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Actu d'agadir
h
3 mars 2010 15:24
salam alykoum,



Agadir/Hay Mohammadi

Trop de ratés dans la valorisation

· Le futur centre urbain transformé en dortoir

· Insuffisance des équipements et forte densité des constructions


L’aménagement de Hay Mohammadi à Agadir se poursuit. Les immeubles ne cessent de fleurir ces toutes dernières années sur ce site. Ce qui devait cependant devenir la zone d’urbanisation du futur d’Agadir, n’est pour le moment qu’un nouveau quartier dortoir de plus dans la station balnéaire et loin de ce que l’on imaginait au moment de son lancement.
Pourtant ce site, d’une assiette foncière d’envergure (465 ha), un terrain domanial à l’origine, avait fait l’objet d’un concours d’idées. Considéré comme l’une des plus importantes opérations d’aménagement urbain dans le Royaume, on voulait ce qu’il y avait de mieux pour cette future ville destinée à terme à abriter 100.000 habitants. Aussi, l’Etat n’avait pas lésiné à la dépense pour l’équipement de la zone. Estimé à plus d’un milliard de DH, le coût global de l’opération d’équipement de cette zone a été financé à hauteur de 577 millions de DH par un prêt du Fonds arabe de développement économique et social (Fades).
Dommage que le résultat attendu sur le plan valorisation soit pour le moment décevant. De l’avis d’un architecte «le plan d’aménagement de la zone n’a pas été respecté par les promoteurs immobiliers qui ont investi dans le site, notamment au niveau du mail central». Pour un acteur du bâtiment, la mixité
sociale n’a pas été bien réfléchie et a des retombées négatives sur la valeur de ce qui se positionne comme étant le haut standing sur les lieux.
De son côté Tariq Kabbage, maire de la ville, dénonce à qui veut l’entendre la trop forte densité des immeubles implantés aujourd’hui dans la zone. «Le plan d’aménagement retenu ne prévoyait pas un Cos et un Cus aussi élevés», avance l’élu. Il déplore de même la construction d’ensembles immobiliers aménagés de manière horizontale semblables à des HLM. «A un moment où on a arrêté de faire de tels blocs en Europe, les promoteurs s’y lancent ici», regrette Kabbage.
La Commune a cependant sa responsabilité dans le devenir de cette zone. C’est tout de même cette administration qui délivre les autorisations de construire et les permis d’habiter.
Les responsables communaux préfèrent rejeter la responsabilité sur la société Al Omrane. En effet, l’opérateur public est souvent montré du doigt par les élus en raison du fait qu’il est devenu le prometteur grossiste de terres de la zone suite à l’absorption de la Snec (Société nationale d’équipement et de construction) qui était en charge en 2000 de ce programme. «Le problème est au niveau de la valorisation et la qualité du bâti. Au point de vue infrastructures, il est possible de se rattraper et nous préférons attendre la fin des chantiers. Mais pour ce qui du respect des plans d’aménagement, cela relève plutôt de la Commune qui est en charge du suivi des chantiers», indique-t-on du côté d’Al Omrane.
Qui est responsable ou qui ne l’est pas de la situation actuelle de cette zone? Il serait vain aujourd’hui de chercher à identifier l’origine des loupés.

Infrastructures



De l’avis d’observateurs, il serait plus judicieux aujourd’hui de parer au plus urgent, à savoir la qualité du bâti et les équipements encore bien rares sur place alors que des milliers d’appartements, des centaines de maisons sont construites et achevées sur les lieux, encore sans écoles, sans dispensaires, sans commerces de proximité et sans transport urbain. Le programme, en fait, prévoit la réalisation de 66 projets socio-collectifs: écoles, centres de santé, terrains de sport, lieux de culte, centres culturels, maisons de jeunes, etc. Mais où sont-ils aujourd’hui alors que des personnes vivent déjà sur place et des milliers d’appartements sont déjà aménagés ? On a du mal à imaginer comment vivront bientôt toutes ces familles qui ont investi dans la zone. Et là tout le monde est responsable, élus, institutionnels comme secteurs privés.

De notre correspondante,
Malika ALAMI
assalam o alykoum
h
3 mars 2010 15:49
(...)

Citation
a écrit:
Dans le Souss-Massa-Drâa, le Souverain a nommé Mohamed Boussaid, wali de la Région et gouverneur de la préfecture d’Agadir Ida Outanane. C’est l’occasion pour l’ex-ministre du Tourisme de démontrer la justesse de sa vision pour le développement du secteur dans la station balnéaire. Et aussi d’instaurer le climat de confiance qui manquait entre autorités et élus.

