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ALGERIE « Madame Courage » la Drogue Algérienne des Assassins
22 août 2014 23:58
Voici l'article de .........François GEZE ..........publié sur le Blog de MédiaPart…..Ce qu’il écrit fait froid dans le dos….. Un soldat du FLN a écrit que durant la Décennie Noire…des soldats avaient pour mission …..de commettre des actes innommables sur des villageois innocents……

Ceci n’est pas nouveau dans l’histoire de l’Algérie car pendant la guerre de libération des membres du FLN déguisés en Soldats français faisaient la même chose pour rallier les villageois à leur cause



Qui est François GEZE…… [www.editionsladecouverte.fr]

Lien vers la source.....[blogs.mediapart.fr]

Extrait de son article terrifiant :

« Madame Courage » : la drogue au cœur de la crise sociale en Algérie ?

11 août 2011 | Par François Gèze


10 août 2011 : je sursaute en découvrant dans l’édition du jour du quotidien francophone algérien El Watan un article peu banal de Saci Kheireddine, intitulé presque banalement « Violence urbaine : Alger sous l’emprise des bandes rivales ». Sous forme d’encadré, on y lit : « Connaissez-vous “Madame Courage” ? Ce sont des comprimés de barbituriques appelés dans le langage des jeunes Algérois “Madame Courage”.

Ces pilules font perdre à ceux qui les consomment toute connaissance de la réalité. Ils sont l’une des causes qui poussent les jeunes délinquants à commettre des agressions et des meurtres.
Selon un spécialiste en psychiatrie, ces psychotropes diminuent de 80 % les capacités de jugement, ce qui rend le passage à l’acte plus facile, car l’individu “drogué” n’apprécie pas ses agissements à leur juste valeur, sauf après la disparition des effets de la prise de toxiques.
La consommation de telles substances est devenue, au fil du temps, monnaie courante dans les quartiers populaires.
Hamid, un jeune de Bab El Oued, ne s’en cache d’ailleurs pas : “Je prends de l’Artane pour avoir du courage et me sentir fort. En prenant ma dose de comprimés, je peux faire n’importe quoi, sans même m’en souvenir”, témoigne-t-il fièrement. »


Pour ceux qui suivent de longue date l’actualité algérienne, cette évocation de cette drogue terrible qu’est l’Artane rappelle en effet d’autres moments atroces. L’Artane est un médicament normalement utilisé pour soigner la maladie de Parkinson ou les effets secondaires (dits « extrapyramidaux ») des neuroleptiques.
Mais pris à fortes doses (souvent avec de l’alcool), il a pour effet de faire perdre toute inhibition et de transformer le drogué en « Rambo », capable alors des pires violences, qu’il aura totalement oubliées le lendemain.


Or, dans son livre La Sale Guerre que j’avais publié à La Découverte en 2001, l’ex-sous-lieutenant des forces spéciales Habib Souaïdia avait raconté comment ses collègues militaires, dans les années 1990, recouraient habituellement à la consommation de « Madame Courage » pour perpétrer les pires crimes contre les populations civiles : « La drogue la plus demandée par les soldats était surnommée par eux “Madame courage”. Au sein des forces spéciales, ce produit a presque la même valeur que la Kalachnikov. Comme son nom l’indique, il donne du courage aux soldats quand ils doivent affronter la mort. Et ils en prennent aussi quand c’est eux qui doivent la donner… De nombreuses fois, j’ai vu des sous-officiers de mon régiment sous l’emprise de cette “Mère courage” : leurs yeux étaient brillants et injectés de sang, ils parlaient plus lentement que d’habitude et ils avaient l’air d’être “ailleurs”. Et le lendemain, souvent, ils ne se souvenaient de rien de ce qu’ils avaient dit ou fait : quand ils étaient dans cet état, ils pouvaient tuer n’importe qui sans même se rendre compte de ce qu’ils faisaient. Le nom de cette drogue était l’Artane. »

