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Une activiste du Polisario refuse d’exercer son droit au retour
w
14 novembre 2009 11:57
C’est une première dans les annales du droit international qui s’est déroulée vendredi 13 Novembre 2009 à l’aéroport International Hassan 1er de Laayoune : une activiste du Front Polisario, vivant néanmoins au sein du Maroc, a décidé de ne pas décliner sa nationalité lors de son arrivée, obligeant les autorités marocaines à lui refuser l’entrée sur le territoire. L’originalité de la démarche réside dans le fait qu’Aminatou Haïdar, qui a par la même occasion tenté d’instrumentaliser deux journalistes étrangers qui l’accompagnaient, a tenté de faire croire qu’elle était une ressortissante d’un pays virtuel, reconnu par aucune instance internationale, le « Sahara Occidental ». Ce dernier serait ainsi passé d’une localisation géographique (l’ouest du Sahara), à un pays imaginaire grâce à un simple coup de baguette magique des donneurs d’ordre de Aminatou Haïdar, en l’occurrence le pouvoir algérien, qui ne peut plus supporter les revers diplomatiques récents qu’il a subis, et a donc décidé de passer à l’offensive en déployant cette ancienne fonctionnaire marocaine, reconvertie dans l’activisme en faveur du mouvement de guérilla du Front Polisario. Cette situation pourrait être risible s’il n’y avait là tous les ingrédients pour enclencher une véritable crise diplomatique –une de plus- entre le Maroc et l’Algérie, le Royaume chérifien ne pouvant accepter que soit entravé le droit au retour à la mère patrie, applicable non seulement à Aminatou Haïdar, mais à toutes les populations sahraouies vivant sous le double joug de l’armée régulière algérienne, ainsi que du mouvement de guérilla.
En effet, il est moralement et juridiquement inacceptable qu’une personne qui jouit de tous les droits d’un citoyen marocain puisse profiter du titre de voyage délivré par ce même pays, afin précisément de le combattre. Au vu de tous les sacrifices endurés par les enfants de la nation marocaine, et des souffrances subies par les anciens prisonniers marocains du front Polisario, ce ne serait que justice que Mme Haïdar soit déchue de sa citoyenneté marocaine….

Source
c
14 novembre 2009 14:02
l'album photo de la derniere venue d'une delagation sarahouie au pays basque:
[www.flickr.com]
14 novembre 2009 15:14
Citation
coldman a écrit:
l'album photo de la derniere venue d'une delagation sarahouie au pays basque:
[www.flickr.com]


Pour apprendre à poser des bombes ?
"Avec un H majuscule"
m
14 novembre 2009 16:12
Citation
Hamid a écrit:
Citation
coldman a écrit:
l'album photo de la derniere venue d'une delagation sarahouie au pays basque:
[www.flickr.com]


Pour apprendre à poser des bombes ?

et faire de la mendicité en exploitant les enfants..
s
14 novembre 2009 17:56
Ce n'est pas une activiste mais une traitre et le dernier discours de M6 était très clair..chacun choisit son camp.
m
14 novembre 2009 18:39
Citation
sid1007 a écrit:
Ce n'est pas une activiste mais une traitre et le dernier discours de M6 était très clair..chacun choisit son camp.
elle doit être déchue de sa nationalité marocaine.. et si elle envie des défendre les droits de l'homme elle n'a qu'à le faire en Algérie qui a besoin des défendeur des droits de l'homme
s
14 novembre 2009 18:57
Citation
mouhcine.m a écrit:
Citation
sid1007 a écrit:
Ce n'est pas une activiste mais une traitre et le dernier discours de M6 était très clair..chacun choisit son camp.
elle doit être déchue de sa nationalité marocaine.. et si elle envie des défendre les droits de l'homme elle n'a qu'à le faire en Algérie qui a besoin des défendeur des droits de l'homme

