le XIIème siècle, soufis, philosophes et autres théologiens dialoguaient librement sur le caractère révélé ou "créé" (c’est-à-dire recomposé par Mohamed) du Coran. Ils polémiquaient sur les variations qui avaient pu altérer le sens de certains versets avant que la grammaire du texte ne soit figée. Ils s’arrêtaient sur des subtilités qui paraîtraient, aujourd’hui, hautement blasphématoires. Cette belle époque s’est achevée en 1017, quand le calife Al Kadir a décidé de mettre à mort quiconque proclamerait que le Coran avait été "créé". "Tout a été clos par décision politique et non à l’issue d’un débat pluriel", déplore Arkoun. A noter, et c’est important, que la porte de l’ijtihad et du débat s’est refermée au Maghreb bien avant qu’elle ne se referme au Machrek. Parce que les fuqaha malékites avaient pris le pouvoir chez nous bien avant de le prendre ailleurs - et ne l’ont plus lâché depuis. Ironie du sort, c’est encore chez nous, dans l’espace maghrébin traditionnellement frileux, que l’échange intellectuel est aujourd’hui relancé.

"Dissocier foi et savoir"
Tous ces événements ne sont pas nés d’une volonté politique concertée. C’est bien avant le 11 septembre 2001 que la fondation saoudienne Abdelaziz avait mis au point la plateforme de la rencontre des "nouveaux penseurs" qui s’est déroulée il y a un mois. Depuis, le climat est beaucoup plus tendu, pour des raisons qu’on imagine. Par souci pédagogique, la fondation, connue pour son autonomie politique, y est allée graduellement. "Les oulémas en premier, les orientalistes ensuite. Il ne nous plus restait que les musulmans qui prônent l’application de la méthode historique. Aujourd’hui, c’est chose faite", explique Mohamed Seghir Janjar, directeur de la fondation et cheville ouvrière du projet. Le fait que le livre de Benzine paraisse au Maroc simultanément permet de donner une visibilité sans précédent à une catégorie d’érudits jusque-là bannis de l’espace public musulman et condamnés, par dépit, à développer leurs thèses originales en Occident. Chacun a son histoire avec le pouvoir de son pays d’origine. Voulant "dissocier foi et savoir", Abdelkrim Soroush a vu sa revue interdite et sa carrière brisée à Téhéran. Réfutant "l’image de Gabriel délivrant les messages de Dieu comme un facteur distribuerait ses lettres", Fazlur Rahman a été appelé à de hautes fonctions au Pakistan… avant de se rendre compte qu’il ne s’agissait que d’un moyen pour le faire taire. Défendant "une approche littéraire du texte coranique, comme tout autre texte écrit en arabe", Nasr Hamed Abou Zeïd a dû s’exiler en Hollande pour fuir le terrorisme intellectuel en Egypte. Benzine, comme la tunisienne Olfa Youssef, représentent la nouvelle génération de chercheurs, pleins d’espoirs mais suffisamment échaudés pour rester prudents. "Lorsqu’on montre que le potentiel de signification du Coran est inépuisable, on le protége mieux que les orthodoxes qui s’en servent comme d'une arme idéologique". Voilà comment Benzine, lui-même croyant mais non crédule, défend la justesse de ces approches.
Au Maroc, son pays d’origine, il a trouvé une écoute inespérée. Les "hommes de religion" du roi Mohammed VI ont pris le temps d’apprécier la démarche de cette école de pensée, dont Benzine se fait le plus habile médiateur. Le ministre des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, très sensible à la pluralité de pensée, a apprécié, à l’issue d’un long échange, "l’honnêteté de Benzine". Au sein de ce même ministère, garant d’un islam traditionnel légitimant le pouvoir d’Amir Al Mouminine, ce grand responsable craint que les nouveaux penseurs ne "prennent la posture de donneurs de leçons". Le projet d’organiser des séminaires de sciences sociales en faveur des oulémas n’en est pas moins, aujourd’hui, sur l’agenda de Toufiq. Quant au conseiller royal Mohamed Moatassim, qui a rencontré le duo Olfa Youssef / Rachid Benzine en compagnie de membres du collectif modernité et démocratie, il est désormais favorable à la création d’un comité qui irait éclairer la lanterne des oulémas - ou au moins amorcer le dialogue avec eux. Il ne s’agit là que de prémices, mais certains optimistes commencent à parler d’exception marocaine. Il est vrai que la Tunisie nous a précédés, par la création d’une branche d’islamologie appliquée. Animée par l’éminent Abdelmajid Charfi, elle relit le Coran avec les outils de la linguistique et permet d’opérer des réformes très audacieuses dans le domaine du statut de la famille. Il est tout aussi vrai que les chiites d’Iran ont une tradition de Haouzat (cercles) où les oulémas reçoivent une formation philosophique et littéraire…

