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Allez voir le film INDIGENE
a
16 septembre 2006 14:17
Je l'ai vu en avant-première, il est GENIAL et j'encourage tous le monde à aller le voir.

c'est un film grandiose dans sa moralité et dans ses interprétations !

Je suis fière d'avoir été parmis les premières à aller le voir.

c'est un film historique et très émouvant !!!!

Malgré son invalidité, jamel debouze à su trouver sa place dans les combats...


J'ai hâte d'acheter le DVD et de le garder précieusement pour nos futures générations...
S
18 septembre 2006 11:37
c
22 septembre 2006 12:09
Salam,

J'attends sa sortie avec impatience.

smiling smiley

arabella dit : "Malgré son invalidité, jamel debouze à su trouver sa place dans les combats..."

Euh, question idiote : on est pas réformer de l'armée quand on est invalide ? moody smileyperplexe
S
22 septembre 2006 14:46
Bonjour Chems,

Je pense que même pendant la Guerres si les administrations avaient eu affaire à une personne handicapé comme jamel, il l'aurait quand même recruter pour l'envoyer combattre en premiére ligne. Je pense qu'il n'avait aucune considération pour les régiments de tirailleurs qui été constitués d’esclaves.
m
23 septembre 2006 02:23
smiling smiley
Tout homme peut être Père ... mais il n'est pas donné à tout le monde d'être un Papa ...
e
23 septembre 2006 12:00
je l'ai vu hier soir

j'étais mort de rire pendant toute la projection,

mais les 5 dernières minutes m'ont donné un sujet à méditer. du coup j'ai pas dormis de la nuit

ceci dit ça reste un bon très bon film;

ce que j'ai bien aimé aussi , c'est la distribution des rôles, les marocains du film sont algériens et vis versa, je crois que c'est à clein doeil pour plus de tolérance des uns envers les autres.
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
e
23 septembre 2006 12:10
pas à l'epoque, du fait qu'on avait pas besoin de soldats mais de chaire à canon
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
S
23 septembre 2006 13:39
Il me semble que le film ne sort officiellement que ce mercredi ? Non ?

Comment l'avez vous vue ?


[www.mouss.fr]
e
23 septembre 2006 13:44
hier je lai vu en avant première
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
S
23 septembre 2006 13:48
Ou est ce que tu as eu l'info ?

J'aimerais également le voir avant mercredi sur paris biensur...



[www.mouss.fr]
e
23 septembre 2006 14:09
moi je suis dans le JURA , dans une ville où il y'a une seule salle de cinema, j'y suis allé par hazard parce que je voulais changer un peu, et je l'ai trouvé prposé en avant première en plus à 5 euros eu lieu de 7 donc j'ai foncé
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
a
24 septembre 2006 16:02
Chirac veut rétablir la parité
entre "Indigènes" et Français

NOUVELOBS.COM | 24.09.06 | 14:49

Selon le JDD, les pensions des anciens combattants des colonies françaises vont être alignées sur celles des combattants français.


Jacques Chirac (AP)

Les "Indigènes", ces anciens tirailleurs maghrébins et africains qui participèrent à la Libération et auxquels le metteur en scène Rachid Bouchareb rend hommage dans son dernier film, devraient bientôt voir leurs vœux exaucés.
Depuis des années, ces anciens soldats réclament des indemnisations égales à celles des anciens combattants de nationalité française. Ils ne perçoivent en effet que 30% de la somme versée aux Français.
Profitant de la sortie du film Indigènes" mercredi prochain, le ministre délégué aux Anciens combattants, Hamloui Mekachera, révèle dans Le Journal du Dimanche dimanche 24 septembre, que cette discrimination est sur le point d'être abolie. Jacques Chirac devrait annoncer tout prochainement "la suppression de cette injustice", "cette semaine ou la suivante" selon le JDD. Les ministères seraient en train d'évaluer le coût de cette mesure. Selon Hamloui Mekachera, elle s'élèverait à plusieurs centaines de millions d'euros.
Les pensions des "Indignènes" avaient été gelées au moment de la décolonisation.
La mesure de "décristallisation" de ces pensions concernerait aujourd'hui près de 100.000 personnes, anciens combattants originaires de 23 pays ou veuves de soldats.
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
s
24 septembre 2006 20:38
Tu me fais trop rire

grinning smiley

Citation
el 3aKel a écrit:
moi je suis dans le JURA , dans une ville où il y'a une seule salle de cinema, j'y suis allé par hazard parce que je voulais changer un peu, et je l'ai trouvé prposé en avant première en plus à 5 euros eu lieu de 7 donc j'ai foncé
a
25 septembre 2006 09:56
Citation
chems a écrit:
Salam,

J'attends sa sortie avec impatience.

smiling smiley

arabella dit : "Malgré son invalidité, jamel debouze à su trouver sa place dans les combats..."

