En bon ex-ministre de l’Economie et des finances, Nizar Baraka se réveille à chaque vote du projet de loi de finance. Désormais dans l’opposition molle, le secrétaire général du parti de l’Istiqlal nous a fait un numéro burlesque de populisme fiscal.
Le groupement de la CDT à la Chambre des conseillers a créé la surprise. Profitant des divisions des composantes de la majorité, les 4 conseillers parlementaires de la centrale syndicale ont réussi à convaincre les autres groupes de voter leur proposition d’exempter les retraités de l'impôt sur le revenu.