Entre toutes et tous ces arrivistes en manque de notoriété et de reconnaissance, une seule méthode ; la fermeté, assez de laxisme et de gentillesse à deux balles, je crois que la question de la nation est au-dessus de tout, plus aucune place pour l'ambigüité, M6 a décidément pris position de prendre ces moutons par les cornes et je le comprends, d'autant plus que le temps est en notre faveur et que ce n'est plus question de reculer devant n'importe quel protagoniste relatif à la junte de boutef 1er.
m
14 novembre 2009 19:01
Citation
sid1007 a écrit:
Citation
mouhcine.m a écrit:
Citation
sid1007 a écrit:
Ce n'est pas une activiste mais une traitre et le dernier discours de M6 était très clair..chacun choisit son camp.
elle doit être déchue de sa nationalité marocaine.. et si elle envie des défendre les droits de l'homme elle n'a qu'à le faire en Algérie qui a besoin des défendeur des droits de l'homme

Entre toutes et tous ces arrivistes en manque de notoriété et de reconnaissance, une seule méthode ; la fermeté, assez de laxisme et de gentillesse à deux balles, je crois que la question de la nation est au-dessus de tout, plus aucune place pour l'ambigüité, M6 a décidément pris position de prendre ces moutons par les cornes et je le comprends, d'autant plus que le temps est en notre faveur et que ce n'est plus question de reculer devant n'importe quel protagoniste relatif à la junte de boutef 1er.

on revient toujours au même point de départ : le laxisme de l'Etat qui a duré trop longtemps. il ne concerne pas uniquement le Sahara , mais également la presse des journalistes incultes.
c
14 novembre 2009 19:23
ou est cette "gentillesse à deux balles" dont tu parles sid1007? il n'y a que repression, enlevements comme les sept defenseurs des droits humains arrétés le mois dernier. vive le referendum.

Sahara Occidental : Aminetou Haidar enlevée...

El Aaiun (territoires occupés), 13/11/2009 (SPS) La militante sahraouie des droits et ex prisonnière politique disparue, Aminetou Haidar, a été enlevée en début d’après-midi vendredi à l’aéroport d’El Aaiun, la capitale sahraouie occupée, à sa descente d’avion en provenance des îles Canaries, a annoncé sa famille qui l’attendait en dehors de l’aérodrome, fermé aux civils pour les circonstances par les forces de sécurités.

Plusieurs cordons de policiers, gendarmes et autres forces de sécurités marocaines avaient ceinturé l’aéroport avant l’arrivée de l’avion, alors que d’autres l’attendaient au pied de la passerelle de l’aéronef, selon des témoins oculaires, qui affirment qu’elle a été embarquée dans un fourgon vers une destination inconnue.

Mme Haidar, 42 ans, est souvent appelée la +Gandhi sahraouie+", en référence à l’apôtre de la résistance pacifique indienne contre l’occupation britannique, étant l’un des plus éminents défendeurs des droits de l’homme au Sahara occidental, reconnue pour sa campagne courageuse pour l’autodétermination du Sahara occidental occupé par le Maroc et contre les disparitions forcées et les abus sur les prisonniers d’opinion.

L’ex prisonnière politique sahraouie, revenait de New York,où elle avait reçue le "Prix du Courage Civil 2009" octroyé par la "John Train Fondation" pour sa "résistance pacifique au Sahara Occidental", ce qui en fait la première femme arabe à avoir reçu ce prix.

Mme Haidar, mère de deux enfants et titulaire d’un baccalauréat en littérature moderne, a été parmi les 700 manifestants pacifiques arrêtés pour avoir participé à un rassemblement en faveur d’un référendum. Plus tard, elle a "disparue", sans inculpation ni jugement et détenue pendant quatre ans dans des centres de détention secrets, où elle et 17 autres femmes sahraouies ont été torturées.

En 2005, la police marocaine l’a battue en détention pour sa participation à une manifestation pacifique. Elle a été libérée au bout de 7 mois, grâce à la pression internationale, notamment d’Amnesty International et du Parlement européen.

Depuis lors, Mme Haidar a parcouru le monde pour sensibiliser l’opinion internationale sur les violations marocaines des droits humains au Sahara Occidental et plaider pour le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.

Ses efforts ont contribué à changer la violence du Gouvernement marocain pour disperser des manifestations pacifiques en faveur de l’indépendance, mais malheureusement, ce même Gouvernement revient aujourd’hui à la charge dans la torture et le harcèlement des défenseurs des droits humains sahraouis.