Euh, question idiote : on est pas réformer de l'armée quand on est invalide ? moody smileyperplexe

En réponse à chems,

Tout au début du film, je me suis demandé comment jamel debouzze allait tenir une carabine
Puis par la suite, j'ai pu voir qu'au lieu de tirer avec une arme, il lançait, tout simplement les grenades !

Je ne voulais rien sous entendre par le mot "invalide"
e
25 septembre 2006 11:29
est ce que vous savez quand est ce qu'il est prévu qu'il sorte en DVD
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
c
25 septembre 2006 20:04
Salam,

Il semblerait qu'après avoir vu le film, Jacques Chirac souhaite améliorer la situation des anciens combattants coloniaux (pension).


[www.lefigaro.fr]

[www.liberation.fr]


C'est quand même injuste qu'il faille un film pour que Chirac prenne conscience de ça ! eye rolling smiley
j
25 septembre 2006 21:25
salut tout le monde!

j'irai le voir pour avoir une idée, et parce que votre jugement m'y . Mais je ne vous cache pas que j'ai quelques a priori sur ce film, pour ce que j'en ai vu comme extraits et ce que j'ai pu lire. j'ai peur qu'il ne tire un peu trop sur la caricature, en présentant des officiers blancs démesurément méchants (à l'exception d'un seul...et parce qu'il est pied noir) qui poussent les troupes d'afriqueà la boucherie.

L'idée du film, qui est de rendre hommage aux tirailleurs africains mobilisés pendant la guerre, me semble juste et nécessaire. Mais j'ai peur que la manière dont est fait le film ne soit un peu trop simpliste et ne fasse d'une commémoration nécessaire une surenchère mémorielle un peu polémique. j'attends de voir et reviens vers vous pour vous dire si j'ai changé d'avis après l'avoir vu!
S
26 septembre 2006 00:21
Il y a énormément de choses dont chirac na pas conscience et qui ferait à juste titre une réforme importante et capitale.

J'éspére juste que cette nouvelle réforme (si biensur toutefois il y en a une) ne sera pas inscrite comme étant une action symbolique de l'etat français mais comme une horrible erreur de l'etat et que l'etat à faillit à son devoir de mémoire.

Il faut que les choses soit clair pour tout le monde, nous ne voulons pas de leur pitié...nous réclamons la justice.
h
26 septembre 2006 00:46
Sur la page actu Yabiladi.


Pour réaliser et surtout financer son film, Rachid Bouchareb aura livré une rude bataille. Acteurs, mais aussi patrons et hommes politiques, se sont engagés dans la cause. Jusqu'à l'Elysée…


la guerre comme à la guerre. Indigènes, évocation des tirailleurs nord-africains qui participèrent, en 1944, à la libération de la France, est né après bien des batailles. Pourtant, son réalisateur, Rachid Bouchareb, est un pacifiste. Quand, il y a dix ans, l'idée de raconter l'histoire de ses aïeux lui vient, il n'a aucune velléité revancharde. «Je voulais juste transmettre au public un chapitre historique absent de tous les manuels scolaires.» Seulement voilà: un film pareil, cela demande beaucoup d'argent. Le metteur en scène et son associé au sein de 3B Production, Jean Bréhat, sous-estiment la galère qui les attend et ignorent la croisade politique qu'ils devront mener afin de réunir les fonds.

Financièrement, le projet Indigènes repose sur les épaules de ses vedettes. Bouchareb en est conscient et décide de passer à l'action au début 2002. Astérix et Obélix: mission Cléopâtre a attiré 14 millions de spectateurs et consacré Jamel Debbouze. La série des Taxi a donné à Samy Naceri une popularité auprès d'un jeune public. Sami Bouajila et Roschdy Zem, forts d'une longue filmographie, sont, eux, des talents confirmés et respectés. Bouchareb confie aux quatre son envie. Ils donnent un accord de principe, même s'ils ignorent de quoi leur parle le metteur en scène. «J'avais toujours entendu parler des tirailleurs sénégalais, mais jamais des Algériens ni des Marocains, avoue Roschdy Zem. Ce n'est pas dans notre culture de faire passer, de génération en génération, des souvenirs douloureux.»

