Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
abusssssssssssssssssss urgenttttttt
a
11 juin 2012 17:12
bonjour
je connais une copine a moi son mari a abuser d'elle sexuellement( la soudomis)( par contre c'est un musulman et y va toujours à la mosqué) et elle a pas le courage d'aller voir la police elle est de l'europe (elle a peur qu'il lui oblige de quitter la maison de lui prendre son bébé et de se trouver seul à la rue)
* si elle le dénonce est ce qu'elle a le droit et quels sont ses droits?
* est ce qu'elle a la garde de son enfant?
* est ce qu'elle va garder la maison ou se trouver dehaurs avec son bébé sachant qu'elle n'as personne apart moi mais on est loinnn
merci de me répondre
n
11 juin 2012 17:42
La sodomie est un rapport sexuel qui consiste en une pénétration de l'anus du ou de la partenaire, généralement avec le pénis ou à l'aide d'un objet servant de phallus.

Historique

1832
La loi du 28 avril 1832 a introduit dans le droit français un seuil de « majorité sexuelle », fixé alors à 11 ans. Ce seuil a été repoussé à 13 ans par la loi du 13 mai 1863.
1945
Le seuil de la majorité sexuelle est porté à 15 ans par une ordonnance du 2 juillet 1945 (Ord. no 45-1472, J.O. du 4 juill. 1945, p. 4072). À noter qu'il s'agit d'une majorité sexuelle restrictive, dans le cadre de relations strictement hétérosexuelles, voire de couple.
Relations homosexuelles et la soudomis
Jusqu'en 1791
L'homosexualité était interdite par la loi française jusqu'en 1791, date à laquelle les anciennes lois concernant la sodomie ont été retirées du Code criminel. Cette décriminalisation fut confirmée par le code Napoléon.
1942
En 1942, il est établi qu'il ne peut être donné de consentement valable pour un acte à caractère homosexuel qu'à partir de l'âge de 21 ans, alors qu'il était de 13 ans pour les hétérosexuels.
1963
En matière de relations homosexuelles, au-delà de l'amendement Mirguet (1963) qui en faisait un « fléau social », la majorité était à 21 ans.
1974
Dans le contexte de la libération des mœurs, la majorité a été abaissée à 18 ans par « effet de ratissage » en 1974 en même temps que la pleine majorité civile.
1977-1979
C'est lors de ce débat sur l'abaissement de la majorité sexuelle et d'un débat parlementaire sur la réforme du Code pénal à ce sujet, conduisant à rétrograder certains crimes en délits, qu'un certain nombre d'intellectuels français ont défendu l'abolition même des lois sur la majorité sexuelle, entre 1977 et 1979. En 1977, de nombreux philosophes et penseurs, y compris Michel Foucault, Jacques Derrida et Louis Althusser, parmi tant d’autres, ont signé une pétition adressée au Parlement demandant l’abrogation de plusieurs articles de la loi et la dépénalisation de toutes les relations consenties entre adultes et enfants de moins de quinze ans (la majorité sexuelle en France). Le 4 avril 1978, une conversation approfondie détaillant les raisons de leur position pro-abolitionniste a été diffusée par la radio France Culture dans l’émission « Dialogues ». Les participants, Michel Foucault, Jean Danet et le romancier/activiste membre du FHAR Guy Hocquenghem ont tous signé la pétition de 1977. Le débat fut originellement publié en français sous le titre La Loi de la pudeur.
Par ailleurs, les deux lettres ouvertes ont été publiées dans les journaux parisiens, prônant la libération de quatre prisonniers accusés d’avoir eu des rapports sexuels consentis avec des personnes en dessous de la majorité sexuelle. La première a été publiée dans Le Monde du 26 janvier 1977, et a été signée par 69 personnes, y compris Jack Lang, Bernard Kouchner, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Gilles Deleuze, Roland Barthes, André Glucksmann et Guy Hocquenghem. La seconde a été publiée dans Libération du mois de mars 1979 (reproduite plus tard dans L’Express du 7 mars 2001) et a été signée par 63 personnes.
Finalement, le Sénat vote au mois de juin 1978 la suppression de la discrimination entre actes homosexuels et hétérosexuels, tandis que l'attentat à la pudeur sans violence à l'égard d'un mineur de quinze ans, jusque-là un crime, passible à ce titre, des assises, était jugé en correctionnelle (devenant donc un délit).
1982
La loi du 4 août 1982 (Loi no 82-683, J.O. du 5 août 1982, p. 2502) supprimant l'incrimination de l'homosexualité abaissait aussi la majorité sexuelle à l'âge de 15 ans.
n
11 juin 2012 17:47
Point de vue de l'islam
Dans l'Islam, le sunnisme condamne la sodomie aussi bien hétérosexuelle qu'homosexuelle, contrairement à certains avis chiites ne reconnaissant que l'interdiction du deuxième cas. Les savants sunnites avancent un hadith de Mahomet selon Abou Horaira qui interdit la sodomie en disant :
« Maudit soit celui qui pénètre l'anus d'une femme. »