(...)

leconomiste.net
assalam o alykoum
h
3 mars 2010 15:57
ne convention de financement de 20 millions de dirhams, portant sur le remplacement de 197 barques sinistrées à Agadir à cause des intempéries du 18 février dernier, a été signée mardi à Rabat

En vertu de cette convention, signée entre le ministère de l'Economie et des Finances et le ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime, d'une part, et la Chambre des pêches maritimes de l'Atlantique-Centre, d'autre part, il sera procédé à l'acquisition de 197 barques neuves équipées de moteurs et engins de pêche, par voie d'appel à la concurrence et à leur mise à la disposition des bénéficiaires.

L'enveloppe budgétaire mobilisée dans le cadre de cette opération sera puisée dans le Fonds de développement de la pêche maritime.

La Chambre des pêches maritimes de l'Atlantique-centre se chargera d'accompagner la mise en place des mesures prises dans le cadre de cette convention. Elle se chargera entre autres de s'assurer de l'engagement par les propriétaires concernés des procédures nécessaires auprès des assurances afin de garantir leur indemnisation.

Le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch, a indique, à cette occasion, que le gouvernement, partant de l'intérêt qu'accorde S.M. le Roi Mohammed VI au développement de la pêche artisanale et des enjeux socio-économiques liés à ce segment important de la pêche, s'est mobilisé pour venir en aide aux pêcheurs sinistrés.

Il a, par ailleurs, souligné l'importance du secteur de la pêche artisanale, qui compte 15.000 barques et assure 45.000 postes d'emploi directs, mettant l'accent sur le rôle des Chambres de la pêche maritime, en tant qu'interlocuteur du gouvernement qui veille à résoudre les problèmes des pêcheurs.

Pour sa part, le ministre de l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar, s'est réjoui des mesures d'urgence prises pour aider les personnes sinistrées, précisant que cette convention permettra la modernisation de 10% de la flotte des barques artisanales de la région d'Agadir.

Cette opération permettra l'acquisition de barques respectant les normes de sécurité et de qualité, a indiqué, de son côté, le président de la Chambre des pêches maritimes de l'Atlantique-centre, Abderrahmane Serroud.

Elle permettra également à 700 pêcheurs artisanaux de reprendre leurs activités dans un délai maximum de deux mois, a-t-il ajouté.

Les fortes intempéries ayant touché la région Agadir le mois dernier ont provoqué la dérive de 11 chalutiers immobilisés dans le port de la ville depuis plusieurs années, ce qui a entrainé la destruction de plusieurs barques de la pêche artisanale.

Présidée par MM. Mezouar et Akhannouch, la cérémonie de signature de cette convention s'est déroulée en présence du ministre chargé des Affaires économiques et générales, Nizar Baraka.
assalam o alykoum
h
3 mars 2010 16:01
Il y a 50 ans, la terre tremblait à Agadir, au Maroc. C’était le 29 février 1960. La magnitude de la secousse était de 5,7 sur l’échelle de Richter, mais à l’époque, cela a suffi pour raser presque l’intégralité de la ville. 15 000 personnes ont perdu la vie dans la catastrophe. Depuis, tout a été reconstruit. Et aujourd’hui, Agadir est surtout connue pour ses températures clémentes et ses hôtels. Mais la population, elle, n’oublie pas.


RFI.FR
assalam o alykoum
a
3 mars 2010 23:07
Bonsoir à toutes et à tous

Personnellement je trouve très regrettable que les responsables de l'aménagement du territoire n'ont retenu aucune leçon de se qui se faisait en France dans les années 60/70 (un échec total sur la plan de l'urbanisme).
Pour Agadir et ailleurs ils font n'importe quoi,un maximum de concentration de logements qui seront invivable dans peu de temps.
Pas de schéma directeur avec une organisation secteur par secteur en partant du centre ville actuel vers l'extérieur.
On construit de chaque côté de la voie rapide sans les aménagements nécessaires à la vie du quartier.
Les plus fautifs à mes yeux se sont les MRE qui ont vécu au VAL FOURRE ou aux BOSQUETS ou à AULNAY 3000, qui ont acheté au prix fort au Maroc dans des quartiers encore pires que ceux cités plus haut.
e
4 mars 2010 13:21
Citation
akounkou a écrit:
Bonsoir à toutes et à tous

Personnellement je trouve très regrettable que les responsables de l'aménagement du territoire n'ont retenu aucune leçon de se qui se faisait en France dans les années 60/70 (un échec total sur la plan de l'urbanisme).
Pour Agadir et ailleurs ils font n'importe quoi,un maximum de concentration de logements qui seront invivable dans peu de temps.
Pas de schéma directeur avec une organisation secteur par secteur en partant du centre ville actuel vers l'extérieur.
On construit de chaque côté de la voie rapide sans les aménagements nécessaires à la vie du quartier.
Les plus fautifs à mes yeux se sont les MRE qui ont vécu au VAL FOURRE ou aux BOSQUETS ou à AULNAY 3000, qui ont acheté au prix fort au Maroc dans des quartiers encore pires que ceux cités plus haut.

Bonjour,

A Agadir, il ne s'agit pas de barres ni de tours, mais d'ensembles immobiliers, autrement appelés résidences.
Des blocs de bétons, certes, mais différemment conçus. Ce qui reste le moyen le plus évident pour répondre à une demande croissante.

Il existe bien évidemment un schéma directeur, avec une organisation secteur par secteur.

Ce qu'il reste à déplorer, c'est le manque d'infrastructures, liées à cet accroissement.

Et cela peut malheureusement s'expliquer par le facteur rentabilité. Aux autorités de prendre leurs responsabilités.

Par ailleurs, la corruption a encore de beaux jours devant elle... si sur le papier ces ensembles disposent d'agreables espaces verts, il n'en est rien sur le terrain..
Mon amour...
h
4 mars 2010 14:49
Agadir poursuit sa mise à niveau

· En quatre ans, elle a changé de visage

· Cependant, des incohérences urbanistiques persistent

· La cité toujours en manque d’activités culturelles


Espaces verts, réaménagement des voiries et du front de mer, nouvelle identité visuelle… Agadir s’est véritablement métamorphosée ces quatre dernières années. Le programme de mise à niveau entamé en 2006 par la commune urbaine est dans sa phase finale. Et la nouvelle corniche est indéniablement une des réalisations des plus importantes de ce chantier de mise à niveau d’envergure d’une valeur global d’un milliard de DH.
Tout le monde se souvient comment, dès son lancement, ce chantier n’avait laissé indifférent personne. Les hôteliers, notamment du front de mer, s’étaient levés en bouclier contre ce projet. Il a fallu l’intervention de l’ex-wali, Rachid Filali, et de Tariq Kabbage, président du conseil municipal, pour les sensibiliser à la valeur ajoutée qu’apportera cette promenade à la destination d’une manière globale, particulièrement aux établissements d’hébergement touristique en bordure de mer.
Certes, les travaux avaient eu des effets négatifs sur l’activité touristique. Mais tout cela n’est plus aujourd’hui évoqué que pour expliquer le pourquoi de la baisse de l’activité touristique à une période donnée. Les hôteliers tout comme les autres acteurs du tourisme s’accordent à dire que finalement le projet est un atout pour Agadir. Dans la ville, d’autres projets ont contribué à rehausser l’aspect urbain de la destination.
Il s’agit notamment du réaménagement de l’entrée du port et des voies menant à Agadir Oufella. Ce site a également fait l’objet de travaux de manière à réhabiliter ce patrimoine du passé qu’est la Kasbah. Les quartiers périphériques n’ont pas été oubliés dans ce programme de mise à niveau. Il reste cependant beaucoup à faire car la gestion d’une ville n’est pas une mince affaire.
C’est comme dans une maison, où le ménage est une tâche ingrate qu’il faut chaque jour renouveler. Mais la commune urbaine dit être confrontée à une insuffisance en ressources humaines. Tariq Kabbage, maire de la ville, refuse cependant de déléguer la gestion de l’éclairage public tout comme celle des ordures. Et ce, pour des raisons de finances publiques. Sur le plan du ramassage des déchets, le service est réalisé d’une manière globale plutôt satisfaisante. Difficile tout de même de faire face à toutes les charges par manque de ressources humaines. Aussi, on déplore le manque de propreté dans certains endroits dans la ville. «Et les toilettes publiques sont rares…», regrette un citoyen.
Les Gadiris montrent du doigt également l’absence d’animations culturelles régulières. «La commune a aussi un rôle à jouer sur ce plan, mais pour l’heure, son programme en la matière est bien maigre», constate un habitant de la station balnéaire.
Les dérapages en matière d’identité visuelle dans la ville sont aussi des incohérences que regrettent beaucoup de citoyens d’Agadir. Ici, des rues sans indications d’adresse, ailleurs, des maisons aux façades colorées alors que le blanc est la couleur retenue pour la ville, sans oublier le non-respect flagrant du plan d’aménagement dans certains quartiers résidentiels. Si les élus de la commune urbaine d’Agadir dénoncent et déplorent ces irrégularités, il n’en demeure pas moins qu’ils sont responsables du respect des dispositions urbanistiques en vigueur dans la ville. «C’est tout de même la commune qui délivre les autorisations de construire et les permis d’habiter», souligne un institutionnel.

Dérapages


L’insuffisance du suivi par les services communaux en charge de la mission durant la période de construction encourage les maîtres d’ouvrage à dépasser ce qui est autorisé sur plan. «On verra bien au moment de l’autorisation», se disent-ils. Pour limiter ces dérapages, la solution serait, bien sûr, un suivi plus rigoureux de la part des responsables des chantiers au niveau communal. Mais, là encore, on invoquera l’insuffisance des ressources humaines. Les élus avanceront aussi que l’autorité ne veille pas de son côté à l’exécution des décisions d’arrêt de chantiers en infraction. A qui incombe la faute alors? Le développement urbain et le respect des dispositions en la matière sont en fait de la responsabilité de tous et le citoyen en fait partie.

