Alors que les saisies se succèdent et les surfaces plantées de cannabis continuent d’être éradiquées, la baisse de production au Maroc n’a pas encore eu d’impact sur le trafic de drogue, indique l’ONUDC. Ses experts s’inquiètent aussi de la consommation de cocaïne et de «crack» parmi les jeunes marocains.
Une étude de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, l'UNICEF et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), publiée cette semaine dans la revue The Lancet Global Health revient sur les proportions de naissances avec un faible poids dans le monde. Par pays, le Maroc enregistre le chiffre le plus important dans la région MENA et le 4e en Afrique quant à cette proportion.
10 millliards de dirhams dès 2023 ? C'est le potentiel du marché légal du cannabis au Maroc selon un rapport de Prohibition Partners.