"L’ignorance institutionnalisée"
Nos oulémas sunnites et malékites sont indiscutablement loin du compte, toujours enfermés dans des références juridiques figées par le temps. Mais ce vent nouveau qui souffle, apporté par des penseurs formés ailleurs, montre au moins qu’au Maroc "les espaces de liberté d’expression s’élargissent et touchent le religieux", comme le dit Janjar. Au Machrek, ces espaces sont plus réduits. Attendue depuis un siècle, la traduction arabe de L’histoire des Corans (Geschichte des Corans), du philologue allemand Theodor Noëldeke, vient de paraître au Liban… mais n’est toujours pas autorisée à la vente dans le monde arabe. "Aucun érudit arabe n’a jamais pensé à traduire cet ouvrage, c’est la fondation allemande Konrad Adenauer qui en a pris l’initiative", note amèrement Arkoun. L’événement est pourtant de taille : ce livre est l’un des très rares qui s’attachent à démontrer scientifiquement l’authenticité des récits coraniques, en se basant sur des documents historiques. Pourtant, presque personne n’en parle.
Le Maroc, même si le débat y est amorcé, ne deviendra pas subitement le chef de file des pays éclairés. "L’élite n’est pas vraiment intéressée", déplore Janjar. Comme partout ailleurs, "l’ignorance est institutionnalisée à l’école", ajoute Arkoun. Qui pense aujourd’hui à lire Ibn Hazm, penseur éclairé banni de notre répertoire ? Quasiment personne. Qui s’intéresse au soufisme et cherche à aborder le Coran plus sous l’angle du plaisir que sous celui des contraintes ? Tout juste une poignée de doux illuminés. Qui relit Ibn Rochd dans le fond, pour redécouvrir à quel point la philosophie a été salutaire à l’islam ? Quelques savants isolés, qui n’en transmettent rien au public.
C’est là qu’intervient le rôle des nouveaux penseurs. "Si nous parvenons à recréer notre tradition escamotée et à jeter les bases d’une modernité construite de l’intérieur et non greffée de l’extérieur, nous aurons réussi", estime Benzine. Soroush, actuellement sur le projet d’un nouvel ouvrage qui tente de réinventer le Moâtazilisme, école de raison par excellence, pense à son tour que "si nous parvenons à redonner à la philosophie sa place dans la cité, nous mettrons les musulmans à l’abri des démagogues et autres systèmes politiques qui instrumentalisent la religion". "Je suis quand même heureux que nous commencions à réaliser à quel point nous sommes en retard sur nos ancêtres", soupire Arkoun. Et d’ajouter : "mais je refuse d’en rester là. Nous devons transgresser la clôture dogmatique dans laquelle nos sociétés sont enfermées, rouvrir le texte coranique à l’interprétation et au débat, déplacer l’intérêt de la théologie à la linguistique, migrer des sciences traditionnelles vers les sciences modernes, déplacer notre regard vers d’autres religions. Et enfin, dépasser notre misère intellectuelle et utiliser notre histoire comme tremplin pour mieux nous positionner dans le monde".
Tout commence par le Coran. Le Pakistanais Fazlur Rahman a été l’un des premiers à s’appuyer sur la philosophie pour le penser dans sa globalité plutôt que d’en faire une lecture fragmentaire, verset par verset. Chez les arabophones, Abou Zeïd a aussi fait œuvre de précurseur (parmi les contemporains du moins), en s’intéressant au Coran tel que le perçoivent ses lecteurs, et non pas tel que l’a entendu son émetteur (Dieu, à travers le prophète). Autre contemporain, l’historien et théologien égyptien Abdelkrim Khalil s’est attaché à sonder le contexte sociologique de la révélation pour mieux comprendre le texte coranique. D’autres anthropologues, enfin, posent une question brûlante : que s’est-il passé, pendant les quinze ans qui ont séparé la révélation orale au prophète et la rédaction du premier Coran ? Se pourrait-il que le texte écrit ne corresponde pas totalement au texte révélé ?

