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ajouter de la misère à la misère...
f
5 mai 2010 14:01
En supprimant les aides aux familles pour absentéisme scolaire ne risque t'on pas d'aggraver encore plus la pauvreté des plus pauvres,ça va encore mettre de l'huile sur le feu?
5 mai 2010 14:14
sa va peu etre motiver les jeunes a se rendre en cours et au parents a etre moins laxiste
f
5 mai 2010 15:20
peut -être mais le décrochage scolaire chez un ado n'est pas facile à régler par des familles souvent monoparentales,quelles actions efficaces à mettre en prévention ?
@
5 mai 2010 15:43
Citation
gemia a écrit:
En supprimant les aides aux familles pour absentéisme scolaire ne risque t'on pas d'aggraver encore plus la pauvreté des plus pauvres,ça va encore mettre de l'huile sur le feu?

salam
mais non il ne l ai supprime pas ils les suspendent c tout mais c pas a l etat d eduquer les gosses
mais la c chaud je vois ke pas mal de parent en parlent aux sorties des ecoles smiling smiley
petite anecdote
je suis parent d eleve au college de mon fils
a la remise des bulletins pas mal de parents sont venus smiling smiley que d habitude y a meme pas 6 parents
et la j en ai vue pas mal
warda
f
5 mai 2010 16:52
Ce qui signifie que cette menace est entendue?
z
5 mai 2010 17:57
Citation
gemia a écrit:
En supprimant les aides aux familles pour absentéisme scolaire ne risque t'on pas d'aggraver encore plus la pauvreté des plus pauvres,ça va encore mettre de l'huile sur le feu?

Salam,

Oui on risque d'aggraver voir d'enfoncer des familles dans la misère , de plus cette loi n'apportera aucune solution concrète a ses jeunes qui décroche du milieu scolaire.

Aucun parent ne souhaite pas que son enfants réussissent à 'école et qu'il soit un bon élève.

Je pense que l'absentéisme doit être traité au cas par cas et chercher a comprendre ce qui ne va pas chez ses élèves et leur proposer des alternatives et non pas des sanctions.
f
5 mai 2010 18:04
Oui je pense qu'une certaine catégorie de parents est visée et que dire des familles aisés dont les enfants sont eux aussi décrocheurs et que la suppression des aides sociales ne représente pas de menace financière!

S'exprimer ainsi sur ce phénomène(sécher les cours a toujours existé)et trouver ce type de solution n'est pas réjouissant!
h
5 mai 2010 18:07
l'argent n'a rien avoir avec l'education de ses enfants ....

il faut arriver a dissocier ces deux choses ,
assalam o alykoum
@
5 mai 2010 18:31
salam
pk vs parlez de misere la je pije plus rien
alors si l etat dit on donne 200 euros par enfant ki va a l ecole
je vs assure ke les parents traineront les gosses a l ecole avec 40 de fievre
vs abusez la traiter cas par cas il le font pas pr les enfants handicapé (autiste..........)
mais vs allez voir ke sa va porter ses fruits en holland sa marche pk pas en france
warda
f
5 mai 2010 18:35
Ce qui est pernicieux surtout c'est la remise en cause des aides sociales en général et la montée de la politique de sanctions plutôt que la prévention!
z
5 mai 2010 19:51
Citation
@rosemarocaine@ a écrit:
salam
pk vs parlez de misere la je pije plus rien
alors si l etat dit on donne 200 euros par enfant ki va a l ecole
je vs assure ke les parents traineront les gosses a l ecole avec 40 de fievre
vs abusez la traiter cas par cas il le font pas pr les enfants handicapé (autiste..........)
mais vs allez voir ke sa va porter ses fruits en holland sa marche pk pas en france

Salam,

Mais qu'est ce que tu raconte à croire que les gens envoie leur enfants uniquement pour l'argent mais t'est consciente de ce que tu écris.

Pourquoi ne pas traiter au cas par cas au moins on serait d'où viens le problème et on pourrais adapter une solution a chacun.

"Les parents traineront les gosses à l'école" et que fais tu des parents qui travaillent tu leur propose quoi d'arrêter de travailler et d'emmener au collège leur fils de le récupérer à midi et a la sortie ?

Tiens lis cela;

L'UMP, par l'intermédiaire de Luc Chatel, rouvre le débat sur la suppression des allocations familiales pour les parents dont les enfants « sèchent » l'école. Il se déclare favorable à l'application d'une loi votée en 2006 autorisant cette suppression.