De notre correspondante,
Malika ALAMI

[www.leconomiste.com]
assalam o alykoum
E
6 mars 2010 15:09
ce qui me fait peur c'est qu'un jour agadir tremblera a nouveau !!!mes parents on garder des souvenirs inoubliable
[b]o"La grandeur d'une civilisation se voit à la manière avec laquelle elle traite ses animaux" GANDHI[/b]
h
8 mars 2010 13:24
Installation du nouveau wali de la région
Le nouveau wali est appelé à travailler avec détermination et avec beaucoup de dévouement et d'abnégation.

Taib Cherkaoui, ministre de l'Intérieur, a dernièrement présidé la cérémonie d'installation du nouveau wali de la région SMD et gouverneur de la préfecture d'Agadir-Idaoutanane, qui n'est autre que Mohamed Boussaid armé d'un profil colossal et d'un parcours florissant et doté de vertus le qualifiant à assumer la responsabilité d'une région de telle ampleur, le SMD en l'occurrence.


Ont assisté à cette rencontre cérémoniale Mohamed Salah Tamek, wali, chef du cabinet du ministre de l'Intérieur, les gouverneurs des provinces et préfectures de la région, les élus, le corps de magistrature et les acteurs et intervenants économiques de la région. A cette occasion, le ministre a procédé à la lecture du dahir de nomination de M. Boussaid dans son nouveau poste de wali de la région SMD et de celui de gouverneur de la préfecture d'Agadir-Idaoutanane. Et au terme d'une allocution qu'il a prononcée à la même occasion, il a rappelé l'intérêt particulier qu'attribue Sa Majesté le Roi Mohammed VI à cette région et à ses habitants et a salué l'attachement et la fidélité dont ces derniers font preuve envers leur Roi et envers leur patrie. La biodiversité et le fort potentiel dont jouit cette région en matière, notamment, du tourisme, de l'agriculture, d'industrie et de pêche maritime, a-t-il évoqué, la qualifient pour jouer un rôle important dans l'attraction d'investissements, dans la réalisation du développement économique et dans la restauration de la paix sociale.

Le ministre a insisté sur l'intérêt dont devrait s'attribuer le secteur agricole, étant l'un des piliers fondamentaux, un levier de développement économique et social de la région et un générateur d'emplois et vu sa large contribution à l'augmentation des importations nationales, en matière notamment de fruits et légumes, d'agrumes et de maraîchage.
Outre le potentiel forestier dont jouit cette région et qui lui permet de faire preuve de bonne résilience contre la désertification, représentant un défi majeur menaçant en perpétuité l'équilibre écologique au niveau de la région. L'exploitation optimale et le bon investissement de ce potentiel, a-t-il affirmé, demandent plus d'efforts dans le domaine d'irrigation, du développement rural et de modernisation du secteur des agro-industries, étant l'un des facteurs d'attraction d'investissements, de génération d'emplois et de lutte contre l'exode rural.

Les atouts naturels et climatiques et l'infrastructure hôtelière dont se dote cette région en ont fait une destination touristique. Et en vue d'appuyer à ce secteur, au niveau de cette région, a-t-il ajouté, une multitude de projets, dont les retombées sur la population y évoluant ne seraient que bénéfiques, ont été programmés, entre autres, des parcs, des stations touristiques, des unités hôtelières, des résidences touristiques, les ports et espaces estivaux de plaisance, dont le projet grandiose de la station balnéaire de Taghazoute, bénéficiant de l'attention particulière de Sa Majesté. Pour ce faire, a-t-il évoqué, le nouveau wali est appelé à travailler avec détermination et avec beaucoup de dévouement et d'abnégation, en veillant en personne à la réalisation des chantiers touristiques grandioses et de multiplier les efforts qui devraient, impérativement, converger dans le cadre de l'approche participative, avec tous les acteurs et intervenants économiques. Et ce vu le rôle important que puisse jouer ces infrastructures dans le renforcement de l'arsenal infrastructurel touristique, dans l'attraction d'investissements, de la génération d'emplois et de la promotion du tissu économique au niveau de cette région. Le ministre a, ainsi, rappelé le rôle prépondérant que jouera l'autoroute liant Marrakech à Agadir, dans la création d'une dynamique économique importante et, également, dans l'accélération du rythme de développement au niveau de cette région, en particulier et au niveau des régions du sud du Royaume en général.

(...)

lematin.ma
assalam o alykoum
11 mars 2010 09:49
CES VRAIMENT MOCHE YAHE MOHAMMADI TOUT CES HLM QUI POUSE COMME DES CHAMPINION FORTE CONSTRATION DE PERSONNE PAS DE TRAVAIL EGALE DELINQUANCE INSECURITE
h
14 mars 2010 18:13
Citation
charles1 a écrit:
CES VRAIMENT MOCHE YAHE MOHAMMADI TOUT CES HLM QUI POUSE COMME DES CHAMPINION FORTE CONSTRATION DE PERSONNE PAS DE TRAVAIL EGALE DELINQUANCE INSECURITE

la difference par rapport a la france, .. est que ce quartier est plutot pour les familles de classe moyenne, les prix d'achats sont plutot elevés .. c'est pas fait pour la classe populaire
assalam o alykoum
14 mars 2010 19:50
Citation
habib75 a écrit:
(...)

