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Amazin-Rocain a écrit:
Chez nous au Maroc tout est permis,
La corruption, la prostitution, l'alcool, hogra, ect ect, mais dénoncé ce mahzen et ses dirigeants via chansons ou manifs c'est de l'atteinte a l'état.
Dommage pour notre beau pays.
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akkas a écrit:
on peu être contre le gouvernement marocain on peut critiquer nos ministres préfet maire et autre. mais laissez notre roi tranquille
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Amazin-Rocain a écrit:
Ils ont dénoncé, l'injustice, les corrupteurs, les corrompus.
Tu crois que c'est normal qu'il y ait aucune solidarité dans le systeme social marocain.
certains fonctionnaires qui sont souvent absents de leurs bureaux touchent dans les 100 000 dhs, pendant que les pauvres ouvriers ne dépasser pas les 1600 dhs l'équivalent a 64 dhs par jour, ni assurance, ni chômage ni aucune aide de ce mahzen.
Tu crois que notre roi n'est pas au courant de toute cette injustice qui dure depuis des deccenies.??????
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akkas a écrit:
je suis tout à fait d'accord avec toi Amazin.
mais nous avons un drapeau et un roi au-dessus de tout
qui nous rassemble et ça c'est très important pour moi
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participant a écrit:
le Rap ce n'est pas de chez nous , on a mieux , on a lmalhoun.
faire des chansons pour insulter ce n'est pas de l'art . on peut denoncer mais il faut le faire à la marocaine , pas à l'americaine
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akkas a écrit:
je suis tout à fait d'accord avec toi Amazin.
mais nous avons un drapeau et un roi au-dessus de tout
qui nous rassemble et ça c'est très important pour moi
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Oxy-More a écrit:
" mais nous avons un drapeau et un roi au-dessus de tout "
Au dessus de quoi, de qui ?
Sans vouloir offenser personne, en tant que musulman, il m'est inconcevable de m'incliner devant un mortel qui, rappelons le , est adoré comme un demi-dieu par beaucoup de marocains ...
La hawla la kouatta illeh bilah
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blagueur a écrit:
Une chanson où le parolier s'égare et transgresse ...
Pour pouvoir réformer, il faut déterminer, circonscrire les faiblesses et donc s'autoriser à critiquer à engager une dialectique.
Cependant il s'agit de critiquer des politiques, des actes, des choix, des prises de décisions maladroites ou stériles et non des personnes ou des Institutions.
Les gouvernements successifs se sont fourvoyés en ne réalisant pas la nécessaire hiérarchisation des priorités : électrifier le monde rural, généraliser l’accès facile à l'eau sont des conditions nécessaires mais non suffisantes, car encore faut-il que les citoyens aient la capacité d'honorer les factures sans mettre en danger l'équilibre budgétaire du ménage.
Lever à tour de bras des impôts sur les seules et mêmes franges de contribuables réduit la capacité d'auto-financement du développement au seul État plus soucieux des grandes infra-structures que du développement humain, de l'emploi de masse et des marchés. Impôts sur les riches, sur les successions faisant de l'état un héritier non char3i ne peuvent que réduire le dynamisme et le développement du capital privé comme la création potentielle d'emplois.
Les priorités sont de relever les niveaux de vie, d'initier un développement de la production et non de la consommation, d'optimiser l'efficience des investissements publics, de contrôler les marchés tant sur le plan des prix lors des soumissions que de la qualité en terme d’exécution. Un enseignement formant des acteurs plutôt que des chômeurs, etc...
Les conditions pour l'émergence : besoins à satisfaire, compétences et forces actives (exportées), ressources naturelles et matériaux bruts, énergie sont présentes pour que la réaction en chaine du développement puisse s'amorcer. Le secteur de la construction automobile comme de l'aéronautique témoignent de la maturation et de la qualification des ressources humaines.
Le bât blesse dans le financement des projets ou de la mise à niveau et de la restructuration du parc de production, la prospection commerciale pour stimuler et développer nos ventes, nos services, la politique pour réduire le gap ou la différence "d'échange" et de change impactant la balance commerciale, l'inadaptation à la demande internationale. Les contraintes, autres que fiscales, telles la libre entreprise générant la concurrence peuvent contraindre les entreprises à être plus dynamiques et à ne pas se reposer sur leurs lauriers ni à constituer des monopoles ou cartels (agréments, licences et permis d'exploitation exclusifs, etc...)
Régionalisation administrative certes, mais aussi productive et économique en soutenant et développant les spécificités propres à chacune des régions de sorte à réduire les exodes inter-régionales des travailleurs comme l'immigration.
Bref, pour revenir au sujet, une chanson qui témoigne de l'ignorance des causes de notre retard, d'un manque de respect des valeurs traditionnelles tout en témoignant d'une plus grande attente de l'amélioration du niveau de vie, de la poursuite de celle initiée par la politique des barrages : nourrir .... Loger, enseigner, soigner, etc ... redonner de l'espoir
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