Le ministère de l’Intérieur, épaulé par le ministère de la Justice et des libertés, a ouvert une enquête sur les commentaires de plusieurs internautes marocains, ayant salué l’assassinat, lundi à Ankara, de l’ambassadeur russe en Turquie. Les deux départements rappellent que l’«apologie du terrorisme» est «punissable par la loi». Détails.
Le Maroc a voté fin juillet une résolution des pays de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) déclarant le mouvement Hizmet de Gülen «organisation terroriste». Un mois plus tard, des députés turcs arrivent à Rabat.
Les pays arabes siégeant à l’Agence internationale de l’énergie atomique ont décidé de ne pas solliciter un vote sur le point intitulé «capacité nucléaire israélienne» lors de la prochaine assemblée générale de l’AIEA, prévue en septembre. Explications.
Des intérêts du mouvement de Fethullah Gülen au Maroc sont dans le viseur du président Erdogan. Il s’agit essentiellement d’écoles du groupe «Mohamed Al Fatih» rattaché à une association dirigée par Gülen. Contacté par Yabiladi, Ibrahim Aktache, président du groupe scolaire en question donne sa version des faits.