Dans le business lié aux fêtes, mariages et cérémonies au Maroc, traiteurs, neggafates, musiciens et même cuisinières sont dans le même bateau. Le maintien de l’interdiction de tout rassemblement de plus de 10 personnes les affecte, alors que leurs activités sont à l’arrêt depuis bientôt quatre mois.
Pour Fitch Ratings, le PLF rectificative présenté par les autorités marocaines pour faire face à la crise liée au coronavirus reste «globalement conforme aux attentes» et «réaliste». L'inquiétude demeure sur les finances publiques et l'endettement du pays.
83 millionnaires à travers le monde ont appelé, cette semaine, à renforcer les impôts sur la fortune, de manière «immédiate» et «permanente». L’idée est de «contribuer à la reprise» de l’économie, impactée par la pandémie du nouveau coronavirus. Malgré sa dimension internationale, ce débat reste peu audible au Maroc.
Présenté lundi en conseil des ministres, puis mardi en conseil du gouvernement, le projet de Loi de finances rectificative pour l’année 2020 a été rendu public par le ministère de l’Economie, des finances et de la réforme de l’administration. Outre la «réaffectation des dépenses d'investissement aux priorités stratégiques», le PLF rectificatif prévoit une série de mesures