David Cameron ne veut plus de conjoints d’immigrés qui ne parlent pas anglais sur le sol britannique. Le Premier ministre britannique a lancé un plan d’intégration et lutte contre l’extrémisme articulé autour de l’apprentissage de langue. L'expulsion de ceux qui échoueront au test de langue au bout de deux ans et demi de résidence est fort probable et les femmes musulmanes sont particulièrement visées.
Depuis hier, les réactions fusent suite aux propos islamophobes de Donald Trump qui veut interdire l’entrée des musulmans aux Etats-Unis. De Washington à Paris, en passant par Londres, les autorités condamnent ce nouveau dérapage. Au Moyen-Orient, les partenaires commerciaux de Trump commencent à boycotter ses produits.
Face au silence intrigant du Maroc au sujet du dossier de Ceuta et Melilla pour le porter devant l'ONU, une eurodéputée britannique vient de réagir aux demandes de souveraineté espagnoles en demandant à Madrid de quitter les deux villes occupées.
La crise diplomatique qui oppose depuis peu l’Espagne et le Royaume-Uni au sujet de Gibraltar remet au goût du jour la vieille question de la marocanité de Sebta et Melilla. Nombreux sont ceux qui, sur les réseaux sociaux, jugent les deux situations identiques. Madrid défend, avec un argument en particulier qui confirme les analyses de certains politogues marocains. Explications.
David Cameron, Premier ministre britannique, a annoncé, jeudi 14 avril, des mesures plus fermes visant à limiter les quotas de migrants. David Cameron a notamment pointé du doigt la politique de ses prédécesseurs à la Primature britannique. Cependant, la politique qu’il entend à présent appliquer ne fait pas l’unanimité dans le gouvernement qu’il dirige.
Le 16 octobre 2010, la chancelière allemande, Angela Merkel annonçait que le credo mulitkulti était un échec. Le samedi 5 février 2011, le premier ministre britannique, David Cameron faisait le même constat. Le 10 février, c’est le tour du Président de la République française, Nicolas Sarkozy. Vincent Geisser, chargé de recherche au CNRS en sciences politiques et sociologie à l’Institut de Recherches