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Au fil des années, les colons sont de plus en plus nombreux à quitter la...
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17 janvier 2014 21:36
Au fil des années, les colons sont de plus en plus nombreux à quitter la Palestine

mercredi 8 janvier 2014 - 06h:00

Les statistiques israéliennes révèlent que l’an dernier, un nombre croissant de citoyens Juifs ont émigré des territoires Palestiniens Occupés depuis 1948. Cette hausse intervient alors que le processus de faire venir des Juifs des quatre coins du monde pour les accueillir au sein de l’état Sioniste ralentit, ce qui nous amène à conclure que les conditions de vie des colons israéliens sur les terres Palestiniennes sont difficiles.


Le départ progressif des colons de Palestine occupée serait-il un processus irréversible ?...
Plusieurs raisons ont en fait conduit à cette situation. Outre les problèmes socio-économiques, une bonne partie des Juifs considèrent leur vie dans la Palestine historique intolérable à cause du conflit israélo-palestinien ainsi que les risques croissants liés à la sécurité dans l’état Sioniste. En conséquent, les juifs préfèrent chercher des maisons dans d’autres pays à travers le monde.

Selon le quotidien israélien Maariv, le gouvernement israélien « a actuellement l’intention de mettre en œuvre un système qui implique le transfert de dizaines de milliers de Juifs Français pour vivre en Israël. »

Vendredi dernier, le journal a cité le Ministère de la Diaspora qui a fourni des données rapportant que la mise en place du plan de transfert des Juifs de la France vers Israël s’effectuera au cours des quatre premiers mois de 2014.

Le Ministère a déclaré que l’an dernier a enregistré l’émigration de dizaines de milliers de Juifs vers les États-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada, alors que seulement trois mille Juifs ont immigré vers Israël.

Le journal a par ailleurs indiqué que quelques mois auparavant, les autorités israéliennes ont formé une équipe dont la mission était d’étudier les affaires des Juifs de la « diaspora » et ce, afin de comprendre les raisons qui les poussent à immigrer dans des pays autres qu’Israël. A l’issue de l’étude, l’équipe a conclu que pour réorienter l’immigration vers Israël, ce dernier doit offrir des postes de travail, procurer des logements et préparer les équivalences et les accords pour les immigrés au sein des établissements d’enseignement israéliens.

Mais afin de mettre en place ces trois missions, le gouvernement projette de prendre des décisions concrètes pour faciliter la procédure d’immigration vers Israël, comme la reconnaissance des licences et diplômes délivrés par les autorités Françaises dans les domaines de la santé et de la comptabilité. Aussi, le gouvernement planifie de faciliter les démarches aux entrepreneurs pour leur permettre de promouvoir et de faire avancer leurs intérêts économiques en Israël.

Toujours selon Maariv, le plan qui a été adopté pour augmenter annuellement le nombre des immigrés Juifs pour les trois prochaines années serait comme suit : de 6000 en 2014, à 12000 en 2015 et à 24000 en 2016.

Pour Ibrahim Jaber et Eyad Atallah, analystes politiques, il existe plusieurs raisons qui poussent les Juifs à renoncer à l’immigration vers Israël, ainsi que celles derrière la croissance du nombre de ceux qui sortent d’Israël pour émigrer vers des pays comme l’Amérique, l’Europe et le Canada.

Ils expliquent que parmi les raisons, il y a le conflit israélo-palestinien, les risques liés à la sécurité et qui accablent l’état Sioniste, les problèmes socio-économiques, l’augmentation des taux d’imposition, la hausse des coûts de la vie et le manque de maisons pour les colons. Toutes ces pressions surviennent à un moment où les autorités d’occupation poussent à une situation de confrontation entre les colons et les Palestiniens en incitant de plus en plus plus d’Israéliens à aller vivre dans les colonies

Jaber a déclaré à Al-Istiklal que la plupart des immigrants « n’ont en vue habituellement que l’argent et le profit, un style de vie plus luxueux et somptueux, mais cela ne paraissait plus possible en Israël où plusieurs front sont ouverts avec la résistance palestinienne, ou avec l’Iran et le Hezbollah ».

Les départs d’Israéliens des les territoires palestiniens occupés en 1948 et après, a commencé après la création d’Israël, et continue sans interruption depuis, ce qui indique que plus sont fréquents les actes de résistance et les conflits armés contre Israël, plus l’émigration juive augmente.

D’autre part, Jaber a cité des raisons économiques et sociales qui font que les ressortissants juifs désertent la Palestine historique. Parmi celles-ci sont des taxes qui frappent les colons et le taux de croissance annuel trop lent, et la politique du gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu qui consiste à augmenter les taux d’imposition afin de combler le déficit budgétaire.