Lauréat de sept prix internationaux, Mme Haidar a reçu le prix Robert F. Kennedy 2008 des droits de l’homme, le prix Silver Rose Award 2007 (Autriche), en 2006 Juan Maria Bandres Human Rights Award (Espagne). Elle a été lauréate du prix Andrei Sakarov Award pour les droits de l’homme, de la part du Parlement européen, du prix Ginetta Sagan Fund Award de Amnesty International (section des États-Unis). Elle a également été attribuée du Prix Nobel de la paix, rappelle-t-on.

[www.continentalnews.fr]...
a
14 novembre 2009 19:54
cette chose a ete refouler pour les iles canarie apres qu'elle a signe un papier devant le procureur du Roi.
m
14 novembre 2009 20:35
raconte ça ailleurs, la moitié ce qui est publié sur le net est une boubelle...
et en quoi cela te concerne t-il ??????????????

Citation
coldman a écrit:
ou est cette "gentillesse à deux balles" dont tu parles sid1007? il n'y a que repression, enlevements comme les sept defenseurs des droits humains arrétés le mois dernier. vive le referendum.

Sahara Occidental : Aminetou Haidar enlevée...

El Aaiun (territoires occupés), 13/11/2009 (SPS) La militante sahraouie des droits et ex prisonnière politique disparue, Aminetou Haidar, a été enlevée en début d’après-midi vendredi à l’aéroport d’El Aaiun, la capitale sahraouie occupée, à sa descente d’avion en provenance des îles Canaries, a annoncé sa famille qui l’attendait en dehors de l’aérodrome, fermé aux civils pour les circonstances par les forces de sécurités.

Plusieurs cordons de policiers, gendarmes et autres forces de sécurités marocaines avaient ceinturé l’aéroport avant l’arrivée de l’avion, alors que d’autres l’attendaient au pied de la passerelle de l’aéronef, selon des témoins oculaires, qui affirment qu’elle a été embarquée dans un fourgon vers une destination inconnue.

Mme Haidar, 42 ans, est souvent appelée la +Gandhi sahraouie+", en référence à l’apôtre de la résistance pacifique indienne contre l’occupation britannique, étant l’un des plus éminents défendeurs des droits de l’homme au Sahara occidental, reconnue pour sa campagne courageuse pour l’autodétermination du Sahara occidental occupé par le Maroc et contre les disparitions forcées et les abus sur les prisonniers d’opinion.

L’ex prisonnière politique sahraouie, revenait de New York,où elle avait reçue le "Prix du Courage Civil 2009" octroyé par la "John Train Fondation" pour sa "résistance pacifique au Sahara Occidental", ce qui en fait la première femme arabe à avoir reçu ce prix.

Mme Haidar, mère de deux enfants et titulaire d’un baccalauréat en littérature moderne, a été parmi les 700 manifestants pacifiques arrêtés pour avoir participé à un rassemblement en faveur d’un référendum. Plus tard, elle a "disparue", sans inculpation ni jugement et détenue pendant quatre ans dans des centres de détention secrets, où elle et 17 autres femmes sahraouies ont été torturées.

En 2005, la police marocaine l’a battue en détention pour sa participation à une manifestation pacifique. Elle a été libérée au bout de 7 mois, grâce à la pression internationale, notamment d’Amnesty International et du Parlement européen.

Depuis lors, Mme Haidar a parcouru le monde pour sensibiliser l’opinion internationale sur les violations marocaines des droits humains au Sahara Occidental et plaider pour le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.

Ses efforts ont contribué à changer la violence du Gouvernement marocain pour disperser des manifestations pacifiques en faveur de l’indépendance, mais malheureusement, ce même Gouvernement revient aujourd’hui à la charge dans la torture et le harcèlement des défenseurs des droits humains sahraouis.

Lauréat de sept prix internationaux, Mme Haidar a reçu le prix Robert F. Kennedy 2008 des droits de l’homme, le prix Silver Rose Award 2007 (Autriche), en 2006 Juan Maria Bandres Human Rights Award (Espagne). Elle a été lauréate du prix Andrei Sakarov Award pour les droits de l’homme, de la part du Parlement européen, du prix Ginetta Sagan Fund Award de Amnesty International (section des États-Unis). Elle a également été attribuée du Prix Nobel de la paix, rappelle-t-on.