Plusieurs indices semblent aussi attester que les membres des groupes armés se réclamant de l’islam (les GIA), alors largement contrôlés par les services secrets de l’armée (DRS), étaient sous l’emprise d’une drogue de ce genre quand ils ont perpétrés les pires massacres des années 1996-1998. Nesroulah Yous, l’un des rescapés du massacre de Bentalha, près d’Alger, qui fit plus de quatre cents morts dans la nuit du 23 septembre 1997, rapportait par exemple dans son livre Qui a tué à Bentalha ? (La Découverte, 2000) : « Nous avons trouvé des seringues et des sachets avec de la poudre blanche. […] Un des assaillants tués, un géant, portait une ceinture avec des seringues et de la drogue. » L’enquête sur ce point, particulièrement difficile à mener, reste à faire. Mais il me semble hautement probable que l’usage de la drogue a joué un rôle majeur dans la sauvagerie dont ont fait preuve les auteurs des grands massacres de la fin des années 1990 en Algérie.

Habib Souaïdia avait d’ailleurs appris que l’Artane, médicament produit par les laboratoires suisses Sandoz, était commandé en grandes quantités par le ministère de la Défense algérienne pendant les pires années de la « sale guerre ». Et depuis, on a su que cette drogue, dont l’usage régulier à haute dose finit par provoquer une accoutumance presque toujours mortelle, était toujours consommée par d’anciens membres des forces de sécurité algériennes devenus SDF à Paris, comme l’a révélé en 2005 un article assez terrifiant de la journaliste Linda Bendali : « À peine arrivé à la caserne, en 1997, le jeune Walid, vingt-et-un ans, est embarqué pour une opération commando. Les heures passent à travers le Djebel. Le jeune appelé ignore sa destination. Des sous-officiers font circuler une gourde et des comprimés. Chacun se sert et passe au voisin. Walid fait comme tout le monde et découvre l’ivresse de celle que les soldats surnomment “Madame Courage”. Walid n’apprendra que plus tard le véritable nom de cette pilule-miracle : l’Artane, un psychotrope destiné à soigner la maladie de Parkinson. Ainsi drogués, les soldats se sentent invulnérables, surpuissants.
Pris d’hallucinations, ils débarquent euphoriques dans les villages où les cris des victimes des massacres résonnent encore. Le lendemain, ils ne gardent aucun souvenir, aucune image des atrocités qu’ils ont vécues, aucun flash des barbaries qu’ils ont commises. Cette douce inconscience a un prix : une forte dépendance. Très vite, comme nombre de ses compagnons. Walid avale de l’Artane tous les jours. Jusqu’à ne plus pouvoir s’en passer. Arrivé en France il y a quatre ans, aujourd’hui SDF, il n’a pas réussi à échapper à ses démons, ni à son enfer médicamenteux. »

À Alger, des rumeurs invérifiables affirment depuis des années que certains cercles du pouvoir encouragent toujours, voire promeuvent, l’importation de cette drogue de mort qui, avec bien d’autres, gangrène la jeunesse perdue des quartiers populaires.
Outre le profit qu’ils y trouveraient, ils y verraient désormais un moyen efficace pour détourner la colère majuscule de cette jeunesse. Au lieu de se tourner contre eux en se joignant aux autres secteurs de la société qui tentent d’organiser la révolte sociale, comme les syndicats autonomes – que nous sommes quelques-uns en France à soutenir, au sein du Comité international de soutien au syndicalisme autonome algérien (CISA) –, ces jeunes se perdent ainsi dans les stériles violences que décrit l’article d’El Watan. Cette réalité est certainement l’un des facteurs qui expliquent que la révolte sociale, dont les manifestations – émeutes urbaines et grèves à répétition – sont pourtant de longue date quotidiennes, ne débouche toujours pas en Algérie sur des mobilisations de plus grande ampleur, à l’image de celles d’autres pays du monde arabe, de la Tunisie à la Syrie.
Jusqu’à quand ? La drogue est sans conteste, au sens strict, un atroce et efficace « opium du peuple ». Mais en Algérie, l’extrême fragilité d’un système à bout de souffle pourrait bien être lourde de surprises…

.................................................................................................... .......................................................................................