Le bref reportage diffusé sur France 2 au journal de 20 heures lundi laisse entendre que depuis de nombreuses années, aucun dispositif n'a permis de mettre fin à l'absentéisme scolaire. Cet absentéisme serait estimé à environ 5%.

Il aurait été judicieux que les journalistes évoquent les dispositifs nouveaux mis en place par les différents gouvernements récents pour proposer une réponse éducative et efficace à cet absentéisme.
La sanction n'est pas une solution

L'idée que ce gouvernement se fait des leviers qui permettraient d'agir sur un phénomène social a de quoi surprendre. A chaque problème sa sanction :

* des jeunes traînent dans la rue : couvre-feu
* des jeunes ne se rendent pas à l'école : fin des allocations
* téléchargement illégal : suppression administrative de l'accès à Internet
* « problème » du voile : interdiction de la burqa

Cette réponse systématique par la sanction à des questions de société est une manière de masquer l'incapacité du gouvernement à proposer de vraies réponses à des problèmes qui ne peuvent se résoudre par le simple fait d'interdire.
Un phénomène dans le contexte social

En ce qui concerne le problème de l'absentéisme scolaire, il est choquant de voir le ministre de l'Education faire porter aux individus, aux familles, la seule responsabilité d'un phénomène qui s'inscrit dans un contexte social. Faire peser sur l'individu la responsabilité d'un phénomène est l'aveu d'une impuissance politique à proposer une réponse.

Ce projet est d'autant plus surprenant qu'il se propose de priver des familles d'une allocation dans un contexte de crise économique. Ce n'est pas en privant les familles de ressources -qui servent à assurer leurs conditions de vie minimales- que l'absentéisme trouvera un début de solution.
Le jeune construit son identité sociale ailleurs

L'absentéisme scolaire est à mettre directement en lien avec le décrochage scolaire. Un jeune ne choisit pas le cœur léger d'hypothéquer son avenir, de se priver de diplôme. Ce n'est qu'au cours d'un parcours durant lequel le jeune se sent de moins en moins apte à réussir que l'absentéisme se construit.

L'école est un lieu social dans lequel les jeunes se construisent une identité. Cette construction s'effectue à travers la recherche de reconnaissance.

Quand le jeune perd l'espoir d'être reconnu en tant qu'être ayant de la valeur par l'institution, il investit cette énergie dans la recherche de la reconnaissance de sa singularité auprès de ses pairs. Il se construit alors en-dehors du système, à travers sa capacité à braver l'institution, à travers un détachement apparent vis-à-vis de l'échec qu'il vit.

S'apercevant que le déficit de connaissance l'empêche de s'investir à nouveau dans sa scolarité, il déserte les salles de cours.
Pas de plan politique pour la jeunesse

Le décrochage scolaire n'est en aucun cas une fatalité, il est la conséquence de l'absence de plan politique pour la jeunesse. Il est le résultat d'un manque d'investissement dans les dispositifs existants : école de la seconde chance, établissements publics d'insertion de la défense, classes et ateliers relais…

Il est la conséquence de l'absence de plan de prévention du décrochage scolaire au sein même des établissements. Je mène actuellement un projet qui propose une optique toute autre. Ce projet se construit autour de la présence d'éducateurs spécialisés aux seins des établissements scolaires.

Ces éducateurs, formés à la médiation au savoir, prendraient en charge, au sein des collèges, les élèves en difficulté. Cette médiation au savoir se propose de permettre aux jeunes de retrouver le sens de l'enseignement et une curiosité nécessaire.
Un relais entre l'école et la famille

Ces éducateurs auraient de plus pour tâche de travailler avec les parents autour de leur capacité à suivre la scolarité de leur enfant, de construire à partir des matières scolaires des temps d'échange. Chaque parent, indépendamment de son propre parcours scolaire, a la capacité d'apporter de la valeur ajoutée à ce que son enfant a appris à l'école.

La chaîne du savoir doit se construire dans une relation de relais entre l'institution et la cellule familiale. Les parents qui ont des enfants qui « sèchent » l'école ont avant tout besoin d'être restaurés dans leur rôle d'éducateur, d'être valorisés dans leur capacité à participer à l'éducation de leurs enfants. Tout projet tendant à stigmatiser ces parents et à les renvoyer à un échec dont ils seraient les seuls responsables serait par nature improductif.

Une réponse politique à la question de la déscolarisation doit se bâtir sur des projets favorisant la solidité de cette chaîne.

