La grippe aviaire continue de faire bouger les responsables de tous bords. Non pas que ces dégâts soient considérables jusqu’à présent, mais c’est surtout par crainte d’un scénario pour le moins macabre. Nos medias, tour à tour informent, rassurent, préviennent ou alertent. Quoi qu’il en soit, le virus inquiète.
La semaine dernière, ils étaient plusieurs milliers à braver les fils de barbelés dans l’espoir d’atteindre l’Eldorado espagnol. Une dizaine y ont laissé leur vie, quelques centaines ont réussi leur pari et des milliers d’entre eux attendent de se faire rapatrier.
La situation des Amazighes au Maroc est unique et paradoxale. Voilà le cas d’un pays où la majorité de la population est d’origine amazighe (environ 60 % de la population), sauf qu’elle est qualifiée de « minorité culturelle et linguistique » ! Et qu’en est-il de la culture millénaire des Amazighs ? Elle a été folklorisée et rendue comme un produit qu’on peut vendre aux touristes de Marrakech ou d’Agadir ! Les mouvements culturels amazighs crient au scandale. On parle de
Certains pays se considèrent moins vulnérables et croient que les catastrophes « ça n'arrive qu'aux autres ». Détrompez-vous, tout le monde est concerné et les catastrophes naturelles sont devenues de nos jours très fréquentes et touchent n’importe quel point de la Terre. La puissance d’un Etat ne peut rivaliser avec celle de la nature.