Ils n’arrivent toujours pas à dormir tranquillement, même après la retraite. A Toulouse, des chibanis sont trainés en justice par le directeur de la Caisse d’assurance retraite et de santé au travail (CARSAT). Leur tort : la publication sur le net de vidéos et de photos sur lesquelles appraît le directeur de la CARSAT lors d’une manifestation des chibanis dans les locaux de la Caisse d’assurance. Les faits remontent
Mercredi 11 mai, le siège de la Caisse nationale d’assurance vieillesse d’Argenteuil, a été occupé par une quarantaine de militants de l’Association des travailleurs maghrébins de France (ATMF). Organisé en soutien au retraité marocain El Garouad Belaid qui ne perçoit plus le supplément à sa retraite, depuis 2008, l’objectif de ce rassemblement était aussi de protester contre la politique
3 des 4 prévenus ont été reconnus coupables, jeudi 7 avril, de fraude et fausses déclarations aux organismes sociaux français. Le jugement pourrait faire jurisprudence alors que les chibanis déclarés coupables sont maintenant dans une situation très précaire.
Sidi Ahmed est l'un des trois chibanis reconnus coupables de fraude et fausses déclarations aux organismes sociaux, le 7 avril, à Perpignan. Il est resté au Maroc plus longtemps que le reglement des organismes sociaux français ne les autorise. Parti en France en 1971, il a été forcé par le jugement de revenir au bercail. Faute de moyens, puisqu'il ne reçoit plus aucune aide, il a été expulsé de son logement. Il
L'affaire CAF vs. retraités marocains entre dans une phase décisive. Jeudi 31 mars à Perpignan, 4 Marocains sont passés devant le tribunal correctionnel pour fraude et fausses déclarations. Des allégations intenables, selon les défenseurs de ces chibanis, qui accusent plutôt les organismes sociaux de discrimination. Le jugement est attendu le 7 avril.
Une amie franco-marocaine m’a rappelé une chose importante en ce début d’année. Le jour de l’an est la date d’anniversaire de nombreux papa et maman zmagris.
Le tribunal des prud'hommes à Paris a examiné ce mardi 14 décembre, les dossiers de quelques 360 salariés d’origine marocaine, ayant engagé des poursuites contre la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) pour discrimination. Les plaignants (employés ou retraités) réclament surtout, un statut de cheminots – donnant droit à des avantages sociaux – accessible uniquement aux
Des Marocains retraités ou employés de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), ont intenté une action en justice contre cette entreprise publique française de transport ferroviaire, apprend-t-on auprès de Libération. Motif, ils se disent discriminés par rapport à leurs collègues français.