Alors que les saisies se succèdent et les surfaces plantées de cannabis continuent d’être éradiquées, la baisse de production au Maroc n’a pas encore eu d’impact sur le trafic de drogue, indique l’ONUDC. Ses experts s’inquiètent aussi de la consommation de cocaïne et de «crack» parmi les jeunes marocains.