Les accusés, dont deux femmes et deux ressortissants français, sont poursuivis pour «traite d’êtres humains entraînant une maladie mentale, participation à celle-ci, harcèlement sexuel et non signalement d’un crime», entre autres, dans le volet marocain de l’affaire Assu 2000. La première audience s’ouvre mardi devant la Chambre criminelle de première instance près la Cour d'appel de Tanger.
A Tétouan, un professeur de lycée pour filles fait l’objet d’une plainte pour des faits de harcèlement que plusieurs élèves auraient subi. Mardi, le Collectif 490 s’est porté partie civile et a saisi le procureur général dans la ville, après qu’une première lycéenne a décidé de brise le silence par la voie de la justice.