L’université marocaine est malade de la violence. Alors que le souvenir de l’assassinat de Abderrahim El Hasnaoui à la faculté de Fès est encore frais dans les mémoires, des étudiants sont arrêtés à Marrakech. Détails.
Vives tensions dans les camps de Tindouf. Cette fois, il ne s’agit pas de nouvelles vidéos diffusées par la chaîne marocaine Laâyoune TV mais d’une attaque menée par une tribu sahraouie contre un bâtiment appartenant au Polisario. Détails.
Depuis plusieurs mois, Ghardaïa est à feu et à sang. Les tentatives de médiations menées par les autorités et des dignitaires religieux n’ont rien donné. Face à l’impasse, le pouvoir cherche des issues de secours. Impliquer l'image de l'ennmi marocain est devenu la solution de facilité. Une mission confiée à certains journaux qui se relaient un après l'autre, en lançant des accusations
Comme en 2010 et 2013, des jeunes de Melilla, issus de la communauté marocaine, ont été à l’origine d’affrontements avec les forces de l’ordre. Encore une fois, c’est la sélection des bénéficiaires de postes d’emploi saisonniers dans le secteur public qui a déclenché ce mouvement de colère.
Les menaces récemment scandées par Sharia4UK ont suscité la réaction du monde politique mais auraient surtout dû interpeller les responsables communautaires musulmans de notre pays. Qu’un membre de Sharia4Belgium soit inquiété pour sa participation suspectée à l’enrôlement de jeunes belges, mineurs pour beaucoup, est légitime. Surtout lorsque l’on sait où ces jeunes ont été
La cité universitaire de Marrakech renoue avec la violence. Un malentendu entre deux étudiantes, une sahraouie et une d’extrême gauche, a dégénéré en heurts au cours desquels des armes blanches, des pierres et des cocktails Molotov ont été utilisés.
Est-ce la fin de la lune de miel entre les salafistes et l’Etat ? Ce qui s’est passé, hier, à Tanger laisse présager une période de tensions entre les deux parties.