L'ancien président tunisien Moncef Marzouki a plaidé, jeudi, pour une rupture avec les politiques du passé par les dirigeants algériens. Il a affirmé que l’avenir des peuples du Maghreb ne doit pas être «sacrifié» pour le bien des Sahraouis séparatistes, mettant en avant l’autonomie proposée par le Maroc.
Le Maroc enregistre de meilleures performances pour l’intégration macroéconomique dans l’indice de l’intégration régionale en Afrique. Il est aussi 4ème en termes d’intégration régionale.
Une étude récente a confirmé que la plupart des Marocains soutiennent l'intégration économique et l'ouverture des frontières entre les cinq pays du Maghreb arabe.
L’élection présidentielle algérienne aura lieu le 12 décembre, malgré la persistance des manifestations refusant d’élire un successeur d’Abdelaziz Bouteflika avant le départ de tous les symboles de l'ancien régime. Cinq candidats tenteront de regagner la confiance des électeurs, avec des visions différentes sur plusieurs questions, dont l'avenir des relations avec le Maroc.
Du 6 novembre 2018 à aujourd’hui, le Maghreb a connu de grands changements. L’Algérien Abdelaziz Bouteflika, le Tunisien Béji Caid Essebsi et le Mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz ont quitté le pouvoir. Une perspective historique s’esquisse conduisant le roi Mohammed VI a espérer une relance du projet du grand Maghreb.