Au IXe et jusqu'au xie siècle, la sodomie est interdite par les juristes, mais la question ne soulève pas de grands débats. La sexualité, tant qu'elle ne déborde pas sur la scène publique, n'est pas un vrai sujet de réflexion. Selon Mohammed Mezziane, l'anus et le vagin sont alors pensés comme des organes « convoitables » en raison de leurs qualités physiologiques. L'interdiction de la sodomie ne relève donc pas d'un impératif moral mais de celui d'avoir des pratiques sexuelles à visée procréatives. Le rôle des éphèbes au Paradis, mentionné dans le Coran, fait question : faut-il les considérer pour leur rôle de domestiques, ou — également — pour leur usage sexuel ? En outre, la masculinité est considérée, pendant la période médiévale, comme génétique et aucun acte sexuel (à fortiori la sodomie passive) ne saurait la remettre en cause. Il faudra plusieurs siècles avant que la théorie des genres avance que masculinité et féminité dépendent du type d'acte sexuel pratiqué et du rôle sexuel tenu par les personnes plutôt que de leur sexe biologique.
Le sujet est davantage abordé les siècles suivants. Au xve siècle, l'Égyptien Suyûtî se penche sur le sujet. Le xviiie siècle — qu'accompagne la renaissance de mouvements religieux (dont le wahhabisme) — cherche à enrayer la dissolution des mœurs que l'on désigne alors comme étant responsable de la décadence des sociétés musulmanes. Cette évolution s'accroît au xixe siècle et au xxe siècle, à partir desquels le discours sur la sodomie reste fortement attaché à l'idée de maladie et, par voie de conséquence, à la mort.
La condamnation de la sodomie par les juristes se sera donc accrue progressivement au fil des sièclesmalgré la tolérance de quelques imams contemporains, dits « progressistes » (et minoritaires sur la question)
n
11 juin 2012 18:04
sodomie forcée
Rapport sexuel sans consentement = viol.
Le viol est puni par la loi, encore faut-il porter plainte.

La sodomie
-sans consentement,
-sans demander l'accord de sa partenaire,
-"en se servant"
est un manque de respect total, une demonstration sans equivoque de l'absence d'amour pour sa femme et c'est un VIOL. elle n'es pas un objet sexuel
n
11 juin 2012 18:10
Le viol conjugal est un viol exercé par un conjoint sur un autre.
Certains États ne considèrent pas que le viol puisse exister entre époux. Alors que certaines civilisations ou religions considèrent que la femme doit être soumise sexuellement à son époux, la législation ou la jurisprudence de certains pays admettent l'accusation de viol d'une femme par son mari, voire de l'inverse.
Le viol conjugal est reconnu comme une infraction à part entière dans 51 pays. En 2006, l'ONU a estimé que le viol entre époux pourrait être poursuivi dans au moins 104 États (dans 4 de ces pays, le viol conjugal peut être poursuivi seulement si les époux étaient séparés).
En France, le viol entre conjoints est condamnable depuis 1992.
---------------------------------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------------------
Le viol est un « rapport sexuel imposé à quelqu'un par la violence, obtenu par la contrainte, qui constitue pénalement un crime »

Législation française
Viol
Territoire d’application: France
Classification :Crime
Réclusion :de 15 ans à perpétuité
Prescription:10 ans
Compétence Cour d'assises


En France, le viol est un crime depuis 1810 (article 331 du Code Pénal de 1810), bien que la répression ait autrefois été incertaine. Depuis 1980 il est passible de quinze ans de réclusion criminelle, d'un suivi socio-judiciaire (loi Guigou de 1998) et d'une surveillance de sûreté, pouvant être accompagnée d'une injonction de soins (loi Guigou) qui peut inclure la castration chimique (voir débats autour du projet de loi tendant à amoindrir le risque de récidive criminelle). La loi française apporte une définition précise du viol. L’article L.222-23 du Code pénal dispose que : « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol ».
Depuis 1992, la qualité de conjoint est retenue comme circonstance aggravante en cas de violences conjugales, et la jurisprudence reconnaît le viol conjugal. Selon l'article article L.222-23 du Code pénal, le viol est puni de quinze ans de réclusion criminelle, vingt en cas de viol aggravé (article L.222-24).
a
11 juin 2012 18:13
lol on sais ce qu'est la sodomie smiling smiley