Durant un an, Rachid Bouchareb et son coscénariste, Olivier Lorelle, recueillent les témoignages d'anciens combattants. En France, en Algérie, au Sénégal… Le script connaîtra 27 versions. D'une première de 3 h 15 et 35 millions d'euros de budget, à une dernière, plus courte et moins chère - 14,5 millions, quand même!

Forts d'une aide au développement et d'une avance sur recettes obtenues sans mal (autour de 700 000 euros), Bréhat et Bouchareb partent, confiants, en quête de partenaires financiers. Les alliés de la première heure sont les responsables de France Télévisions et Jamel Debbouze. Le comédien apporte deux atouts considérables. D'abord, de nouveaux subsides. A même d'exiger un cachet de 1 million d'euros, il fait l'inverse: il sort ce million de sa poche, via sa société Kissman Productions, et devient coproducteur. Légalement obligé de toucher un cachet comme comédien, il prendra le minimum syndical, à savoir 300 euros par jour. Ensuite, sa relation privilégiée avec Mohammed VI, roi du Maroc. Le souverain met à disposition de la production la région de Ouarzazate, ainsi que 500 soldats et l'infrastructure militaire qui va de pair (avions, bateaux, etc.), ce pendant six semaines.

Néanmoins, toutes ces aides ne suffisent pas à boucler le plan de financement. «Pour une comédie, on n'aurait eu aucun mal à réunir les fonds, reconnaît Jean Bréhat. Mais un film de guerre, c'est moins vendeur.» Une réalité économique qui freine le Groupe Canal , malgré le soutien actif de son directeur général, Rodolphe Bremer. Le projet est dans l'impasse.

Jean Bréhat requiert les services d'un vieux copain, Mohamed Nemmiche, ex-journaliste et «militant mondain», devenu «conseiller en financement», grâce à un impressionnant carnet d'adresses et à un extraordinaire culot. «L'équation était simple, se souvient Mohamed Nemmiche. Canal appartient au groupe Vivendi, au sein duquel on trouve Jean-René Fourtou, lui-même meilleur ami de Claude Bébéar [président de l'Institut Montaigne], très sensible aux problèmes d'immigration. Or, à ce moment-là, au printemps 2004, l'Assemblée nationale débat de la politique à mener sur ce thème, avec, entre autres intervenants, Claude Bébéar. Je savais où le trouver!»

Des soutiens politiques officiels… et officieux

Nemmiche rédige une note de quelques lignes: le titre du film, les comédiens principaux, le synopsis, le numéro de téléphone de Rachid Bouchareb, et la remet en mains propres à Bébéar, qui appelle le réalisateur dès le lendemain matin. Un déjeuner est organisé au restaurant la Maison blanche. A la fin du repas, un homme déjeunant à proximité, intrigué par la conversation qu'il entend, s'enquiert de l'identité de ses voisins. Il s'agit de Didier Duverger, patron de Coficiné, la banque du cinéma. Il a bien reçu le dossier Indigènes, mais ne croit guère à son aboutissement. «Quand je les ai vus en compagnie de Claude Bébéar, mes doutes se sont envolés», avoue le banquier. Effectivement, une semaine plus tard, le Groupe Canal injecte 4 millions d'euros dans l'affaire. Claude Bébéar, intronisé «parrain du film» par Jean Bréhat et Rachid Bouchareb, joue aujourd'hui les modestes: «Ils exagèrent ma participation. Comme on s'est mal comporté avec ces personnes qui ont aidé à libérer la France, je trouvais totalement justifié qu'un long-métrage leur rende hommage. Je me suis contenté d'appeler Jean-René Fourtou et Bertrand Méheut, et les ai convaincus de la rentabilité potentielle du film.»

En janvier 2005, malgré toutes les aides, dont celle du producteur Thomas Langmann, 3B Production n'a réuni que 10,5 millions d'euros. Nouveau rodéo financier… Cette fois, c'est Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d'Ile-de-France, qui décroche 500 000 euros sur le budget culturel de sa région, mesure votée par les élus, de gauche comme de droite.

Bouchareb, lui, commence le tournage au Maroc. Les comédiens sont morts de trac. Naceri un peu plus que les autres, le seul des quatre à ne pas savoir parler la langue arabe. «Le problème, c'était surtout de parler en français, précise Sami Bouajila. Les Nord-Africains avaient un accent différent de celui d'aujourd'hui, et il s'agissait de ne pas tomber dans la caricature.»



Pendant ce temps, Nemmiche continue sa quête. Car il manque encore 1,5 million d'euros au titre de la postproduction (montage, effets spéciaux, etc.). Il s'adresse à Pierre Méhaignerie (président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale). Le député UMP, via l'Assemblée, verse 100 000 euros au conseil régional de Franche-Comté, qui les ajoute aux 100 000 euros alloués au film par une subvention. «On a emmerdé la terre entière!» raconte Jean Bréhat. Du moins, tous les directeurs de cabinet. «Dominique Cantien voulait clairement, en échange d'une aide quelconque de son compagnon, Philippe Douste-Blazy, une photo du ministre des Affaires étrangères avec Jamel Debbouze», confie le producteur. «A la demande des hommes politiques démarchés, j'ai assisté à tous leurs rendez-vous avec la production, précise Jamel. Les rares photos où j'ai posé avec eux, c'était pour leur nièce ou leur cousine.» Une conseillère de Nicolas Sarkozy aurait aussi proposé à l'artiste d'accompagner le ministre de l'Intérieur à Trappes. Sans succès. Pour autant, le n° 2 du gouvernement a apporté sa pierre à l'édifice. En l'occurrence, une lettre à l'attention d'Adrien Zeller, président du conseil régional d'Alsace, demandant à l'intéressé une augmentation exceptionnelle de sa subvention, plafonnée à 48 000 euros pour un long-métrage. Après réception du courrier, elle montera à 60 000. De son côté, Philippe Séguin, président de la Cour des comptes, intervient auprès de la Caisse des dépôts et consignations, afin qu'elle accorde 110 000 euros au projet. Jusqu'à la bénédiction suprême: le soutien officieux de l'Elysée, puisque Claude Chirac pousse France Télévisions, déjà très généreuse, à investir un peu plus d'argent. D'un pari improbable, Indigènes devient ainsi une grande cause nationale.

Une sélection au Festival de Cannes paraît, au fil des mois, inéluctable. L'accueil dithyrambique à la fin de la projection et, le jour du palmarès, le prix d'interprétation attribué aux principaux comédiens augurent, pour le long-métrage, d'un vif retentissement médiatique et populaire.

Le 5 septembre, la Fondation Georges-Pompidou présente le long-métrage à un parterre de grands patrons et de personnalités politiques, dont Jacques Chirac.

Un gros succès populaire en perspective

Vingt minutes avant la projection, Rachid Bouchareb et ses comédiens s'entretiennent avec le président, afin de lui demander de soutenir l' «appel pour l'égalité des droits entre combattants français et étrangers». «Après le film, raconte le réalisateur, il était sincèrement bouleversé. Je l'ai pris par le bras et lui ai demandé s'il comprenait pourquoi il devait intervenir. Il a répondu: "Je vais le faire."» Le président a ainsi promis d'attribuer, au plus vite, les pensions jamais versées aux anciens combattants nord-africains.

De son côté, le distributeur Stéphane Célérier (Mars Distribution) a prévu une sortie importante avec 500 copies du film. «Il y a trois ans, j'évaluais le succès d'Indigènes à 1 million d'entrées. Depuis Cannes, cette estimation est multipliée par deux.» Entre une promotion tentaculaire et une étroite collaboration avec le ministère de l'Education nationale, le chiffre devrait se confirmer. Auquel cas Rachid Bouchareb rempilerait. «Je raconterais l'histoire des indigènes de 1945 à 1962, soit du massacre de Sétif à la guerre d'Algérie, en passant par celle d'Indochine.» Ses comédiens ont d'ores et déjà accepté. Indigènes n'est qu'un début, ils continuent le combat.

Source: L'Express
e
26 septembre 2006 10:52
l'ayant déjà vu , j'avais aussi peur de regarder un film avec des arabes opprimés et des blancs méchants, mais sincèrement le film a été fait avec ennormément de professionnalisme, et d'objectivité;


c'est sur il y'a 2 ou 3 actes dans le film qui montrent quand même que ces indigenes ont été traité comme des moins que rien , mais ce n'est pas le but du film.
J'ai demandé à ce qu'on me banisse, et on l'a fait , et je remerci celui qui l'a fait. si vous voulez me contacter cherchez ( elma3ti ) sur bladi.net
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