Il a ajouté : « Toutes ces politiques perturbent les Israéliens qui vivent en Palestine, et ils ont commencé à pimaginer aller vers d’autres pays disposant de plus de stabilité avec la possibilité d’une avenir meilleur pour eux-mêmes et leurs familles, ce qui conduit à une inversion du phénomène migratoire. »

Jaber a également souligné que la situation régionale autour d’Israël est instable politiquement et particulièrement en ce qui concerne la sécurité, forçant Israël à adopter un état de préparation militaire élevé pour faire face à tous les risques qui compromettent la sécurité à l’intérieur du pays.

L’analyste politique Eyad Atallah a noté qu’Israël a atteint un stade critique en raison du ralentissement de l’immigration juive en Israël, à un moment où l’émigration augmente de façon considérable. Il a fait remarquer : « il est clair que les juifs n’ont aucune préférence à aller vivre sur la terre de Palestine. »

Atallah a expliqué à Al-Istiklal que les juifs des diverses nationalités ne croient plus aux mensonges selon lesquels ils auraient un droit historique à vivre sur la terre de Palestine, et que par conséquent ils préfèrent rester dans les pays où ils sont nés et grandi, d’autant plus les résultats de ce genre d’entreprise et du déplacement en Israël peuvent aller jusqu’à perdre la vie à cause du conflit.

L’analyste politique a expliqué que : « La nature du conflit israélo-palestinien, l’attachement des Palestiniens à leurs droits comme au droit de retour dans les territoires palestiniens occupés depuis 1948,le choix stratégique de la résistance pour libérer la Palestine... tout cela fait clairement comprendre aux colons qu’ils vivront dans un état de confrontation permanente, alors ils préfèrent partir plutôt que de rester à défendre quelque chose qui ne leur appartient pas. »

Atallah a confirmé que chaque jour qui passe, la fin d’Israël s’approche, et que sa fin sera complète le jour où la vérité s’imposera à toutes les colons israéliens en Palestine, qui ne pourront plus croire le mensonge de leur droit sur la terre des Palestine. Il a ajouté que les musulmans sont persuadés que Dieu leur a promis la justice, ce qui signifie que la Palestine finira par leur revenir.

* Mahmoud Omar est écrivain palestinien

3 janvier 2014 - Middle East Monitor - Vous pouvez consulter cet article à :
[www.middleeastmonitor.com]...
Traduction : Info-Palestine.eu - Niha & Claude
o
17 janvier 2014 23:10
"Atallah a confirmé que chaque jour qui passe, la fin d’Israël s’approche"
ch7al khassek men esteghfir allah al bayt bla 3cha (= tu peux courir)

mentir mentir mentir jusqu'à ce que ça devienne réalité
[www.lepoint.fr]
m
17 janvier 2014 23:21
Citation
omar625 a écrit:
"Atallah a confirmé que chaque jour qui passe, la fin d’Israël s’approche"
ch7al khassek men esteghfir allah al bayt bla 3cha (= tu peux courir)

mentir mentir mentir jusqu'à ce que ça devienne réalité
[www.lepoint.fr]

fais ta valise ferme la physiquement et cache toi traître .
m
17 janvier 2014 23:22
Campagne de BDS contre Israël : l’année 2014 verra-t-elle un tournant décisif ?
mercredi 1er janvier 2014 - 06h:44
Le mouvement qui appelle au boycott, au désinvestissement et aux sanctions contre Israël, gagne du terrain à l’échelle mondiale.

Il est à la fois curieux et surprenant de constater qu’Israël se sente vulnérable alors qu’il se trouve au sommet de sa puissance économique et militaire, notamment en matière de nucléaire. Cette fois, l’ironie veut que la menace provienne d’un mouvement non-violent ancré dans le droit international et dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Au mois de juin de cette année, le Premier Ministre Israélien Benyamin Netanyahu a en effet déclaré que le mouvement mondial de Boycott, Désinvestissement et Sanctions (BDS), dirigé par les Palestiniens, représente une « menace stratégique » pour le régime israélien d’occupation, de colonisation et d’apartheid. Pour cela, Netanyahu a décidé de confier la responsabilité totale de la lutte contre le BDS au Ministre des Affaires Stratégiques.

Cette évolution spectaculaire reflète l’échec de « Brand Israel », une campagne israélienne bien huilée menée par le Ministre des Affaires Étrangères depuis le lancement du mouvement BDS en 2005, et dont la stratégie consistait à utiliser la culture comme instrument de propagande en faisant appel à des artistes et des écrivains israéliens dans l’objectif de présenter au monde entier une « meilleure image d’Israël. »

C’est en effet grâce aux gens de conscience depuis les quatre coins du monde, qui ont compris qu’on pouvait mettre fin à l’impunité d’Israël au moyen d’une résistance populaire en Palestine même et associée à une pression et responsabilité internationale à la fois efficace, moralement cohérente et permanente.

