L’INPPLC compte se pencher sur les nouvelles formes de corruption engendrées par la crise sanitaire liée au nouveau coronavirus. Pour son président, Mohammed Bachir Rachdi, la pandémie Covid-19 «présente des risques d’amplification de la corruption sous ses formes connues, et d’en générer de nouvelles».
La récession profonde de l’économie marocaine sous l’effet de la crise sanitaire «agirait davantage sur les classes sociales les plus précaires», a alerté cette semaine le Policy Center for the New South, qui dresse une première évaluation circonstanciée des ramifications de cette crise.