«Des collectivités territoriales fortes pour gagner le pari du développement», voilà le nouveau slogan du PJD pour les élections communales et régionales. S'il est diamétralement opposé à celui de 2011 appelant à combattre la corruption et le despotisme, il cadre avec la ligne réformiste suivie par la direction de la Lampe.
L’ «exception marocaine» si louée lors de la vague du «Printemps arabe» serait-elle en danger face à la menace Daesh ?, s’interroge Foreing Policy. Le magazine, armé de chiffres officiels sur la mauvaise performance de l’économie marocaine et le ralentissement du marché de l’emploi, sonne le tocsin avant qu’il ne soit trop tard.
Quatre ans sont passés depuis la naissance officielle du Mouvement du 20 février, (r)évolution à la marocaine dans le sillage du Printemps arabe. Si plusieurs pays de la région ont changé pour plus d'instabilité, le Maroc fait figure de modèle de stabilité pour ne rien changer.
La période de tolérance suite au Printemps arabe est terminé. Les "Ferrachas", qui ont profité pendant trois ans des effets de cette vague, doivent de nouveau faire face aux saisies des marchandises. Pour une meilleure revendication de leurs droits, ils ont mis en place une commission de coordination, annonçant par la même des marches à travers le royaume pour le 12 octobre.
Le prince Moulay Hicham qui publiera son nouveau livre «Journal d'un prince banni» ce 9 avril est revenu sur le règne du roi Mohammed VI dans une interview accordée au journal Le Monde. Celui qui est surnommé le «prince rouge» pour ses positions contre le Makhzen s’est prononcé sur plusieurs sujets, notamment les règnes de Hassan II et de son successeur Mohammed VI, le Sahara, le printemps arabe, dont il considère que le
Soufiane Sbiti, vice-président de CAPDEMA, s’exprime en son nom au sujet du troisième anniversaire du mouvement du 20 février et des leçons à en tirer.
Plus d’une quarantaine d’activistes et experts se sont déplacés le 9 janvier dernier au Maroc pour assister à une formation régionale autour de l’action féministe dans les pays du Moyen-Orient et d'Afrique du nord, notamment au Maroc, en Egypte et en Tunisie. Le printemps arabe était également au coeur des discussions.
Octobre 2011, la justice condamne l’auteur présumé de l’attentat d’Argana à la peine capitale. Depuis, il n’a cessé de clamer son innocence, estimant qu’il est juste un bouc-émissaire. Après une lettre adressée au roi, il y a quelque mois, Adil El Otmani récidive par un nouveau communiqué dans lequel il avance qu’il aurait refusé de l’argent pour endosser la responsabilité