[www.continentalnews.fr]...
s
14 novembre 2009 20:41
@ coldman, je ne sais pas si tu connais suffisamment l'affaire pour en parler, j'ai vu ton post lié au basque...
Bref en tout cas cette affaire des 7 me fait vraiment marrer, ils n'étaient là que pour l'argent, peux-tu me citer les noms de ces personnes, ils ne sont surtout pas des défenseurs des droit de l'homme et si c'est vrai ils peuvent le faire sous l'égide ou en collaboration du HRW et non en allant s'aventurer à faire des actions sans buts.
Quant à cette dame, c'est de la récupération à l'algérienne. Que dis-tu de biadillah aujourd'hui devenu à la tête du PAM, est-ce un sahraoui ou non? Cette dame si elle veut revendiquer quoique ce soit elle doit respecter certaines règles.
Après tout droit ou non, ces histoires de presse n'intéressent que peu de monde à ton image, Les Usa en la personne de Hillary clinton a bouclé l'affaire avec ses déclarations, la polizebel est disloquée et l'heure de vérité a sonné...
T
15 novembre 2009 10:50
Très bien fait ,,,,,qu'elle cherche ailleurs s'elle n'est pas marocaine.
f
15 novembre 2009 14:43
Dépêche de l’AFP :

Madrid - La militante Aminatou Haidar, expulsée samedi par les autorités marocaines du Sahara occidental vers l'archipel espagnol des Canaries, a menacé d'entamer une grève de la faim si on ne la laissait pas retourner dans cette ancienne colonie espagnole annexée en 1975 par le Maroc.

Interrogée au téléphone par l'AFP, Aminatou Haidar qui se trouvait à l'aéroport de Lanzarote, une des îles des Canaries, a déclaré que si elle ne pouvait pas repartir dimanche en avion vers Laâyoune, capitale du Sahara occidental, elle commencerait une grève de la faim. La militante a fait part de sa volonté de dormir à l'aéroport de Lanzarote, où elle était arrivée samedi en avion après son expulsion de Laâyoune.
c
15 novembre 2009 17:12
Sahara occidental : Assez de répression ! Autodétermination ! (par Jean Paul Le Marec)
samedi 24 octobre 2009

Après le retrait de l’Espagne en 1975, le Sahara occidental a été occupé par le Maroc en toute illégalité comme l’a confirmé la Cour internationale de La Haye. 34 ans après, aucun pays au monde ne reconnait la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

En 1991, le Maroc et le Front Polisario, seul représentant légitime du peuple sahraoui, ont conclu un accord, sous les auspices des Nations unies, fondé sur un plan de paix prévoyant un cessez-le-feu suivi d’un référendum d’autodétermination. Depuis cette date, le Maroc refuse de respecter ses engagements et multiplie les manœuvres, avec le soutien du gouvernement français, pour empêcher ce référendum. En 2007, il a dû accepter des négociations directes avec le Front Polisario sous l’égide de l’ONU. Quatre rounds de négociations ont déjà eu lieu mais sans résultat. Des délégations du gouvernement marocain et du Front Polisario ont été réunies en août à Genève par l’envoyé spécial des Nations unies pour le Sahara occidental, Christopher Ross, pour préparer un cinquième round de négociations en vue de la mise en œuvre des résolutions des Nations unies pour l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.

Quelques jours plus tard, les autorités marocaines ont profité du silence de la communauté internationale et de la complicité du gouvernement français pour continuer à violer les droits de l’Homme et réprimer la population sahraouie des territoires occupés. Black-out, emprisonnements, tortures, enlèvements, disparitions, maisons dévastées sont le lot quotidien des Sahraouis. Les associations sahraouies sont interdites. Les étudiants sahraouis dans les universités marocaines subissent également la répression. Les procès se multiplient, notamment contre les défenseurs sahraouis des droits de l’homme, avec de lourdes condamnations. Pour avoir participé à des manifestations pacifiques, les 9 membres du groupe dit de « Mohamed Yahia » ont été condamnés à des peines de prison ferme de 1, 4 et 15 ans. Ennaâma Asfari, défenseur sahraoui des droits de l’homme et co-président du CORELSO, a été arrêté le 14 août pour détention d’un porte-clés avec le drapeau sahraoui puis condamné à 4 mois de prison ferme pour « outrage à agent public ».

