Le Maroc aura réussi à dynamiter l'image du pretendu criminel chef du Polisario en judiciarisant son cas. Tous le gouvernement est eclaboussé par l'affaire Ghali. Tous les ministres, chefs de cabinets, generaux, hauts fonctionnaires defilent comme une bande de malfaiteurs dans le bureau du juge: la malediction divine pour avoir accordé protection à un violeur, criminel de guerre, assassins, et porteurs de faux documents d'identité. Ils reflechiront à deux fois dorénavant avant d'interagir avec le Polisario et son parrain mafieux le pouvoir algérien.