[www.rue89.com]
E
5 mai 2010 21:39
Il faut intéresser les jeunes, pas contraindre les familles!
mais il ne faut pas se voiler la face,il ya forcement des parents qui ont perdu l'autorité sur leurs enfants,et si on donne les moyens aux professionnels peut etre les choses vont changer ;on vit dans une société fliqué ;surveillé le moindre geste on réprime je dirai meme les bons payeur paye pour les mauvais;tous le monde crie fort il y a de la misère
[b]o"La grandeur d'une civilisation se voit à la manière avec laquelle elle traite ses animaux" GANDHI[/b]
m
5 mai 2010 22:07
Une action type accompagnement social serait plus adaptée à ce genre de problèmes. Un programme de "réintégration scolaire" avec étude au cas par cas,suivi, objectif à atteindre etc en parallèle avec un travail sur les parents qui auraient décroché de rôle parental.

La suppression des allocations ne servirait à rien d'un point de vue éducatif et risquerait en effet de faire plonger des familles qui sont déjà bien en difficulté.

Le gouvernement est vraiment à côté de la plaque sur toutes les réformes...

De nombreux postes vont être supprimés encore cette année dans l'éducation nationale. C'est de ce côté-là qu'il faut creuser pour résoudre les problèmes d'absentéisme et de violence à l'encontre des professeurs...

Les classes surchargées ne permettent pas à l'enseignant d'être assez disponible pour tout le monde...forcément il y a des laissés pour compte qui abandonnent un jour ou l'autre en entrant dans la spirale de l'absentéisme. L'Etat devrait aussi réfléchir à une réorganisation de l'emploi du temps scolaire en intégrant des créneaux de loisirs réguliers...ceci existe dans les pays voisins où l'après-midi est en général réservé au sport ou autres activités.
@
6 mai 2010 09:17
salam
c toujours la faute au gouvernement au sioniste et bla bla ......
la france sera tjr ke du social rien ke du social
moi je trouve aucune severité du coté de l education
warda
z
6 mai 2010 17:10
Citation
@rosemarocaine@ a écrit:
salam
c toujours la faute au gouvernement au sioniste et bla bla ......
la france sera tjr ke du social rien ke du social
moi je trouve aucune severité du coté de l education

Salam,

Qui a parlé de sioniste ? moody smiley
f
6 mai 2010 18:20
Les allocations ne sont pas une récompense!
@
7 mai 2010 09:08
salam
c parce ke j ai remarqué sur ce forum c tjr la faute aux autres
je suis d accord av toi les allocs c pas une recompense mais faut les merité
y en a au bled ils ont pas les allocs je vois pas pk ici on ferai pas pareil
warda
z
7 mai 2010 11:52
Citation
@rosemarocaine@ a écrit:
salam
c parce ke j ai remarqué sur ce forum c tjr la faute aux autres
je suis d accord av toi les allocs c pas une recompense mais faut les merité
y en a au bled ils ont pas les allocs je vois pas pk ici on ferai pas pareil

Salam,

Pourquoi tu nous parle du bled ? Franchement je ne vois pas du tout le rapport.

On ne rejette pas uniquement la faute sur le gouvernement ce qu'on demande c'est de pas sortir le baton a chaque fois que cela va mal cela ne résout pas le problème. Ce que tu reproche ici tu pourrais aussi le reproché au gouvernement c'est de mettre la responsabilité uniquement sur ses familles alors qu'il en a une aussi.

On demande simplement a ce que se problème d'absentéisme soit résolu avec le gouvernement et avec les parents afin d'offrir un avenir a ses jeunes. Est ce que tu peux le comprendre.
@
7 mai 2010 14:41
le rapport c k au bled y en a qui reussissent a alors ki n ont pas d allocs je vois pas ou est la misere vue le titre du post
le probleme d absenteisme pas mal de parents le voit alors pr ke les parents ne ferment plus les yeux faut toucher au porte monnai
alors si le gouvernement dois aider ce n est pas les jeunes qui sortent de l absenteisme c surtout les handicapés (autiste aveugles .....)
apres je suis d accord avec toi faut ke le gouvernement doit gerer sa avec des tuteurs des gens specialisé mais tjr avec les parents de l enfant mineur apres les mettre dans les centres de reeducation avec bien sur les parents ki paieront.
tu sais je suis aussi mere si sa se passait comme sa chez moi je me poserai la kestion ou j ai echoué
warda
7 mai 2010 15:15
Citation
gemia a écrit:
En supprimant les aides aux familles pour absentéisme scolaire ne risque t'on pas d'aggraver encore plus la pauvreté des plus pauvres,ça va encore mettre de l'huile sur le feu?


de quelle aide tu parleNo no
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