C’est cette prise de conscience qui a donné un grand élan aux campagnes de BDS. Plusieurs de ceux qui étaient jusqu’ici des partisans et des sympathisants d’Israël ont fini par s’en éloigner à cause, entre autres, 1) du brutal blocus israélien sur la Bande de Gaza, 2) de la construction sauvage de colonies illégales et du mur de séparation en Cisjordanie occupée, 3) de sa « stratégie de judaïsation » à Jérusalem, en Galilée, dans la Vallée du Jourdain et dans le Naqab (Le Néguev), comme démontré par des rapports officiels de l’ONU 4) de l’adoption de nouvelles lois racistes, et enfin 5) du déni des droits des réfugiés.

Il convient donc de considérer que les succès du mouvement de BDS au cours des dernières années seraient le facteur qui a ébranlé le régime Israélien. Le soutien en décembre 2012 du

Quant à sa position aux yeux de l’opinion publique mondiale, il faut reconnaitre que la réputation d’Israël s’est quelque peu érodée depuis un certain temps déjà. Deux facteurs majeurs en sont la cause. Il s’agit, premièrement, de la force morale du mouvement de BDS, y compris sa composante israélienne anticolonialiste cruciale. Et en second lieu, le changement politique israélien qui s’est clairement orienté vers l’extrême droite. Dans un sondage réalisé en 2013 par la BBC, les résultats ont fait ressortir la concurrence entre Israël et la Corée du Nord, perçus par la grande majorité des personnes en Europe et ailleurs, comme le troisième ou le quatrième des pires pays au monde.

Qu’est-ce que la campagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions ?

Le 9 juin 2005 a été le jour où l’appel au BDS était pour la première fois lancé par une alliance de plus de 170 organisations palestiniennes : syndicats, réseaux de réfugiés, ONG et associations locales. Le message transmis ce jour était un appel aux organisations de la société civile internationale et aux gens de conscience, afin qu’ils « imposent un boycott général et mettent en place des initiatives de désinvestissement contre Israël, emboitant ainsi le pas aux mesures appliquées en Afrique du Sud durant la période où sévissait l’apartheid. »

Plus précisément, le BDS appelle à la fin de l’occupation israélienne des territoires palestiniens et arabes occupés depuis 1967, avec le démantèlement du mur et des colonies, la fin du système israélien de discrimination raciste contre ses citoyens palestiniens et le droit au retour inhérent et reconnu par l’ONU des réfugiés Palestiniens dans leur terre d’origine.

Ces trois droits fondamentaux correspondent aux trois composantes majeures du peuple palestinien : les citoyens de la Bande de Gaza et de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est (38% de la population palestinienne d’après des statistiques de 2011), ceux du territoire de 1948 qui vivent sous le régime d’apartheid israélien (12%) et ceux de la diaspora, en exil (50%). Plus de deux tiers des Palestiniens ont le statut de réfugiés ou sont des personnes déplacées à l’intérieur de leur pays.

Agir et s’imposer avec diplomatie et délicatesse

Pour Desmund Tutu, Roger Waters, Naomi Klein, Alice Walker, Judith Butler, John Berger, Ken Loach, Angela Davis, Arundhati Roy, Marcel Khalife et Aijaz Ahmed - personnalités publiques jouissant d’une forte influence - la conclusion est on ne peut plus claire : c’est la même lutte menée en Afrique du sud du temps de l’Apartheid qui doit être suivie aujourd’hui. En effet, le mouvement de BDS est absolument indispensable pour obliger Israël à respecter ses obligations en vertu du droit international.

En faisant appel aux gens de conscience, partout dans le monde, afin d’aider à mettre fin au système israélien d’oppression à trois facettes, le mouvement de BDS n’entend pas solliciter une action héroïque mais plutôt l’accomplissement et le respect d’une profonde obligation morale qu’est le renoncement à la complicité dans l’oppression.

Chaque année, les pays occidentaux, à l’instar des États-Unis et de l’Allemagne offrent des milliards de dollars à Israël, sans oublier le commerce militaire lucratif. De ce fait, les contribuables de ces pays occidentaux subviennent aux violations israéliennes du droit international pendant que leurs programmes sociaux domestiques subissent des coupes sombres, que le chômage atteint des niveaux alarmants et que l’environnement se fait massacrer et détruire. Tirer un trait sur la complicité avec les crimes israéliens ne joue pas en faveur du peuple palestinien seulement, mais il conviendra sans nul doute aux « 99% » des personnes aux quatre coins du monde qui luttent contre une guerre perpétuelle et pour une justice socio-économique.

S’appuyant sur son influence mondiale, le mouvement de BDS dirigé par la principale coalition dans la société civile palestinienne, le BNC [BDS National Committee] enregistre une percée à travers le monde, couronnée par d’importantes victoires.