Citation
a écrit:
Dans le Souss-Massa-Drâa, le Souverain a nommé Mohamed Boussaid, wali de la Région et gouverneur de la préfecture d’Agadir Ida Outanane. C’est l’occasion pour l’ex-ministre du Tourisme de démontrer la justesse de sa vision pour le développement du secteur dans la station balnéaire. Et aussi d’instaurer le climat de confiance qui manquait entre autorités et élus.

(...)

leconomiste.net

l ancient wali doit rendre des compt pour ca gestion a agadir car ces trop faciles de partir sans rendre de compt
maitre un villa du domaine en ce non ect ect
h
14 mars 2010 20:22
Citation
charles1 a écrit:
Citation
habib75 a écrit:
(...)

Citation
a écrit:
Dans le Souss-Massa-Drâa, le Souverain a nommé Mohamed Boussaid, wali de la Région et gouverneur de la préfecture d’Agadir Ida Outanane. C’est l’occasion pour l’ex-ministre du Tourisme de démontrer la justesse de sa vision pour le développement du secteur dans la station balnéaire. Et aussi d’instaurer le climat de confiance qui manquait entre autorités et élus.

(...)

leconomiste.net

l ancient wali doit rendre des compt pour ca gestion a agadir car ces trop faciles de partir sans rendre de compt
maitre un villa du domaine en ce non ect ect

tout a fait, ..

il voulait meme pas partir de cette region, ou il sait qu'il peut tout faire, puisque y a pas trop de contestataires ..

les gadiris (ou les soussis) sont reputés d'etre de bon coeur, de toujours pardonner ...
assalam o alykoum
14 mars 2010 20:45
Citation
habib75 a écrit:
Citation
charles1 a écrit:
Citation
habib75 a écrit:
(...)

Citation
a écrit:
Dans le Souss-Massa-Drâa, le Souverain a nommé Mohamed Boussaid, wali de la Région et gouverneur de la préfecture d’Agadir Ida Outanane. C’est l’occasion pour l’ex-ministre du Tourisme de démontrer la justesse de sa vision pour le développement du secteur dans la station balnéaire. Et aussi d’instaurer le climat de confiance qui manquait entre autorités et élus.

(...)

leconomiste.net

l ancient wali doit rendre des compt pour ca gestion a agadir car ces trop faciles de partir sans rendre de compt
maitre un villa du domaine en ce non ect ect

tout a fait, ..

il voulait meme pas partir de cette region, ou il sait qu'il peut tout faire, puisque y a pas trop de contestataires ..

les gadiris (ou les soussis) sont reputés d'etre de bon coeur, de toujours pardonner ...

La seule crainte que peut ressentir ces sbires, c'est d'être limogés ou affectés dans une autre ville...

Sinon, ils n'ont aucuns compte à rendre à l'image de leur maitre...

Un espèce de "Siba" que "l'mekhzene" cultive lui même en quelque sorte...
h
19 mars 2010 20:33
[www.souss.com]

[www.earthtv.com]


Voir et contempler la plage d’Agadir en temps réel à partir de votre bureau, c’est désormais possible. Il vous suffit de cliquer sur le site web de Earth TV (www.earthtv.com) et vous pourrez rêver que vous y êtes réellement. Pour offrir cet accès à tous les internautes, des caméras ont été installées sur le front de mer, précisément sur le toit de l’hôtel Royal Atlas. Cette bonne idée de promouvoir la destination à l’international, à travers le dispositif de communication de Earth TV, est du wali de la région, Rachid Filali, indiquent les représentants du Conseil régional du tourisme d’Agadir (CRT). Pour eux, l’impact de la présence de la station balnéaire en termes de promotion sur Earth TV est certain. Cette chaîne allemande est en effet présente dans plus de 200 pays à travers le monde. Elle offre un potentiel de plus de 1,8 milliard de téléspectateurs. Et ce, à travers 41 chaînes partenaires. Selon le CRT, les images diffusées par les caméras installées à Agadir sur le front de mer devraient atteindre 100 millions de personnes par mois. Agadir sera par ailleurs intégrée 20 à 40 fois par mois dans les projections de la chaîne LCI , partenaire de Earth TV.

