Une analyse du New York Times met au jour les modèles sur lesquels se calquent les terroristes extrémistes blancs pour passer à l’acte. Tous se sont en effet inspirés de meurtriers qui avaient déjà perpétré des attentats avant eux.
Depuis la fusillade terroriste des deux mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande), plusieurs personnalités politiques, écrivains et intellectuels français ont tenté de justifier cet acte. D’autres encore ont été dans le déni de la théorie du «grand remplacement», qui rejoint pourtant leurs idées…
Après l’attaque terroriste qui a visé deux mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande), les motivations de son auteur, Brenton Tarrant, révèlent un défenseur du suprémacisme blanc qui a théorisé ses idées au nom du «grand remplacement». Politologue, spécialiste de l’extrême droite et directeur de l’Observatoire des radicalités politiques (Fondation Jean-Jaurès),
Ce vendredi, la Nouvelle-Zélande a été secouée par une fusillade sanglante perpétrée par Brenton Tarrant, un terroriste australien qui a ouvert le feu dans deux mosquées à Christchurch. L’attentat a laissé le pays sous le choc, surtout sa communauté musulmane. Un ressortissant marocain en témoigne auprès de Yabiladi.
Brenton Tarrant est un des terroristes de l’attaque survenue, ce vendredi, dans deux mosquées en Nouvelle-Zélande. Il est décrit comme étant un «terroriste extrémiste de droite et violent» par le Premier ministre australien, Scott Morrison.