Voilà, mon environnement familial n'est pas très propice pour la religion (musique, médisance...). Par exemple j'ai deja quitte plisieurs fois où y avait causerie sur les autres et on m'avais fait la remarque. J'ai dis poutquoi et en retour j'ai eu des réactions plutôt négatifs comme si cela était normal. Surtout taleur on m'a un peu menacé genre si tu restes comme tu es ca va mal se finir pour toi... Que faire dans cette situation? On me reproche aussi d'être tete en l'air et tout (peut-être par rapport a la religion)
Salam Tu devrais peu etre essayer de parler avec ta famille ,un à un tranquillement pourqu ils comprennent ton point de vue sans automatiquement mettre en avant le côté religieux.Car tout le monde sais que la médisance est un vilain défaut ,c est une question d éducation .tu devrais d abord mettre en avant ces valeurs morales,le respect parce que Aujourd hui la religion fait peur à cause du terrorisme Ainsi ta famille verra que tu as des principes et des valeurs ,ce qui ne contredit pas le dine, Apres tu sais tu ne peux pas changer tout le monde et au même rythme que toi,la vie est ainsi Chacun est responsable de ses choix et en payera le prix lors du jugement dernier Ne te brouille pas pour Ca avec ta famille,tu leur dis que tu respecteras leur choix et qu ils doivent en faire autant pour toi,mais parle tranquillement et sois patiente
la meilleure façon est de te justifier en parlant avec douceur avant de les quitter.
Par exemple, s'il y a de la médisance, tu leur dit avec douceur que tu n'aimes pas entendre dire du mal sur quelqu'un comme tu n'aimes pas entendre dire du mal sur eux.
Surtout il faut le dire avec douceur (pas forte, pas sur un mauvais ton), sinon ils vont le prendre mal.
Salam Aleykoum, je n'ai pas vraiment compris ton message donc je ne sais pas si je vais t'être d'une grande aide vue mon interprétation. Si ta famille est un minimum croyante rappelle leur les hadiths du prophète ou des versets du Coran sur le bon comportement ou autre ainsi tu les aide à éviter de pécher etc, j'ai bien peur que tu sois obligé de leur faire la remarque lorsqu'il y a médisance même si cela leur déplaît. Car médire peu tout comme médire beaucoup est tout aussi interdit. (je te laisse des paroles du prophète en annexe de mon message pour illustrer mes paroles). Il faut que tu réagisse face à leur mauvais comportement ainsi tu les fera peut être changé et dans le cas contraire ils seront en perdition, toi tu n'aura rien perdu. Dit leur que tout ce que tu dis est pour leur bien et qu'à leur mort ils n'auront pas d'intercesseur . Personne n'est parfait, loin de la. Tu sais cela fait des annees que mon pere et sa famille se querelle sans réconciliation, frères et soeurs sont dans le pêchés, rompre les liens du sang est très grave c'est ce que je lui répète sans cesse, en plus de ses prières retardées, de ses mauvaises paroles parfois etc sa le vexe énormément, sa l'énerve parfois mais je le lui dit pour son bien. Un jour je me suis lâché, malgré la peur de sa reaction, j'étais en pleurs tout en lui disant ses 4 vérités pendant plus d'une trentaine de minutes et je peut te dire que sa l'a fait réfléchir, il n'a pas dormi cette nuit la. Que ta famille change ou pas tu aura fait le bon choix et agit dans le sentier d'Allah en les conseillant. Bref courage à toi, en annexe je te laisse quelques ptits trucs que tu pourra citer à ta famille (seulement au sujet de la médisance). De nos jours beaucoup médisent malheureusement sans savoir ce que cela va leur coûter. Bonne soirée !
Annexe: le prophète Muhammad(s) a défini la médisance comme étant le fait de dire de l’autre ce qu’il n’aimerait pas entendre : « Et si ce que qu’on dit est vrai ? » Le Prophète ajoute : « Si c’est vrai ce que tu dis de lui, c’est bien cela la médisance, sinon c’est la calomnie ». Une femme a rendu visite au Prophète et lorsqu’elle s’est levée pour sortir, Aicha a fait un geste au Prophète pour dire qu’elle est petite de taille. le Prophète répond à Aicha qu’elle a commis le péché de la médisance. La médisance est un péché grave. Allah compare le péché de la médisance à celui qui mange la chair de son frère mort. Dans son discours d’adieu, le Prophète a dit : « Vos sangs, vos biens, vos honneurs sont inviolables, aussi inviolables que ce jour-ci dans ce mois-ci dans ce lieu-ci ». « Ô vous qui avez cru avec la langue et non pas avec le cœur, ne médisez pas des musulmans et ne recherchez pas leurs défauts car celui qui recherche leurs défauts, Dieu recherchera son défaut et le dévoilera dans son foyer même ». « Lors de mon ascension au ciel, j’ai vu des gens ayant des griffes en bronze avec lesquels ils se lacéraient leurs visages et leurs poitrines. J’ai interrogé Gabriel : « qui sont ces gens ? » Il m’a dit : ce sont ceux qui mangent la chair des gens et qui offensent leurs honneurs ». « Des femmes faisaient le jeûne, mais elles passaient tout leur temps à médire des gens ! Quelqu’un en a parlé au Prophète qui les convoqua. Il leur demanda de vomir. Elles vomirent du pus, de la chair et du sang. Le Prophète a dit : « Ces deux femmes font le jeûne pour ce qui est licite et elles se sont permises ce qui est illicite. Elles ont mangé la chair des gens avec leur médisance ». D’après le Prophète : « La médisance est plus grave que l’adultère pour la simple raison que Dieu accepte le repentir de celui qui commet l’adultère alors que celui du médisant n’est pas accepté avant que la victime lui pardonne. » Un jour le Prophète a vu en passant le cadavre d’une bête. Il dit à ses compagnons : « Mangez-en ! » Ils dirent : « Comment peut-on manger un cadavre infecte, puant ? » Il dit : « Ce que vous avez mangé comme chair de votre frère est plus infecte que cela ». « L’usure comporte soixante-dix variantes, la plus simple se compare à l’inceste de quelqu’un avec sa mère. La pire des usures est d’attenter à l’honneur d’un musulman » Aicha a critiqué une femme devant le Prophète. Celui ci lui dit : « vomis ! » Aicha raconte qu’elle a vomi un morceau de chair. « L’homme recevra son livre publié, il dira : « Mon Seigneur : où sont mes bonnes actions, j’ai fait telle ou telle chose et elles n’y figurent pas. » Dieu lui dira : « Elles ont été effacées à cause de la médisance ». Ce que le médisant récolte : Il commet un péché pire que l’usure et l’inceste ; il mange la chair de son frère, ou celle d’un cadavre infecte, ce qui peut entraîner comme conséquences la nullité de son jeûne, sa faillite en matière de culte, c’est-à-dire toutes ses bonnes actions vont profiter à ses victimes en réparation des torts qu’il leur a commis, sans compter le châtiment de la tombe qu’il subit avant le châtiment final de l’Enfer.
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