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Algérie un leader en Afrique
F
15 mai 2006 01:49
Sous l’impulsion du Président Bouteflika, l'Algérie se réapproprie son rôle de leader. Elle joue un rôle actif sans cesse plus important au niveau continental dans le cadre de l’Union Africaine et du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD), dont le chef de l’Etat est l’un des initiateurs.



Au niveau africain toujours, le président Bouteflika n’a pas cessé d’œuvrer à la paix entre l’Ethiopie et l’Erythrée. La signature, à Alger, en 2002 des accords de paix entre ces deux pays, sous les applaudissements de la communauté internationale avec à sa tête la secrétaire d’Etat américaine aux Affaires étrangères Mme Madeleine Albright présente à la cérémonie et l’Union européenne, sera une reconnaissance de plus pour le rôle clé joué par ce faiseur de paix dans la réconciliation interafricaine.



Au niveau méditerranéen, ensuite, l'Algérie a conclu sous la houlette du chef de l’Etat un Accord d’Association avec l’Union Européenne, le 22 avril 2001.



L’Algérie est devenue aussi un partenaire incontournable du G8, en prenant régulièrement part à ses Sommets, depuis l'an 2000. Tout comme c’est grâce à lui que l’Algérie a été reconnue comme partenaire-clé de l’organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) dans les affaires de sécurité dans le bassin méditerranéen, ainsi que son corollaire la lutte antiterroriste, notamment dans la région sahélo-saharienne. L’Algérie joue un rôle moteur dans le plan Pan-Sahel visant à assurer la paix et la sécurité et la lutte contre le terrorisme dans cette sous-région.



Parallèlement, le Président Bouteflika n’a de cesse de fournir des efforts pour rendre possible la poursuite de la construction de l'Union du Maghreb Arabe, sans pour autant se départir du sacro-saint principe du droit des peuples à l’autodétermination, notamment la cause sahraouie.



Au plan arabe, le sommet d’Alger de mars 2005, sera un tournant historique pour la Ligue Arabe dans son processus de modernisation et d’adaptation aux défis qui guettent le monde arabe. Le génie du président réussira à imposer une réforme dans les structures et les mentalités figées qui ont grevé le fonctionnement de cette organisation.

Avec sa reconduction pour un second mandat présidentiel, et fort des acquis indiscutables de son premier mandat, Abdelaziz Bouteflika convie le peuple algérien à un référendum sur son « projet de paix la réconciliation nationale », dont la tenue est prévue le 29 septembre prochain, et ce, afin de tourner définitivement la page noire du terrorisme en Algérie et de libérer toutes les énergies saines et productives du pays pour relever les défis du 3e millénaire.



Au passage, il convient de signaler les avancées réalisées par l’Algérie depuis peu grâce à la révision du code la famille, l’institutionnalisation de la lutte contre la corruption et la poursuite des réformes engagées.



Ceci n’est que l’ébauche d’une carrière vaste et riche d’un homme qui ne s’est jamais départi de son engagement pour la paix. Son action antérieure et son engagement actuel au plan interne et dans les principaux forums mondiaux, sont toujours articulés autour des adjectifs Paix et Réconciliation.



Des nations entières sont témoins de l’apport de cet homme à ce noble et juste combat planétaire. L’action de cet homme s’inscrit dans les jours et années à venir.
m
15 mai 2006 01:59
Tiens Cherif a changé de nom ?

Soit ils ont leur Cherif Bouzakraoui soit c'est notre Charif qui se déguise ou encore soit on se moque du voisin.

Je privilégie la troisième solution parce qu'au moins cela nous évite de dire que nous sommes les seuls à avoir un roi...

mag3
F
15 mai 2006 02:19
Pour«Une Algérie libre et heureuse»

Vendredi 14 Avril 2006
«L’Algérie mérite une place de leader sur la rive sud de la Méditerranée»
«Il était grand temps de clamer haut et fort à l’attention de l’Europe que l’Algérie est un pays puissant qui mérite une place de leader sur la rive sud de la Méditerranée», a annoncé mardi dernier lors d’une conférence de presse à Biskra, Mme Tokia Saïfi, ancienne ministre française, membre du Parlement européen et présidente de la Commission sécurité, politique et droits de l’Homme au sein de l’Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne.