Du 15 au 18 septembre, des centaines de Sahraouis (notamment des jeunes et des femmes) ont manifesté de façon pacifique dans de nombreuses villes du Sahara occidental pour exprimer leur refus de l’occupation marocaine et leur volonté de faire respecter leur droit à l’autodétermination. Les forces d’occupation ont réagi avec brutalité : hommes et femmes blessés et torturés, enlèvements, maisons saccagées. Cette nouvelle vague de répression a été suivie par des arrestations arbitraires, de nouveaux procès avec des condamnations à des amendes et de la prison ferme.

Début octobre, des militants sahraouis ont été arrêtés à la frontière mauritanienne et leurs passeports confisqués pour les empêcher de partir à l’étranger témoigner de la situation dans leur pays. Le 8 octobre, sept responsables d’associations sahraouies des droits de l’Homme ont été enlevées sur l’aéroport de Casablanca dans l’avion qui les ramenait d’une visite dans les campements de réfugiés de Tindouf. Leurs portables ont été confisqués et leurs proches sont sans nouvelles. D’après le procureur du Roi , ils ont été arrêtés pour avoir porté « atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation ». Le 13 octobre, Amnesty international a demandé leur libération immédiate car « ils sont détenus pour avoir exprimé pacifiquement leur soutien à l’autodétermination du peuple sahraoui. Ce sont des prisonniers d’opinion ».

La situation dramatique du peuple sahraoui interpelle l’opinion publique mais les principaux médias ne voient rien, n’entendent rien, ne disent rien ! Les articles, les reportages ne manquent pas sur la chute du mur de Berlin mais pas un mot sur le mur marocain de 2700 km dans le désert qui sépare les familles sahraouies ! Le gouvernement français et l’Union européenne sont également sourds, aveugles et muets ! La communauté internationale ne peut pas rester spectatrice et apathique. Face à la gravité de la situation, il faut développer la mobilisation pour briser le silence des médias, mettre un terme à la complicité de certains gouvernements à l’égard du Maroc et à l’inertie de l’Union européenne et des Nations unies pour que des pressions efficaces soient exercées sur le Maroc jusqu’à obtenir l’arrêt de la répression et le respect des libertés fondamentales dans les territoires occupés du Sahara occidental ainsi que la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis.
[www.npa2009.org]
D
15 novembre 2009 18:18
Citation
walbrahim a écrit:
En effet, il est moralement et juridiquement inacceptable qu’une personne qui jouit de tous les droits d’un citoyen marocain

Dakhelna 3lik bella8, achmen "tous les droits" dont jouit le citoyen Marocain?

Le droit de financer les Ferraris, palais et déplacement aux notes de frais mirobolante d'une personne qu'il n'a pas élu? Le droit d'aller en prison pour manger un sandwich durant un fameux mois? Le droit de se taire lorsqu'il s'agit du roi ou de Dieu? Le droit des femmes d'hériter de la moitie de ce que prennent leurs frangins? Le droit de faire partie des 50% de Marocains qui ne savent ni lire, ni écrire? Le droit de se faire refuser une chambre d'hôtel parce qu'un couple n'est pas marié? Le droit de se faire siphonner par un Makhzen pourri jusqu'à l'os? Le droit de faire partie du peloton de queue dans presque tout les indicateurs de développement humain, de démocratie, d'égalité ou de libertés?

Cheb3ouna propagande. A l'école. A la télé. Dans les journaux. Et celui qui ose dire le moindre mot est traite de traître puis mis en prison. Utilisez un peu votre crane!
f
15 novembre 2009 19:09
Citation
DoctorX a écrit:

Dakhelna 3lik bella8, achmen "tous les droits" dont jouit le citoyen Marocain?

Ce n’est pas parce que l’on désapprouve le régime du Maroc que l’on doit se ranger forcément du coté des renégats qui militent contre l’intégrité territoriale du pays !

Une personne réputée marocaine qui complote pour le morcellement du Maroc trahit d’abord et avant tout ses compatriotes et doit donc être mis au ban de la Société marocaine et ce combien même cette Société marocaine vive sous un régime d’autocratie absolue exécrable !

