Tanger Free Zones (TFZ) n’a rien à envier à son binôme Tanger Med. La seconde zone franche de la ville du Détroit jouit de plusieurs avantages fiscaux pour favoriser l’implantation d’entreprises étrangères. Petit tour d’horizon des (nombreuses) exonérations pour les futurs entrepreneurs.
L’une des choses les plus importantes à savoir lorsqu’on est un investisseur au Maroc est que l’Etat met en place plusieurs exemptions, exonérations fiscales et avantages propres à tous les secteurs d’activité mais aussi des exonérations par secteurs et par emplacement de l’implantation, afin d’inciter les investissements. Retour sur certaines mesures fiscales et autres avantages accordés.
En 2014, les recettes fiscales totales du Maroc représentaient 28,5% du PIB du Maroc. Le chiffre a été révélé par une étude de l'OCDE sur la part des recettes fiscales dans les PIB de 8 pays africains. Saisissant cette publication, le Mouvement Anfass Démocratique, après avoir rappelé plusieurs réformes proposées, plaide pour une augmentation progressive des recettes fiscales et des cotisations afin de permettre
Après avoir gagné 12 places dans le classement mondial du paiement fiscal de PricewaterhouseCoopers l’an dernier, le Maroc continue encore sa progression. Il gagne quatre rangs grâce aux améliorations de sa plate-forme de paiement en ligne des impôts.
Après leur adoption en février dernier, les nouvelles dispositions de la loi 63-14 relative aux avoirs et liquidités détenus à l’étranger par les MRE sont désormais en vigueur. L’arrêté y afférant a été publié au Bulletin officiel (BO) la semaine dernière et précise les modalités pour deux catégories de MRE.
Au lendemain des élections locales, les finances des collectivités territoriales ne sont pas prêtes pour la régionalisation. Répartition de la TVA, loi sur la transparence, … on peut douter de la volonté réelle des autorités d’améliorer leur gouvernance.
La Caisse de compensation au Maroc a été source de beaucoup de «soucis» pour le gouvernement ces dernières années. La réforme engagée par le gouvernement lui permet de faire des économies conséquentes, lesquelles ont avoisiné les 9 milliards en 2014. Mais d’après l’économiste Najib Akesbi, la réforme actuelle n’est pas à la hauteur des engagements de l’Etat. Interview.
L’injustice fiscale au Maroc est une réalité souvent occulté. Une tribune d’un haut fonctionnaire du ministère marocain des Finances publiée sur le site français Les Echos l’a remis en lumière. Salariés et consommateurs moyens étant toujours les premières victimes du système fiscal marocain, l’économiste Najib Akesbi alerte sur l’urgence. Explications.