En ces temps de crise, la démarche entreprise a pour objectif, bien sûr, de susciter un regain de l’activité touristique dans la station balnéaire. Pour le moment, la destination a tendance à s’essouffler. Les arrivées tout comme les nuitées sont en baisse, précisent les hôteliers. En présentant, début octobre dernier, un plan d’actions auprès du département de tutelle, les professionnels pensaient sauver l’hiver prochain avec le soutien de l’Office national marocain du tourisme (ONMT). Mais leur feuille de route n’a toujours pas reçu d’écho de la part des institutionnels. La mise en œuvre d’un plan de communication en faveur de la destination est, semble-t-il, remise au mois de mars. C’est du moins ce qu’avancent les acteurs du tourisme à Agadir. Aussi sont-ils fortement déçus. Mais aussi très inquiets. Les chiffres d’affaires sont en baisse de 10 à 20% selon les établissements. Les ventes de dernière minute sont de plus en plus nombreuses et bien sûr elles sont accompagnées de prix promotionnels. Ce que proposent les professionnels pour renverser la tendance, ce sont des actions au niveau de plusieurs marchés. En ces temps de crise, il faut en effet agir sur tous les fronts et être très réactifs. Mais encore faut-il disposer du soutien nécessaire, et en avoir les moyens financiers.

Malika ALAMI

Source : L’economiste

eye rolling smiley
assalam o alykoum
20 mars 2010 06:53
Citation
habib75 a écrit:
http://www.souss.com/Agadir-fait-sa-promo-sur-Earth-TV.html

[www.earthtv.com]


Voir et contempler la plage d’Agadir en temps réel à partir de votre bureau, c’est désormais possible. Il vous suffit de cliquer sur le site web de Earth TV (www.earthtv.com) et vous pourrez rêver que vous y êtes réellement. Pour offrir cet accès à tous les internautes, des caméras ont été installées sur le front de mer, précisément sur le toit de l’hôtel Royal Atlas. Cette bonne idée de promouvoir la destination à l’international, à travers le dispositif de communication de Earth TV, est du wali de la région, Rachid Filali, indiquent les représentants du Conseil régional du tourisme d’Agadir (CRT). Pour eux, l’impact de la présence de la station balnéaire en termes de promotion sur Earth TV est certain. Cette chaîne allemande est en effet présente dans plus de 200 pays à travers le monde. Elle offre un potentiel de plus de 1,8 milliard de téléspectateurs. Et ce, à travers 41 chaînes partenaires. Selon le CRT, les images diffusées par les caméras installées à Agadir sur le front de mer devraient atteindre 100 millions de personnes par mois. Agadir sera par ailleurs intégrée 20 à 40 fois par mois dans les projections de la chaîne LCI , partenaire de Earth TV.

En ces temps de crise, la démarche entreprise a pour objectif, bien sûr, de susciter un regain de l’activité touristique dans la station balnéaire. Pour le moment, la destination a tendance à s’essouffler. Les arrivées tout comme les nuitées sont en baisse, précisent les hôteliers. En présentant, début octobre dernier, un plan d’actions auprès du département de tutelle, les professionnels pensaient sauver l’hiver prochain avec le soutien de l’Office national marocain du tourisme (ONMT). Mais leur feuille de route n’a toujours pas reçu d’écho de la part des institutionnels. La mise en œuvre d’un plan de communication en faveur de la destination est, semble-t-il, remise au mois de mars. C’est du moins ce qu’avancent les acteurs du tourisme à Agadir. Aussi sont-ils fortement déçus. Mais aussi très inquiets. Les chiffres d’affaires sont en baisse de 10 à 20% selon les établissements. Les ventes de dernière minute sont de plus en plus nombreuses et bien sûr elles sont accompagnées de prix promotionnels. Ce que proposent les professionnels pour renverser la tendance, ce sont des actions au niveau de plusieurs marchés. En ces temps de crise, il faut en effet agir sur tous les fronts et être très réactifs. Mais encore faut-il disposer du soutien nécessaire, et en avoir les moyens financiers.

Malika ALAMI

Source : L’economiste

eye rolling smiley


merci pour l info
h
14 avril 2010 12:12
Agadir Aéroport Agadir Al Massira Saida Loqa, première femme directeur d’un aéroport


