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salam, voilà mon mari ne veux pas acheter un mouton pour le aid alors que nous avons les moyens hamdouallah pour en acheter? que dois-je faire? est-ce haram pour moi si on ne sacrifie pas de mouton ?
merci de me répondre

c'est le mari qui prend ses responsabilités pour ce genre de question.

la femme peut l'inciter a accomplir cette sunna tres recommandée, pour ceux qui ont les moyens.

dis lui que c'est important qu'il accomplisse cette sunna.


il est dit dans le coran :" pris et sacrifie " c'est un ordre d'allah d'aller prier le jour de l'aid et sacrifier un mouton.

discute avec lui tranquillement, et si il veut toujours pas. il est le seul engagé envers allah.
mais ne transforme pas ces moments de fete, en dispute de couple.

salam merci d'avoir répondu, je discute avec lui mais il ne veux rien savoir comme je travail aussi j'ai fait un don il y a quelque instant pour l'achat d'un mouton pour la palestine sans lui dire, car il m'autorise a travailler et me laisse mon salaire donc voilà j'espère qu'en faisant cette acte je n'ai pas fait quelquechose de mal je ne veux pas le désobeir, mais voilà c'est pour moi une fête très importante.
merci beaucoup
salam

ton salaire t'appartient a toi toute seule, .. tu en fais ce que tu veux, ..

qu'allah accepte nos actions, nos efforts et nos intentions .

amine merci beaucoup

salam

son salaire lui appartient certe, mais ne doit elle pas dire a son mari se qu elle fait avec??? est ce un mensonge dans un acte qui est censé plaire a Allah?

Citation
rajaouia a écrit:
salam

son salaire lui appartient certe, mais ne doit elle pas dire a son mari se qu elle fait avec??? est ce un mensonge dans un acte qui est censé plaire a Allah?

je sais pas si elle a menti sur cet acte ... mais elle est pas obligée de lui en parler. donner l'aumone est un acte personnel, qui est a caché. pour pas tomber dans l'orgueil.


le mari n'a pas a prendre l'argent de sa femme. c'est a lui seul de vieillir au confort de sa famille.

la seule chose ou la femme a besoin de demander l'avis de son mari c(est quand elle veut jeuner un jour surérogatoire.

salam
sje n'ai pas si menti sur cet acte ... mais je lui en ai pas parler, vu qu'il ne me demande pas ce que je fais avec mon argent. mais si il me pose la question je lui dirai, comme je les dit je ne veux pas lui désobeir mais en m^me temps je veux suivre la sunna de notre prophete (sws), et effectuer un maximun d'actes pour plaire à Allah.

Salam Habib,

merci, tu m'apprends quelque chose que j'ignorais.

Mais est ce que tu sais expliquer davantage pourquoi faut -il demander l'avis du mari pour le jeune surérogatoire?

Si tu as des sources, n'hésites pas...

Merci encore.

Citation
habib75 a écrit:

la seule chose ou la femme a besoin de demander l'avis de son mari c(est quand elle veut jeuner un jour surérogatoire.

Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/11/09 17:17 par nadia_maghrebiia.

Citation
nadia_maghrebiia a écrit:
Salam Habib,

merci, tu m'apprends quelque chose que j'ignorais.

Mais est ce que tu sais expliquer davantage pourquoi faut -il demander l'avis du mari pour le jeune surérogatoire?

Si tu as des sources, n'hésites pas...

Merci encore.

Citation
habib75 a écrit:

la seule chose ou la femme a besoin de demander l'avis de son mari c(est quand elle veut jeuner un jour surérogatoire.

Abou Hourayra (P.A.a) a rapporté que le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : «La femme mariée n'observe le jeûne en présence de son mari sans sa permission». (Rapporté par al-Boukhari, 5195 et par Mouslim,1026)

La version d'Ahmad (9812) se présente ainsi: «La femme mariée ne peut jeûner un seul jour en présence de son mari sans sa permission, à moins qu'il ne s'agisse du jeûne du Ramadan» (Déclaré bon par al-Albani dans Sahihi at-Targhib (1052)

Selon an-Nassai', il s'agit ici du jeûne surérogatoire recommandé qui n'a pas un temps déterminé. L'interdiction ainsi formulée est ferme selon nos condisciples. Cela est dû au fait que l'époux a le droit de jouir de son épouse tous les jours. Ce droit doit être exercé immédiatement à la demande. Aussi n'est il pas permis de l'en priver pour un acte surérogatoire ou obligatoire mais pas exigé immédiatement«». Commentaire de Mouslim,7/115.

Si la femme en question est entrée en jeûne sans l'autorisation de son mari, ce dernier a le droit de l'inviter au lit et elle a alors l'obligation de le suivre. Si elle avait commencé le jeûne avec son consentement, il n'a pas le droit d'y porter atteinte. Si toutefois , il insiste, il est préférable qu'elle le suive. Cheikh Ibn Outhaymine (Puisse Allah lui accorder Sa la miséricorde) a dit: « Si une épouse se met à jeûner à titre surérogatoire avec la permission de son mari, il n'est pas permis à celui-ci de gâter le jeûne de son épouse après la lui avoir permis. Mais, si, dans ce cas où elle observe un jeûne surérogatoire, il l'invitait au lit, serait il préférable qu'elle maintienne son jeûne ou réponde favorablement à son mari? La deuxième alternative est meilleure. Qu'elle réponde à son mari puisque le fait de donner satisfaction au mari est une prescription obligatoire alors le jeûne surérogatoire n'est que recommandé. En outre, si elle refuse de s'offrir à lui en dépit de son fort désir, il pourrait lui en vouloir, ce qui peut avoir une incidence négative sur la ménage.» Madjmou' fatawa Ibn Outhaymine (21/174)

Re-Salam,

Merci Habib pour les sources,

Barakellahofik.