Quelques jours auparavant,

Pour leur part, les Conseils d’Étudiants à travers plusieurs universités nord-américaines, dont l’Université de Californie, Berkeley, ont opté pour le désinvestissement de toutes les sociétés qui tirent profit de l’occupation israélienne.

Une liste de plus en plus longue

A travers des millions de membres - originaires, entre autres, d’Afrique du sud, de Grande-Bretagne, d’Irlande, d’Inde, du Brésil, de Norvège, du Canada, d’Italie, de France, de Belgique et de Turquie - ce sont les principales fédérations syndicales internationales qui ont apporté leur soutien au mouvement de BDS

Veolia qui est une société complice avec l’occupation israélienne, a perdu ou a dû se retirer d’appels d’offres qui valent des milliards de dollars, principalement en Suède, en Grande-Bretagne, en Irlande et maintenant aux États-Unis.

Le militantisme du BDS en Norvège, en Afrique du Sud, au Parlement Européen et dans plusieurs Universités Britanniques et ailleurs, a pu frapper G4S, la plus grande société de services de sécurité à l’échelle mondiale. L’entreprise fait actuellement face à d’importants échecs tout à fait significatifs résultant de son implication dans les prisons israéliennes où des détenus Palestiniens, notamment des enfants se font torturer. Elle est également impliquée dans plusieurs projets qui enfreignent le droit international.

En Grande-Bretagne, la cinquième plus grande chaine de supermarché Co-op a adopté la politique de boycott des sociétés qui opèrent dans les Territoires Palestiniens Occupés.

L’an dernier,

Pour sa part, le gouvernement néerlandais a publiquement « dissuadé » les entreprises de son pays à renoncer au business avec les entités israéliennes opérant dans les Territoires Palestiniens Occupés, ce qui a poussé la plus grande entreprise de construction aux Pays-Bas, Royal Haskoning DHV, à se retirer d’un projet de traitement des eaux usées avec la municipalité israélienne de Jérusalem-Est occupée. Dans le même contexte, l’entreprise publique des eaux Vitens a également résilié un contrat avec l’entreprise israélienne des eaux, Mekorot.....



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/01/14 11:29 par mellindda.
m
17 janvier 2014 23:23
suite......Il en va de même pour le gouvernement britannique qui a publié une directive sur l’implication des entreprises dans les colonies illégales israéliennes. Ces étapes suivent la publication des directives européennes contre le financement des projets et entités israéliens dans les Territoires Palestiniens.

Deutsche Bahn, la compagnie allemande des chemins de fer et qui est contrôlée par le gouvernement, s’est retirée d’un projet israélien qui empiète et confisque la terre palestinienne occupée. Des responsables du Ministère allemand des Affaires Étrangères ont informé des représentants de la société civile palestinienne qu’ils ont recommandé à toutes les institutions académiques allemandes d’éviter tout échange avec l’université d’

Il est vrai que la violente répression israélienne, sa politique de nettoyage ethnique et son blocus à l’encontre des Palestiniens augmentent jour après jour. Néanmoins, nous demeurons confiants et convaincus que nous surmonterons les obstacles et que nous vaincrons. Grâce au mouvement de BDS, aujourd’hui devenu mondial et ayant réussi à conquérir les cœurs et les esprits des peuples, il se pourrait bien que nous atteignons le point ou tout basculera.

Omar Barghouti est militant Palestinien indépendant des droits de l’homme et membre fondateur du mouvement de BDS. Il est l’auteur de <"Boycott, Dvestment, Sanctions : The Global Struggle for Palestinian Rights," (Haymarket : 2011).
o
18 janvier 2014 00:04
"Qu’est-ce que la champagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions ? "

à la tienne ! hahahaha !!!!!
U
18 janvier 2014 10:23
@ Melinda Israël est actuellement une Théocratie. Dans une Théocratie, on ne tient pas compte des Droits de l'Homme.

Tous ceux qui critiquent la Laïcité et les Droits de l'Homme devraient donc applaudir un pays qui ne respecte ni l'une, ni les autres.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
m
19 janvier 2014 01:15
Citation
omar625 a écrit:
"Qu’est-ce que la champagne de Boycott, Désinvestissement et Sanctions ? "

à la tienne ! hahahaha !!!!!

tu es quel genre de traitre abruti mental ?
m
26 janvier 2014 21:06
Citation
Unesuggestion a écrit:
@ Melinda Israël est actuellement une Théocratie. Dans une Théocratie, on ne tient pas compte des Droits de l'Homme.

Tous ceux qui critiquent la Laïcité et les Droits de l'Homme devraient donc applaudir un pays qui ne respecte ni l'une, ni les autres.


c'est pas bon pour les non élus....
 
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