Ses difficultés financières auxquelles ont conduit le gouvernement marocain à vouloir suivre l’exemple de certains pays riches : taxer les citoyens les plus fortunés pour renflouer les caisses de l’Etat. L’idée, émise depuis des années par certaines formations politiques, ne résoudra pas pour autant les problèmes budgétaires. C’est une réforme globale du système fiscal qui
Chose promise, chose due. L’Etat compte sur les privatisations pour alléger en partie son déficit budgétaire. Et c’est la Société de Sel de Mohammedia qui est la première à être cédée. Mais pas tous les économistes ne sont convaincus de cette stratégie.