L’affaire Hajar Raissouni montre que le Maroc reste très éloigné du principe de liberté sexuelle sous-jacente aux politiques de santé sexuelle et reproductive pour les femmes. Ces politiques ont pourtant bel et bien été adoptées par le Maroc. Leur mise en application sur le terrain national se révèle très complexe, selon la chercheuse Irene Capelli.