Avec son usage décomplexé par Donald Trump, fake news est devenu le buzz word de l’année.
Il est une évidence que la société marocaine, comme toute société, est traversée en son sein de haine et de rejet de l'autre. Les réseaux sociaux sont très vite devenus le lieu de cristalisation de ces reflux risquant un jour de déclencher une spirale de haine "in real life".
Une fois n'est pas coutume, je profite de cette tribune pour parler de moi. Enfin de moi afin de parler d'eux. "Eux" ce sont ces jeunes marocaines et marocains s'apprêtant à entrer dans le monde du travail aux perspectives peu reluisantes. Il me faut pour cela vous raconter ma passionante -néanmoins difficile- expérience avec cette génération Y.
Reporters Sans Frontières vient de publier le classement mondial de la liberté de la presse. Cette année, le Maroc a gagné six places par rapport à 2014, mais le royaume reste très loin des références en la matière. L’organisme salue toutefois les trois projets de loi portant sur la «presse et l’édition», le «statut du journaliste professionnel» et le «Conseil national de la