L’Agence des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) a publié jeudi dernier un témoignage d’une grand-mère sahraouie, vivant dans les camps de Tindouf. L’occasion de revenir sur le calvaire des réfugiés sahraouis, leurs défis quotidiens et leurs aspirations.
Les autorités françaises ont écroué un réseau criminel de réfugiés Sahraouis ayant le statut de réfugiés. Ils auraient soutiré plus de 200 000 euros à l’Office française de l’immigration et de l’intégration (Ofii).
Plusieurs migrants et réfugiés, épaulés par la société civile, s’activent pour faire valoir leurs droits, estimant que la loi sur les étrangers est porteuse d’un racisme institutionnel. Ils déplorent une trop grande fermeté à leur égard.
Depuis 2013 et grâce à la nouvelle politique migratoire du Maroc, la création de coopératives s’inscrit dans une dynamique d’insertion des migrants. La première initiative du genre a été mise sur pied à Kénitra.