Du reste, ce post n’a pas pour objet de faire le procès du régime !
m
15 novembre 2009 19:35
En arrivant à laayoune, elle prétend qu'elle n'est pas marocaine. Mais avant d'embarquer dans l'avion dans les îles Canaries elle a dû présenter des papiers. Je serais curieux de savoir qu'est ce qu'elle a présenté comme papiers. As-elle une autre nationalité ? ou elle a présenté ses papiers marocains ?
a
15 novembre 2009 19:42
Citation
coldman a écrit:
Sahara occidental : Assez de répression ! Autodétermination ! (par Jean Paul Le Marec)
samedi 24 octobre 2009

Après le retrait de l’Espagne en 1975, le Sahara occidental a été occupé par le Maroc en toute illégalité comme l’a confirmé la Cour internationale de La Haye. 34 ans après, aucun pays au monde ne reconnait la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

En 1991, le Maroc et le Front Polisario, seul représentant légitime du peuple sahraoui, ont conclu un accos unies pour l’autodétermination du peuple du Sahara occidental.

Quelques jours plus tard, les autorités marocaines ont profité du silence de la communauté internationale et de la complicité du gouvernement français pour continuer à violer les droits de l’Homme et réprimer la population sahraouie des territoires occupés. Black-out, emprisonnements, tortures, enlèvements, disparitions, maisons dévastées sont le lot quotidien des Sahraouis. Les associations sahraouies sont interdites. Les étudiants sahraouis dans les universités marocaines subissent également la répression. Les procès se multiplient, notamment contre les défenseurs sahraouis des droits de l’homme, avec de lourdes condamnations. Pour avoir participé à des manifestations pacifiques, les 9 membres du groupe dit de « Mohamed Yahia » ont été condamnés à des peines de prison ferme de 1, 4 et 15 ans. Ennaâma Asfari, défenseur sahraoui des droits de l’homme et co-président du CORELSO, a été arrêté le 14 août pour détention d’un porte-clés avec le drapeau sahraoui puis condamné à 4 mois de prison ferme pour « outrage à agent public ».

Du 15 au 18 septembre, des centaines de Sahraouis (notamment des jeunes et des femmes) ont manifesté de façon pacifique dans de nombreuses villes du Sahara occidental pour exprimer leur refus de l’occupation marocaine et leur volonté de faire respecter leur droit à l’autodétermination. Les forces d’occupation ont réagi avec brutalité : hommes et femmes blessés et torturés, enlèvements, maisons saccagées. Cette nouvelle vague de répression a été suivie par des arrestations arbitraires, de nouveaux procès avec des condamnations à des amendes et de la prison ferme.

Début octobre, des militants sahraouis ont été arrêtés à la frontière mauritanienne et leurs passeports confisqués pour les empêcher de partir à l’étranger témoigner de la situation dans leur pays. Le 8 octobre, sept responsables d’associations sahraouies des droits de l’Homme ont été enlevées sur l’aéroport de Casablanca dans l’avion qui les ramenait d’une visite dans les campements de réfugiés de Tindouf. Leurs portables ont été confisqués et leurs proches sont sans nouvelles. D’après le procureur du Roi , ils ont été arrêtés pour avoir porté « atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation ». Le 13 octobre, Amnesty international a demandé leur libération immédiate car « ils sont détenus pour avoir exprimé pacifiquement leur soutien à l’autodétermination du peuple sahraoui. Ce sont des prisonniers d’opinion ».

La situation dramatique du peuple sahraoui interpelle l’opinion publique mais les principaux médias ne voient rien, n’entendent rien, ne disent rien ! Les articles, les reportages ne manquent pas sur la chute du mur de Berlin mais pas un mot sur le mur marocain de 2700 km dans le désert qui sépare les familles sahraouies ! Le gouvernement français et l’Union européenne sont également sourds, aveugles et muets ! La communauté internationale ne peut pas rester spectatrice et apathique. Face à la gravité de la situation, il faut développer la mobilisation pour briser le silence des médias, mettre un terme à la complicité de certains gouvernements à l’égard du Maroc et à l’inertie de l’Union européenne et des Nations unies pour que des pressions efficaces soient exercées sur le Maroc jusqu’à obtenir l’arrêt de la répression et le respect des libertés fondamentales dans les territoires occupés du Sahara occidental ainsi que la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis.
[www.npa2009.org]


quand est ce que vous allez comprendre yabiladiens?????????