Les conservateurs inquiets
Tout cela, forcément, inquiète les conservateurs. Le Coran, socle intangible du dogme, ne saurait être "relu", ni "repensé". Ruade d’Arkoun : "aujourd’hui, ce discours est brandi comme une menace. Il est indispensable que l’Etat valorise l’anthropologie. C’est le meilleur moyen de remonter à l’origine du mal, c’est-à-dire au moment où le dogme a été figé". Loin d’être aussi téméraires, nos officiels se contentent aujourd’hui de panser les plaies, en s’efforçant de redonner plus de place à la spiritualité. "La radio coranique nous permet de contrer les prêches sauvages et dangereux qui circulent sous forme de cassettes, et qu’on entend souvent dans les taxis", explique ce responsable. Les officiels parent donc au plus urgent, sans pour autant fournir aux Marocains les armes intellectuelles qui leur permettraient de se prémunir tous seuls du fanatisme. Hassan II, un temps, avait eu des velléités d’introduire les sciences sociales au programme de l’école de théologie Dar Al Hadith al Hassani. "Finalement, le roi a pris peur. Espérons que son fils aura plus de courage politique", soupire ce connaisseur du dossier. Un projet d’institut "moderne" de théologie serait, paraît-il, dans les cartons, et n’attendrait qu’un feu vert royal…
Ces temps-ci, le Coran est en train de redevenir un objet de curiosité intellectuelle. En attendant que l’école s’y mette, c’est aux médias qu’il échoit aujourd’hui de nourrir l’intérêt, pour que la flamme ne s’éteigne pas. Prions.
I
26 décembre 2006 18:16
Citation
a écrit:
Bonsoir Sihem06
Tu imagines si on suivait à la lettre ceci : " Quiconque commet un acte ne faisant pas partie de notre religion, cet acte sera rejeté » Sahih Al-Bukhari Vol. 3, hadith 861 & " Heureusement que non ! sinon on ne pourra jamais vivre avec nos contemporains, il faut faire un lonfg voyage dans le temps ! Dans ce cas il faut compartimenter la planète terre et chacun trouve sa chapelle ou son temple ou sa mosquée ou son églyse etc Non, à mon avis il faut voir les choses qui sont encore valables de nos jours et les choses qui ne concernaient que les gens et les sociétées de l'époque. Je suis tout à fait d'accord avec les nouveaux penseurs musulmans qui font une lecture plus moderne et plus intelligente car plus poussée dans la recherche d'une logique humaine !

Moi c ILHEM pas SIHEM grinning smiley mais c pas grave Cool

Libre à toi de PENSER de d'AGIR comme tu veux BESLA smiling smiley

Moi j'ai choisi de suivre le Coran et la Sunnah, meme dans ce monde d'aujourd'hui...