Elle a débuté son parcours professionnel à Agadir, et se retrouve 17 ans après, directeur de l’aéroport international Agadir Al Missira, le 29 juillet 2009. De ce fait, la première femme directeur d’un aéroport au Maroc, et pas n’importe lequel. Elle honore ainsi à la fois son métier, l’organisme où elle travaille, et la femme marocaine en général. Saida Loqua mère de deux filles, offre aussi la belle image de la femme marocaine qui arrive à concilier sa responsabilité conjugale et sa responsabilité en tant que cadre de l’ONDA.
Saida Loqa a débuté à l’ONDA en 1993, en tant que contrôleur aérien. Elle sera nommée en 2003, chef de Section de la Navigation Aérienne à l’aéroport d’Agadir Al Massira. En 2004, elle prend la responsabilité de la Sécurité d’Aérodrome dans le même aéroport. De 2005 à 2007 elle devient Responsable du Service de Sauvetage et de Lutte contre l’Incendie des Aéronefs à Agadir Al Massira. 2006 à 2007, elle est nommée chef de service exploitation aéroportuaire, Responsable Qualité et Responsable du développement Durable, à l’aéroport Al Massira. 03 septembre 2007, importante date pour Saida Loqa puisqu’elle nommée Directeur Délégué Adjoint de l’aéroport Marrakech Menara, premier poste du genre pour une femme au Maroc.
2009, c’est la consécration pour elle avec sa nomination comme Directeur de l’Aéroport International Agadir Al Massira. Depuis sa nomination et sans exagération il a mieux fait que tous les ex directeurs réunis. Femme de terrain, elle est respectueuse des autres fonctionnaires et employés au sein de l’aéroport et tout le monde la respecte pour ses qualités professionnels, son dynamisme, sa disponibilité et son efficacité.
D’ailleurs depuis sa nomination en tant que directeur à l’aéroport Agadir Al Massira de belles choses ont été réalisé et un climat de concertation et de coordination s’est établi au sein de l’aéroport, de la part de tous les intervenants. Un grand bravo et très bonne continuation à la première dame directeur d’un aéroport au Maroc. On devrait dire en fait et tout simplement, directrice d’un aéroport pour respect la féminité de Saida Loqa et mettre en valeur ses qualités humaines en tant que femme et en tant que responsable dans un milieu où domine sérieusement la junte masculine.


goagadir.info
assalam o alykoum
15 avril 2010 20:58
Citation
habib75 a écrit:
Agadir Aéroport Agadir Al Massira Saida Loqa, première femme directeur d’un aéroport


Elle a débuté son parcours professionnel à Agadir, et se retrouve 17 ans après, directeur de l’aéroport international Agadir Al Missira, le 29 juillet 2009. De ce fait, la première femme directeur d’un aéroport au Maroc, et pas n’importe lequel. Elle honore ainsi à la fois son métier, l’organisme où elle travaille, et la femme marocaine en général. Saida Loqua mère de deux filles, offre aussi la belle image de la femme marocaine qui arrive à concilier sa responsabilité conjugale et sa responsabilité en tant que cadre de l’ONDA.
Saida Loqa a débuté à l’ONDA en 1993, en tant que contrôleur aérien. Elle sera nommée en 2003, chef de Section de la Navigation Aérienne à l’aéroport d’Agadir Al Massira. En 2004, elle prend la responsabilité de la Sécurité d’Aérodrome dans le même aéroport. De 2005 à 2007 elle devient Responsable du Service de Sauvetage et de Lutte contre l’Incendie des Aéronefs à Agadir Al Massira. 2006 à 2007, elle est nommée chef de service exploitation aéroportuaire, Responsable Qualité et Responsable du développement Durable, à l’aéroport Al Massira. 03 septembre 2007, importante date pour Saida Loqa puisqu’elle nommée Directeur Délégué Adjoint de l’aéroport Marrakech Menara, premier poste du genre pour une femme au Maroc.
2009, c’est la consécration pour elle avec sa nomination comme Directeur de l’Aéroport International Agadir Al Massira. Depuis sa nomination et sans exagération il a mieux fait que tous les ex directeurs réunis. Femme de terrain, elle est respectueuse des autres fonctionnaires et employés au sein de l’aéroport et tout le monde la respecte pour ses qualités professionnels, son dynamisme, sa disponibilité et son efficacité.
D’ailleurs depuis sa nomination en tant que directeur à l’aéroport Agadir Al Massira de belles choses ont été réalisé et un climat de concertation et de coordination s’est établi au sein de l’aéroport, de la part de tous les intervenants. Un grand bravo et très bonne continuation à la première dame directeur d’un aéroport au Maroc. On devrait dire en fait et tout simplement, directrice d’un aéroport pour respect la féminité de Saida Loqa et mettre en valeur ses qualités humaines en tant que femme et en tant que responsable dans un milieu où domine sérieusement la junte masculine.


goagadir.info

Je lui souhaite bon courage dans sa nouvelle fonction en espérant qu'elle va continuer à être à la hauteur de ses nouvelles responsabilités.

J'espère qu'elle va succéder au PG actuel de l'ONDA, qui a transgressé toute déontologie en abusant de ses pouvoirs, sans parler de son manque de professionnalisme (et sa non neutralité) concernant les appels d'offres lancés par cet office public...