sinon ca va schlomo??? tu t attaque a l integrité territoriale du maroc maintenant???

tu te fais le rapporteur de la propagande du polisario??? ah oui c est des pauvres persecutés comme les palestinniens que tu refuse systematiquement de soutenir sous pretexte que tu t oppose au fachisme du hamas.

mais bien sur un humaniste comme toi ne met pas au meme plan le hamas terroriste et l association de meres theresa que constitue le pôlisario.
c
16 novembre 2009 11:56
Le drapeau Sahraoui sur la tour Eiffel
dimanche 15 novembre 2009 (21h18)

Vendredi 6 novembre 2009, à 11h du matin, six militants espagnols pour le respect des Droits de l’Homme au Sahara Occidental et appartenant à la Plate forme de Soutien Politique au Peuple Sahraoui (PAPPS), ont déployé un drapeau de la République Arabe Sahraouie Démocratique de 10 mètres de long depuis le deuxième étage de la tour Eiffel à Paris. Le drapeau est resté déployé 15 minutes. Ce geste dénonçait l’arrestation par la police Marocaine de sept défenseurs Sahraouis des Droits de l’Homme et exigeait leur libération immédiate, ainsi que celle des tous les prisonniers politiques sahraouis incarcérés dans les prisons marocaines.

Le 8 octobre dernier, les Ali Salem Tamek, Brahim Dahane, Ahmed Naceri, Idagja Lachgare, Saleh Loubbihi, Yahdih Ettarrouzi et Rachid Seghayer ont été arrêtés à l’aéroport de Casablanca, au retour de leur visite à leurs familles et amis dans les campements de réfugiés sahraouis à Tindouf (Algérie). Le royaume du Maroc les a accusé de « trahison à la patrie » et d’«atteinte contre le souveraineté et l’intégrité territoriale du Maroc », et veut les faire juger par un tribunal militaire qui peut requérir jusqu’à la peine de mort.

Avec l’intention d’exiger la libération immédiate des militants sahraouis à la veille du 34ème Anniversaire de la signature des « accords tripartites de Madrid »(1), les six militants membre de la PAPPS récemment crée, sont montés à Paris, pour faire flotter pendant 15 minutes le drapeau de la RASD et exigeant la libération de tous les militants sahraouis.

Dans le même temps, aux pieds de la tour Eiffel, d’autres militants manifestaient de manière pacifique avec les drapeaux du Maroc, de l’Espagne, de la France et des banderoles accusant le Royaume Alaouit de tortionnaire, la France de complice et l’Espagne de responsable.

Les militants qui se sont déplacés depuis l’Andalousie ont choisi la capitale gauloise parce que la France a refusé, il y a un mois, que soit élargi le mandat de la MINURSO (Mission Des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental) à la compétence des Droits de l’Homme.

Par cette action symbolique, les six militants entendaient attirer l’attention de l’opinion publique, pour éviter que le Maroc ne continue à torturer et violer les Droits fondamentaux du peuple sahraoui qui vit sous l’occupation Marocaine. Ils appelaient d’autre part à participer à la manifestation du samedi 14 novembre à Madrid, sous l’étendard « justice et liberté pour le peuple Sahraouis ».

NDT : Le même jour 34 ans après l’invasion du Sahara Occidental était lancée la campagne internationale contre l’accord de pêche illégale signé entre l’UE et le Maroc (www.fishelsewwhere.eu).

Le 13 novembre, une autre militante sahraouie des droits de l’Homme, Aminatou Haidar, était arrêtée par la police marocaine à son arrivée à l’aéroport d’El Aaiun, au Sahara Occidental, puis expulsée le 14 vers les canaries, pour avoir refusé de reconnaître le colonisateur comme légitime dans son pays.

[1] Accord par lequel le régime de Franco a livré le territoire du Sahara Occidental au Maroc et à la Mauritanie, au mépris des ses obligations de pays colonisateur et permettant au Maroc d’occuper le territoire dans le feu et le sang.

Traduction adaptation APSO, source plataformasahara.com
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
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