L’opération d’amnistie lancée en 2020 par le gouvernement au profit des auteurs de fuites de capitaux n’a concerné que 6 milliards de dirhams d'avoirs déclarés. Un chiffre largement inférieur au 28 MMDH de l'opération de 2014.
Dans une étude publiée cette semaine, Bank Al Maghrib a reconnu que le niveau des recettes fiscales au Maroc est relativement bas en comparaison avec ses capacités. Dans le contexte de la crise sanitaire, l’élargissement de l’assiette fiscale pour plus d'équité devient une urgence.
La classe moyenne au bord du burn-out fiscal ? C'est la thèse défendue par deux grands syndicats à propos de la contribution sociale de solidarité prévue dans le projet de loi de finances 2021.