Modifié 6 fois. Dernière modification le 23/08/14 18:18 par Danouni.
23 août 2014 16:57
COMPLÉMENT

L’Algérie .......est à la fois .........un Hub ( Zone de transit) ...et ..........un pays Producteur et Explorateur de Drogues Douces et Dures……les détails ici……....[www.yabiladi.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/08/14 19:16 par Danouni.
M
23 août 2014 17:14
Citation
Danouni a écrit:
Voici l'article de .........François GEZE ..........publié sur le Blog de MédiaPart…..Ce qu’il écrit fait froid dans le dos….. Un soldat du FLN a écrit que durant la Décennie Noire…des soldats avaient pour mission …..de commettre des actes innommables sur des villageois innocents……

Ceci n’est pas nouveau dans l’histoire de l’Algérie car pendant la guerre de libération des membres du FLN déguisés en Soldats français faisaient la même chose pour rallier les villageois à leur cause



Qui est François GEZE…… [www.editionsladecouverte.fr]


Lien complémentaire sur les ravages en Algérie de « Mme COURAGE »…. [www.liberte-algerie.com]

Lien vers la source.....[blogs.mediapart.fr]

Extrait de son article terrifiant :

« Madame Courage » : la drogue au cœur de la crise sociale en Algérie ?

11 août 2011 | Par François Gèze


10 août 2011 : je sursaute en découvrant dans l’édition du jour du quotidien francophone algérien El Watan un article peu banal de Saci Kheireddine, intitulé presque banalement « Violence urbaine : Alger sous l’emprise des bandes rivales ». Sous forme d’encadré, on y lit : « Connaissez-vous “Madame Courage” ? Ce sont des comprimés de barbituriques appelés dans le langage des jeunes Algérois “Madame Courage”.

Ces pilules font perdre à ceux qui les consomment toute connaissance de la réalité. Ils sont l’une des causes qui poussent les jeunes délinquants à commettre des agressions et des meurtres.
Selon un spécialiste en psychiatrie, ces psychotropes diminuent de 80 % les capacités de jugement, ce qui rend le passage à l’acte plus facile, car l’individu “drogué” n’apprécie pas ses agissements à leur juste valeur, sauf après la disparition des effets de la prise de toxiques.
La consommation de telles substances est devenue, au fil du temps, monnaie courante dans les quartiers populaires.
Hamid, un jeune de Bab El Oued, ne s’en cache d’ailleurs pas : “Je prends de l’Artane pour avoir du courage et me sentir fort. En prenant ma dose de comprimés, je peux faire n’importe quoi, sans même m’en souvenir”, témoigne-t-il fièrement. »


Pour ceux qui suivent de longue date l’actualité algérienne, cette évocation de cette drogue terrible qu’est l’Artane rappelle en effet d’autres moments atroces. L’Artane est un médicament normalement utilisé pour soigner la maladie de Parkinson ou les effets secondaires (dits « extrapyramidaux ») des neuroleptiques.
Mais pris à fortes doses (souvent avec de l’alcool), il a pour effet de faire perdre toute inhibition et de transformer le drogué en « Rambo », capable alors des pires violences, qu’il aura totalement oubliées le lendemain.


Or, dans son livre La Sale Guerre que j’avais publié à La Découverte en 2001, l’ex-sous-lieutenant des forces spéciales Habib Souaïdia avait raconté comment ses collègues militaires, dans les années 1990, recouraient habituellement à la consommation de « Madame Courage » pour perpétrer les pires crimes contre les populations civiles : « La drogue la plus demandée par les soldats était surnommée par eux “Madame courage”. Au sein des forces spéciales, ce produit a presque la même valeur que la Kalachnikov. Comme son nom l’indique, il donne du courage aux soldats quand ils doivent affronter la mort. Et ils en prennent aussi quand c’est eux qui doivent la donner… De nombreuses fois, j’ai vu des sous-officiers de mon régiment sous l’emprise de cette “Mère courage” : leurs yeux étaient brillants et injectés de sang, ils parlaient plus lentement que d’habitude et ils avaient l’air d’être “ailleurs”. Et le lendemain, souvent, ils ne se souvenaient de rien de ce qu’ils avaient dit ou fait : quand ils étaient dans cet état, ils pouvaient tuer n’importe qui sans même se rendre compte de ce qu’ils faisaient. Le nom de cette drogue était l’Artane. »

