A Tétouan, un professeur de lycée pour filles fait l’objet d’une plainte pour des faits de harcèlement que plusieurs élèves auraient subi. Mardi, le Collectif 490 s’est porté partie civile et a saisi le procureur général dans la ville, après qu’une première lycéenne a décidé de brise le silence par la voie de la justice.
Accusé de harcèlement sexuel par quatre fonctionnaires de la DIDH pour des faits remontant à 2014, un ancien collègue des plaignantes a été visé par une enquête administrative, sans que sa direction n’en transmette les résultats à son nouveau recruteur : le CNDH. Au lendemain des révélations publiques, le Conseil a déclaré ne pas avoir été informé par la
Une dizaine de jours après les révélations sur le harcèlement des étudiantes par leurs professeurs dans le milieu universitaire au Maroc, le débat ne s’est pas installé ouvertement au sein du Parlement, en dehors des travaux des commissions. Des députées sont décidées à s’en saisir.