(Voir le rapport de la cour des comptes - Tome 1 - Année 2008).
h
13 mai 2010 22:33
Agadir/Transport urbain: GAB gagne une manche

La justice annule le premier marché avec l’ex-wali Rachid Filali

· L’affaire à l’encontre des communes du Grand Agadir reste en instance


Fin de match pour le dossier du transport urbain à Agadir? C’est du moins le cas pour la première manche. Le tribunal administratif de la ville s’est prononcé mardi dernier dans l’affaire qui oppose la société GAB à l’ex-wali de la région, Rachid Filali. L’instance judiciaire a décidé l’annulation du premier marché de gestion déléguée du transport urbain d’Agadir conclu entre le groupe Alsa et l’ex-wali pour le compte des communes d’Agadir. Difficile de savoir si la défense fera appel à cette décision. L’Economiste n’a pas pu joindre les avocats en charge de l’affaire.
Des intervenants dans le dossier soulignent tout de même dans l’anonymat que «l’annulation prononcée porte sur un contrat qui en fait n’existait pas car le marché n’avait pas encore été validé par le ministère de tutelle».
Pour rappel, l’exécution de ce marché avait été suspendue par décision de justice. Le dossier avait été introduit en justice le 16 juillet 2009 par la société Europa Bus GAB au motif que la procédure d’attribution du marché avait été entachée de vices de forme. Sur la question, la Cour d’appel administrative de Marrakech a confirmé, mardi 13 octobre 2009, un jugement du tribunal administratif d’Agadir déclarant la suspension de l’exécution de la gestion déléguée du transport urbain d’Agadir accordée par Rachid Filali, en tant que wali à l’époque de la région, à la société Alsa. Suite à cela, le dossier du transport urbain par autobus a fait l’objet d’une session extraordinaire de la commune urbaine d’Agadir pour des modifications apportées au cahier des charges initial. Et la démarche s’est soldée en février dernier par la conclusion de contrats de gestion déléguée entre les communes du Grand Agadir et le groupe Alsa. De l’avis des représentants juridiques de GAB, «ces conventions peuvent être considérées caduques vu qu’elles sont l’aboutissement du même appel d’offres. La justice a estimé qu’il y avait effectivement des vices de forme concernant la procédure des marchés publics et a annulé pour finir, mardi dernier, le premier marché». Pour leur part, les collectivités locales concernées se sentent fortes de la validation apportée par le ministère de l’Intérieur au dossier.
En tous les cas, la justice ne s’est pas prononcée à ce sujet. L’affaire de GAB à l’encontre des communes du Grand Agadir reste donc en instance. Et le contrat de gestion déléguée conclu entre les collectivités locales et Alsa est maintenu jusqu’à présent. Pour les habitants d’Agadir l’essentiel c’est l’amélioration du transport urbain qui compte.

De notre correspondante,
Malika ALAMI
leconomiste.com
assalam o alykoum
h
13 mai 2010 22:39
Agadir: La plage perd son sable

Le phénomène particulièrement accentué au sud de la baie

· Brise-lames, rechargement en sable, des solutions



La belle plage d’Agadir perd son sable fin et doré. Le front de mer est, en effet, rongé par l’érosion. Par endroit, le site est devenu même très caillouteux. Ainsi, selon une étude hydraulique et sédimentologique réalisée par un cabinet d’études privé bien avant l’aménagement de l’actuelle corniche, les conditions d’érosion sont aigues au sud de l’Oued Lahouar. Et ce du fait des extractions antérieures mais aussi d’une sous-alimentation en sable par le transit du littoral.
La même étude préconise, par ailleurs, qu’il est indispensable de procéder à des rechargements en sable au sud du littoral pour stabiliser un haut de plage. La problématique de l’érosion au niveau de la plage d’Agadir a été depuis très longtemps discutée dans le milieu des élus de la ville et des professionnels du tourisme en raison de l’importance du front de mer dans le produit touristique d’Agadir.
La mise en place de brise-lames avec la collaboration financière des hôteliers avait été suggérée, mais rien n’a été fait jusqu’à présent. Pour l’heure les brise-lames implantés sur le littoral de la baie d’Agadir sont ceux au sud de la baie après le club Robinson, face au palais royal, ainsi que celui face au Club méditerranéen. Ce dernier est le plus ancien sur le littoral d’Agadir et a contribué fortement à la stabilisation de la plage. «Cependant cet ouvrage est en mauvais état avec d’importantes ouvertures entre les blocs qui favorisent son démantèlement par le déferlement des plus fortes houles. Il convient donc de le restaurer pour améliorer la stabilisation du trait de côte dans ce secteur», est-il indiqué. Mais le coût important de la restauration de cet ouvrage, comme l’aménagement d’autres du même genre, est peut-être la raison pour laquelle rien n’a été fait jusqu’à présent.
A noter qu’il faut compter près de 20 millions de DH pour l’implantation d’un brise-lames. Le coût du mètre linéaire est en fait estimé à 100.000 DH, précise un institutionnel de la ville. Au-delà du coût, c’est l’impact esthétique de brise-lames sur la baie que désapprouvent certains intervenants du dossier. Aussi, le rechargement de la plage en sable est suggéré. «Cela coûterait trop cher à la ville», souligne à ce sujet Tariq Kabbage, maire de la commune d’Agadir. L’élu est en fait pour la solution «de brise-lames mais à peine visibles à la surface de l’eau». Reste à étudier la question plus en profondeur. Il y a cependant urgence pour protéger le capital environnemental de la destination touristique Agadir.

De notre correspondante,
Malika ALAMI
assalam o alykoum
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