Plusieurs indices semblent aussi attester que les membres des groupes armés se réclamant de l’islam (les GIA), alors largement contrôlés par les services secrets de l’armée (DRS), étaient sous l’emprise d’une drogue de ce genre quand ils ont perpétrés les pires massacres des années 1996-1998. Nesroulah Yous, l’un des rescapés du massacre de Bentalha, près d’Alger, qui fit plus de quatre cents morts dans la nuit du 23 septembre 1997, rapportait par exemple dans son livre Qui a tué à Bentalha ? (La Découverte, 2000) : « Nous avons trouvé des seringues et des sachets avec de la poudre blanche. […] Un des assaillants tués, un géant, portait une ceinture avec des seringues et de la drogue. » L’enquête sur ce point, particulièrement difficile à mener, reste à faire. Mais il me semble hautement probable que l’usage de la drogue a joué un rôle majeur dans la sauvagerie dont ont fait preuve les auteurs des grands massacres de la fin des années 1990 en Algérie.

Habib Souaïdia avait d’ailleurs appris que l’Artane, médicament produit par les laboratoires suisses Sandoz, était commandé en grandes quantités par le ministère de la Défense algérienne pendant les pires années de la « sale guerre ». Et depuis, on a su que cette drogue, dont l’usage régulier à haute dose finit par provoquer une accoutumance presque toujours mortelle, était toujours consommée par d’anciens membres des forces de sécurité algériennes devenus SDF à Paris, comme l’a révélé en 2005 un article assez terrifiant de la journaliste Linda Bendali : « À peine arrivé à la caserne, en 1997, le jeune Walid, vingt-et-un ans, est embarqué pour une opération commando. Les heures passent à travers le Djebel. Le jeune appelé ignore sa destination. Des sous-officiers font circuler une gourde et des comprimés. Chacun se sert et passe au voisin. Walid fait comme tout le monde et découvre l’ivresse de celle que les soldats surnomment “Madame Courage”. Walid n’apprendra que plus tard le véritable nom de cette pilule-miracle : l’Artane, un psychotrope destiné à soigner la maladie de Parkinson. Ainsi drogués, les soldats se sentent invulnérables, surpuissants.
Pris d’hallucinations, ils débarquent euphoriques dans les villages où les cris des victimes des massacres résonnent encore. Le lendemain, ils ne gardent aucun souvenir, aucune image des atrocités qu’ils ont vécues, aucun flash des barbaries qu’ils ont commises. Cette douce inconscience a un prix : une forte dépendance. Très vite, comme nombre de ses compagnons. Walid avale de l’Artane tous les jours. Jusqu’à ne plus pouvoir s’en passer. Arrivé en France il y a quatre ans, aujourd’hui SDF, il n’a pas réussi à échapper à ses démons, ni à son enfer médicamenteux. »

À Alger, des rumeurs invérifiables affirment depuis des années que certains cercles du pouvoir encouragent toujours, voire promeuvent, l’importation de cette drogue de mort qui, avec bien d’autres, gangrène la jeunesse perdue des quartiers populaires.
Outre le profit qu’ils y trouveraient, ils y verraient désormais un moyen efficace pour détourner la colère majuscule de cette jeunesse. Au lieu de se tourner contre eux en se joignant aux autres secteurs de la société qui tentent d’organiser la révolte sociale, comme les syndicats autonomes – que nous sommes quelques-uns en France à soutenir, au sein du Comité international de soutien au syndicalisme autonome algérien (CISA) –, ces jeunes se perdent ainsi dans les stériles violences que décrit l’article d’El Watan. Cette réalité est certainement l’un des facteurs qui expliquent que la révolte sociale, dont les manifestations – émeutes urbaines et grèves à répétition – sont pourtant de longue date quotidiennes, ne débouche toujours pas en Algérie sur des mobilisations de plus grande ampleur, à l’image de celles d’autres pays du monde arabe, de la Tunisie à la Syrie.
Jusqu’à quand ? La drogue est sans conteste, au sens strict, un atroce et efficace « opium du peuple ». Mais en Algérie, l’extrême fragilité d’un système à bout de souffle pourrait bien être lourde de surprises…