En visite en Algérie, la représentante du Parlement européen n’a pas manqué de rappeler que «l’Union européenne et l’Algérie sont appelées à relever des enjeux importants», d’autant plus que l’Algérie a déjà signé l’accord d’association avec l’UE. L’Algérie est aujourd’hui plus forte que jamais, ce qui a d’ailleurs, «charmé» certains pays de la rive nord de la Méditerranée et bien d’autres. Cet intérêt s’est traduit par la multiplication des visites des chefs d’Etat et des hauts responsables des pays qui avaient, à un moment donné, «boudé» la destination Algérie.

Sur cette lancée, «l’hôte» de l’Algérie a précisé que «le message que j’ai porté aux responsables algériens est qu’ils ne dépendent d’aucune partie, et que l’Algérie a son poids sur la scène internationale, un pays qui possède d’immenses potentialités». Il est utile de préciser à cet effet que les réserves de changes de l’Algérie sont à un niveau jamais atteint au moins ces dernières années ; la cagnotte renferme plus de 60 milliards de dollars et ces réserves auraient pu être plus importantes si tous les autres secteurs roulaient au même rythme que celui de l’énergie. Ainsi, et afin d’atteindre cet objectif, le gouvernement a lancé un programme de relance économique et un second pour le soutenir, en consacrant à ce dernier un budget de 55 milliards de dollars. «Le problème financier ne se pose pas pour l’Algérie, contrairement à plusieurs pays qui ont grandement besoin de l’aide européenne et américaine», soulignera-t-elle.
«L’autre message que je suis venue transmettre aux responsables algériens dans le cadre de ma visite est que la France a tout à gagner à amorcer une dynamique de rapprochement de l’Algérie, ce qui est également le cas pour l’Algérie, d’autant, précise-t-elle, qu’il y a en France une importante communauté algérienne très attachée à son pays et qui suit, avec un grand intérêt, tout ce qui s’y passe.» Elle n’a pas omis d’ailleurs de citer «la réussite de nombre d’Algériens en France et qui souhaitent aider leur pays», mettant l’accent sur la nécessité de «procéder ensemble, à l’élaboration d’un plan d’ensemble pour servir l’intérêt de l’Algérie».
Par ailleurs, Mme Saïfi s’est recueillie, en compagnie de son frère, sur la tombe de son père dans la localité de Lichana (Biskra) et a assisté à plusieurs activités initiées par le comité de wilaya du Croissant-Rouge algérien.
Rappelons enfin que Mme Tokia Saïfi a déclaré dimanche dernier que sa visite en Algérie se fixe comme objectifs primordiaux d’«examiner les voies et moyens de la consolidation et la relance des relations avec les Français d’origine algérienne», outre la mission que lui a confiée le Parlement européen, consistant à jeter les passerelles de la coopération avec les partis politiques en Algérie et leurs groupes parlementaires.
b
15 mai 2006 11:52
Il est normal que l'algérie ait une place trés importante en afrique puisque c le 2ème pays le plus riche du continent.
I
15 mai 2006 12:31
L algérie,pays des leurres.
a
15 mai 2006 14:44
l'Algérie est effectivement sur un nuage sur le plan international, grâce à ses ressources en hydrocarbures. Les dirigeants algériens ne devraient pas oublier que ces mêmes pays les ignoraient à l'époque de la tragédie que l'on connaît, le baril de pétrole était encore aux alentours des 22$.
Ils devraient utiliser l'argent du pétrole pour des projets productifs afin de créer à long terme une alternative aux revenus tirés des hydrocarbures, qui représentent aujourd'hui 96 ou 98 %.
L'économie repose entièrement ou presque sur cette seule ressource, d'où un risque évident.
Enfin en tant que marocain, je souhaite que l'Algérie fasse le ménage au sein de la ligue arabe.
J'en ai marre que cette instance soit quasiment entre les mains des égyptiens ou plutôt de leur dictateur sanguinaire qui s'en sert pour se donner une certaine légitimité sur le plan régional et internationa, à défaut d'en avoir chez lui. Le siège se trouve en égypte et le secrétaire général de la ligue arabe est toujours un égyptien, il est temps de faire comprendre à Moubarak que l'époque de Nasser est révolue depuis longtemps.
Enfin si seulement l'Algérie cessait son soutient au Polisario, je suis sûr qu'elle y gagnerait davantage encore.
15 mai 2006 17:11
Leader en quoi ?
 
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