Certains pensent qu'on peu modifier ou faire évoluer une religion... On entend souvent parler de "Reformer l'Islam", "Laïciser l'Islam". Moi je pense que non. PERSONNE à part Allah ne peux modifier Son commandement. Je ne changerai pas d'opignon tant qu'un nouveau messager de Dieu ne sera pas venu abroger les paroles de Mohammed (saws). Et sa risque pas d'arriver puice qu'il est le Sceau des Prophètes smiling smiley

Imagine aussi l'inverse, qu'on doit suivre tout ce qu'il y a dans ce monde occidetal, juste par soucis de cohabitation, on court a la dérive car l'Occident n'a rien de bon (Islamement parlant)...
Mais on va pas débattre ce n'est pas le sujet du post winking smiley

LE POST ETANT POUR RECHERCHER LES AVIS ET LES PREUVES DE CEUX QUI AUTORISENT LA FETE DE L'ANNIVERSAIRE DU PROPHETE (SAWS) smiling smiley
[center][b][color=#0066FF]Le Prophète (saws) à dit :[/color] [color=#FF66FF]« Agissez pour ce monde comme si vous deviez vivre mille ans, et pour l’autre comme si vous deviez mourir demain »[/b][/color][/center]
I
26 décembre 2006 18:17
sad smileysad smileysad smiley JE RAPEL LE SUJET DU POST : Anniversaire de Mohammed (saws)
[center][b][color=#0066FF]Le Prophète (saws) à dit :[/color] [color=#FF66FF]« Agissez pour ce monde comme si vous deviez vivre mille ans, et pour l’autre comme si vous deviez mourir demain »[/b][/color][/center]
u
26 décembre 2006 19:36
salam
si tu veux fête l'anniversaire de notre Prophéte bien aimé tu réunis familles, amis un petit repas et "qiyam layl" avec priéres sur le Prophéte (saw)...à l'époque du prophéte les compagnons ne se permerttaient meme pas de le fété donc on devrait s'abstenir smiling smiley l'Anniversaire sa te raproche de la mort PK le fête?????
b
26 décembre 2006 19:52
Excuse moi ILHEM06. Je t'ai féminisé le prénom.Ce n'est pas grave car dans chacun de nous, il y a une femme ne serait-ce que celle par où on est passé pour arriver dans la vie !
Sinon, pour le coran, il ne s'agit pas de nier sa religion, il s'agît de situer les choses dans leur histoire. Faire une relcecture objective c'est faire une relcture de l'histoire telle que de nombreux philosophes musulmans le faisaient ! Pour le sujet je te dirai tout ce qui pourrait donner le sourire et la joie aux gens c'est bon pour la communication et bon même pour la santé ! Tout prétexte pour voir des yeux heureux des coeurs ouverts et agréables est bon à prendre !
A bientôt Sihem.zut ! ILhem06 (oUé je l'ai fait exprès cette fois-ci, mais tu avais compris.NOrmal ! )
a
27 décembre 2006 03:18
Concernant l'anniversaire du prophète Jésus. Voici ce que Ahmadinejad vient d'écrire sur son blog :

[www.ahmadinejad.ir]

Merry Christmas to everyone! 2006/12/21

In the Name of Almighty God, the Most Merciful, the Most Compassionate


My sincere congratulations to everyone for the Glorious and Auspicious Birthday of Divine Prophet - confirmed and authenticated by Gabriel, the angel of Divine revelation - the Obedient of Almighty God,
Jesus Christ, the Messiah (peace be upon Him)

He was a messenger of peace, devotion and love based upon monotheism and justice. He was raised in His Mother’s hand – Virgin Mary (peace be upon her) – that Almighty God stood her as impeccable and exalted her above the women of the world. The Mother and the Son that in the Divine Sight are reputable and prestigious. And they are positioned by God – The All Wise- at a sublime level.

There’s no doubt, after God – the Peerless Creator, the Beneficent, the Merciful – created the human beings, did not forsake them on their own. By sending and assigning the emissaries – prophets and messengers - along with the righteous individuals, and on top of that, by providing and utilizing the mankind with the gifts of intellect and human nature, they are guided in the right path – in order to achieve the complete perfection. The human generations – one after another – were not created to live in anguish, intimidation, skirmish, aggression, oppression, and misery. And without enjoying an amity and fraternity atmosphere - replete of love and justice – depart this life and leave it for the next generations.

The philosophy of human creation is...


Written by Mahmood Ahmadinejad at 22:42
 
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