Un groupe d’eurodéputés oublie le «Qatargate» pour se consacrer exclusivement sur le Maroc. Après la résolution sur les journalistes marocains en détention, il prévoit d’organiser une réunion sur l’affaire Pegasus alors que la Commission d’enquête du PE n’a pu apporter des preuves accusant Rabat d’espionnage.
Le gouvernement espagnol est sous pression. Il doit comparaitre, dans deux semaines, devant une commission du Parlement européen pour accuser ou non le Maroc pour l’espionnage des téléphones de Pedro Sanchez et de deux autres ministres.
Le Parlement européen n’est pas en mesure d'apporter des preuves sur la responsabilité du Maroc dans l’espionnage des téléphones du chef du gouvernement et de ministres espagnols. C'est la conclusion d'une commission d'enquête parlementaire.