le viol entre époux est punissable
n
11 juin 2012 18:13
Le devoir conjugal et la soumission féminine ont vécu. Depuis sa reconnaissance par une jurisprudence de la Cour de cassation en 1990, le viol entre époux est enfin reconnu et le consentement à la sexualité doit être exprimé. Ou le refus respecté... Les chiffres alarmants révélés par certaines enquêtes, qui estiment jusqu'à 50% le pourcentage de femmes ayant subi un ou plusieurs viols dans leur vie maritale, montrent cependant avec quelle circonspection il faut manier ces nouvelles infractions. Le point avec le Dr Paul Bensussan*.

Qu'entend-on par " viol conjugal " ? Quelle est la réalité et que prévoit la loi française ?

Dr Paul Bensussan : Le viol conjugal n'est pas à proprement parler défini par la loi. Depuis la réforme de 1980, la loi francaise a donné une définition précise du viol, qui est un crime passible de quinze ans de réclusion criminelle. L'article L 222-23 dispose que : "Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol". En étendant ce crime aux époux dans une jurisprudence de 1990, le législateur s'est simplement opposé au postulat de la soumission d'une épouse au désir de son conjoint, au nom du sacro-saint mais archaïque "devoir conjugal". Dans une décision du 11 juin 1992, la Cour de cassation a confirmé cette jurisprudence en affirmant clairement que "la présomption de consentement des époux aux actes sexuels ne vaut que jusqu'à preuve contraire". Être marié ne peut plus signifier le pouvoir de disposer du corps de l'autre, ne pas tenir compte de son désir ou de son refus. Le consentement s'impose donc toujours, même au sein du couple. Ce point de vue est d'ailleurs celui adopté par la Cour européenne des droits de l'homme (1). Ce qui, hier encore, était loin d'être une évidence.

Depuis la loi du 4 avril 2006, renforcant la prévention et la répression des violences au sein du couple, le viol d'une épouse est d'ailleurs plus sévèrement puni que celui d'une inconnue. Prenant à contre-pied la pratique des tribunaux pour lesquels le statut de conjoint entraînait implicitement une forme d'indulgence - en termes juridiques, une atténuation de responsabilité - cette loi a qualifié de circonstance aggravante le fait que le viol est commis par le conjoint. Cela va sans dire : la règle vaut pour les concubins et les couples pacsés. Il est désormais beaucoup plus grave, au moins sous l'angle de la loi, d'être violé par son conjoint que par un inconnu dans une ruelle obscure. Très concrètement, c'est une peine de 20 années de réclusion criminelle qui menace le mari brutal ou égocentrique… au lieu des 15 années pour un violeur inconnu de sa victime. La notion de dégoût, si importante en sexologie, est lisible en filigrane dans l'intention du législateur :
"Car, en définitive, qui le sait ? Bien trop de gens sont persuadés que tout est permis au sein du couple, y compris l'indicible"(2).
n
11 juin 2012 18:21
Que faire en cas de viol conjugal ?
La première des choses est d'en parler autour de vous, comme dans n’importe quel cas de violence, car là encore, le silence ne vous protège pas, au contraire : famille, amies, associations, médecin, il y a forcément un interlocuteur possible.

Deuxièmement, il est conseillé de faire procéder à un constat à l’hôpital ou par un médecin, au moins pour faire prendre en compte votre état psychologique : le viol conjugal laisse en général peu de traces physiques, car la violence employée est plus morale que concrète.

Plus que le recours en justice, la nécessité est d'empêcher la montée en puissance de ce cercle vicieux et d'arrêter, tant qu'il en est encore temps, l'escalade de la violence, afin de faire comprendre à l'autre que ses actes ne resteront pas impunis, que vous ne vous enfermerez pas dans une passivité délétère.

Porter plainte est évidemment toujours possible et fortement conseillé si vous n’avez aucun autre moyen de sortir de cette spirale de violence et ainsi de vous protéger.
a
11 juin 2012 23:44
merci nimes
mais je voulais savoir est ce qu'elle a le droit de garder sa maison , son bébé
ou elle va se retrouver dehaurs sachant qu'elle habite pas en france mais en holland
a
12 juin 2012 10:54
elle a le droit d etre avec son bébé c'est normal. Pour la maison ça dépend si ils l'on acheter et cela dépend du contrat de mariage.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook