«Le Parlementaire doit-il travailler gratos ?», s’est interrogé, mardi à Rabat, l'ancien président et membre du groupe parlementaire du PJD à la chambre basse, fustigeant ainsi les «influenceurs» sur les réseaux sociaux qu’il a accusé d’«induire les gens en erreur» lorsqu’ils évoquent les retraites des parlementaires et du cumul des indemnités.