Six semaines avant l’assassinat de Ben Barka, le Maroc avait permis au Mossad de mettre la main sur les documents et les enregistrements d’une réunion de la Ligue arabe, tenue en septembre 1965 à Casablanca. C’est ce que vient de révéler, aujourd’hui, un quotidien israélien.
48 ans après la disparition de Mehdi Ben Barka, sa veuve et ses enfants sont encore dans l’affliction. Une affliction accentuée par l’injustice qui marque cette affaire depuis près d’un demi-siècle. Avec tous les discours prometteurs de François Hollande sur les droits de l’homme à son arrivée à la tête de la France, la famille du défunt espérait que certaines zones d’ombres du dossier
Lettre ouverte conjointe des associations AMF, ASDHOM, ATMF, FMVJ/France et APADAM adressée au prédisent de la République française, François Hollande, sur le cas de Mehdi Ben Barka.
Plus de trente ans après son décès, le nom du général Ahmed Dlimi revient sur les devants de l’actualité au Maroc. Et c’est un de ses proches, le colonel Abdellah Kadiri, qui évoque les causes, selon lui exactes, du décès de l’enfant le plus populaire de Sidi Kacem. Dans cet article nous avons tenu à donner cette version et celle défendue par le lieutenant Ahmed Rami.
Lundi dernier au Parlement, les membres de l’opposition ont plaidé pour la commémoration au Maroc, chaque 29 octobre, du «Jour du disparu» en signe d’hommage aux victimes des années de plomb. Et l’occasion s’y prêtait.