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@danouni

Ces FAR ont dû oublier d'en prendre alors?
[www.youtube.com]
23 août 2014 18:19
COMPLÉMENT......AU......SUJET........DU......POST

les ...........Ravages ......en ........Algérie....... de......... « Mme COURAGE »…. [www.liberte-algerie.com]



Modifié 2 fois. Dernière modification le 23/08/14 19:19 par Danouni.
M
23 août 2014 19:00
Citation
Danouni a écrit:
COMPLÉMENT......AU......SUJET........DU......POST

Lien complémentaire sur les Ravages en Algérie de « Mme COURAGE »…. [www.liberte-algerie.com]

Plus intéressant avoir @danou

Ces FAR ont dû oublier d'en prendre alors?
[www.youtube.com]
23 août 2014 20:22
COMPLÉMENT......AU....POST : ....La toxicomanie en Algérie......des Statistiques Effrayantes

[www.yabiladi.com]
A
23 août 2014 20:27
"Madame courage" c'est le nom d'une drogue? moody smiley
23 août 2014 21:15
Oui........ c'est le ......nom algérien .......du .......Artane
A
23 août 2014 21:22
thanks je viens de lire c'est hard quand même. En même temps pas étonnant vu ce besoin récurrent du pouvoir algérien "d'endormir" le peuple...

Au fait pourquoi t'écris toujours avec des points? moody smiley
C'est du morse? Je suis sûr c'est un message secret grinning smiley
24 août 2014 07:04
@Andamo

Oui..........ce qu'il raconte ........est........ flippant......mais....quelques algériens sont au courant de cela

Le pire.....c'est .......qu'en définitive....ces soldats drogués par le pouvoir algérien......pour faire le sale boulot..........finissent .........fous ou SDF....livrés à eux mêmes.....le pouvoir algérien s'est servi d'eux et les a jetés comme de vieilles chaussettes

Tu comprends mieux maintenant avec qui .......le Maroc doit discuter......une bande de ripoux de la pire espèce
A
24 août 2014 14:29
Citation
Danouni a écrit:
@Andamo

Oui..........ce qu'il raconte ........est........ flippant......mais....quelques algériens sont au courant de cela

Le pire.....c'est .......qu'en définitive....ces soldats drogués par le pouvoir algérien......pour faire le sale boulot..........finissent .........fous ou SDF....livrés à eux mêmes.....le pouvoir algérien s'est servi d'eux et les a jetés comme de vieilles chaussettes

Tu comprends mieux maintenant avec qui .......le Maroc doit discuter......une bande de ripoux de la pire espèce

Je comprends, mais la première victime de ce régime reste le peuple. Le Maroc est assez grand pour ne pas se faire marcher dessus...
Ca fait de la peine sad smiley
24 août 2014 17:01
@Andamo

Ce post....avec d'autres montre ......aux Marocains...........l'hypocrisie....des dirigeants....FLN.....qui attaquent..... le Maroc......sur ...le..... Cannabis........de très loin.....moins nocif.......que ......les drogues DURES......que le FLN.....envoie vers le Maroc
A
24 août 2014 17:05
Oui, je suis pour la culture du canabis, c'est pas pire que l'alcool dont les plus grandes usines d'Afrique, sont en Algérie.
Ne serait-ce que pour les vertus médicinales et les recettes que cela engrange...
 
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